La facture d'importation annuelle du fer et dérivés, en Algérie, s'élève à 9 milliards de dollars, a annoncé, lundi à Sidi Bel-Abbès, le ministre de l'Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi. La facture d'importation annuelle du fer et dérivés, en Algérie, s'élève à 9 milliards de dollars, a annoncé, lundi à Sidi Bel-Abbès, le ministre de l'Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi. Présidant une rencontre avec des opérateurs économiques de la région, rapporte l'APS, le ministre a estimé que cette facture est "lourde" et reflète le déficit en matière de couverture des besoins nationaux en ces produits. Il a ajouté dans le même contexte que ces importations couvrent un taux de 80% des besoins nationaux, notamment en cette conjoncture marquée par un dynamisme dans divers secteurs comme ceux de la construction, des travaux ferroviaires et autres. M. Benmeradi a indiqué que l'objectif est de réduire cette facture et d'assurer à moyen terme la satisfaction des besoins nationaux et ce, grâce à la réalisation prochaine d'une aciérie à Bethioua (Oran) et à Jijel. D'autre part, il a évoqué la situation des entreprises industrielles publiques,exploitées actuellement à 50% seulement de leurs capacités de production, en notant que les investissements concrétisés par les entreprises privées sont encourageants même si, a-t-il dit, elles ne sont pas présentes dans les grands secteurs industriels. M. Benmeradi a noté que les investissements étrangers ne sont pas à la hauteur des attentes, précisant qu'ils se sont limités aux seules activités commerciales. Le ministre a assisté à la cérémonie de signature d'une convention de coopération entre l'ENIE de Sidi Bel-Abbès et l'université Djilali-Liabès de la même ville en matière de recherche scientifique et de développement technologique et une autre entre la même entreprise et l'APC de Sidi Bel-Abbès pour la fourniture d'équipements de télésurveillance. L'université Djilali-Liabès dispose d'un département d'électronique, a-t-on rappelé. Présidant une rencontre avec des opérateurs économiques de la région, rapporte l'APS, le ministre a estimé que cette facture est "lourde" et reflète le déficit en matière de couverture des besoins nationaux en ces produits. Il a ajouté dans le même contexte que ces importations couvrent un taux de 80% des besoins nationaux, notamment en cette conjoncture marquée par un dynamisme dans divers secteurs comme ceux de la construction, des travaux ferroviaires et autres. M. Benmeradi a indiqué que l'objectif est de réduire cette facture et d'assurer à moyen terme la satisfaction des besoins nationaux et ce, grâce à la réalisation prochaine d'une aciérie à Bethioua (Oran) et à Jijel. D'autre part, il a évoqué la situation des entreprises industrielles publiques,exploitées actuellement à 50% seulement de leurs capacités de production, en notant que les investissements concrétisés par les entreprises privées sont encourageants même si, a-t-il dit, elles ne sont pas présentes dans les grands secteurs industriels. M. Benmeradi a noté que les investissements étrangers ne sont pas à la hauteur des attentes, précisant qu'ils se sont limités aux seules activités commerciales. Le ministre a assisté à la cérémonie de signature d'une convention de coopération entre l'ENIE de Sidi Bel-Abbès et l'université Djilali-Liabès de la même ville en matière de recherche scientifique et de développement technologique et une autre entre la même entreprise et l'APC de Sidi Bel-Abbès pour la fourniture d'équipements de télésurveillance. L'université Djilali-Liabès dispose d'un département d'électronique, a-t-on rappelé.