«Il faut absolument encourager la production nationale en utilisant les moyens locaux et faire appel aux compétences nationales et au savoir-faire des ingénieurs algériens», a notamment déclaré, hier à l`hôtel Hilton, Mme F. Goucem, commissaire du Salon international des équipements et services pour l`hôtellerie, la restauration et les collectivités prévu du 22 au 24 novembre courant sur l'esplanade de l'hôtel Hilton. «Il faut absolument encourager la production nationale en utilisant les moyens locaux et faire appel aux compétences nationales et au savoir-faire des ingénieurs algériens», a notamment déclaré, hier à l`hôtel Hilton, Mme F. Goucem, commissaire du Salon international des équipements et services pour l`hôtellerie, la restauration et les collectivités prévu du 22 au 24 novembre courant sur l'esplanade de l'hôtel Hilton. Au cours de cette conférence de presse animée conjointement avec Omar Bedrane, l'organisateur du Salon international de la propreté et de l'hygiène (Propal- Propre Algérie), M. Goucem a mis en relief la nécessité de valoriser la vocation de la mise à niveau des entreprises sachant que le secteur du tourisme est en pleine expansion et progression. Le tourisme est conçu comme une alternative aux hydrocarbures et le Schéma national de l`aménagement du territoire (SNAT) prévoit le développement et la promotion des secteurs du tourisme et de l'environnement. Il s'agit, donc, de promouvoir les investissements dans le domaine du tourisme et l'apport de l'Agence nationale du développement es investissements (ANDI) est un acteur important dans les activités de dynamisation du tourisme en Algérie, selon la conférencière. Celle-ci précise que la prise de conscience collective devra permettre le réveil des responsables concernés, lesquels ne manqueront pas d'aller loin dans les opérations de développement des prestations de services et dépasser, ainsi, le stade des discours et des théories.Car, la professionnalisation des opérateurs économiques algériens devient impérieuse, notamment en intensifiant la formation des personnels et en perfectionnant les ressources humaines. «Il s'agit d'un lourd dossier, certes, mais l'acquisition des technologies et du savoir-faire est primordial et pour avancer et progresser», a-t-elle ajouté.Les promoteurs de Siel 2011 soulignent que «la naissance du Siel marquait la volonté de ses organisateurs d'accompagner la relance encore balbutiante du secteur du tourisme et de l`hôtellerie, longtemps promis à jouer les premiers rôles dans la stratégie de diversification des exportations de l'Algérie, en se mettant au service de l'émergence d'un marché structuré des équipements». Aussi, ils indiquent que leur objectif actuel «consiste à faire de cet événement, strictement professionnel, l`un des instruments de la mise à niveau des structures existantes voulue par les pouvoirs publics et aider les opérateurs et les investisseurs à travailler dans le respect des normes». Les promoteurs de cet événement rappellent que «le programme validé par le Conseil des participations de l'Etat en mars 2011 consacre un budget de l`ordre de 49 milliards DA à la mise à niveau et la modernisation de 45 structures hôtelières relevant du portefeuille de Gestour, tous types confondus (hôtels urbains ou climatiques, complexes balnéaires, stations thermales…». Au cours de cette conférence de presse animée conjointement avec Omar Bedrane, l'organisateur du Salon international de la propreté et de l'hygiène (Propal- Propre Algérie), M. Goucem a mis en relief la nécessité de valoriser la vocation de la mise à niveau des entreprises sachant que le secteur du tourisme est en pleine expansion et progression. Le tourisme est conçu comme une alternative aux hydrocarbures et le Schéma national de l`aménagement du territoire (SNAT) prévoit le développement et la promotion des secteurs du tourisme et de l'environnement. Il s'agit, donc, de promouvoir les investissements dans le domaine du tourisme et l'apport de l'Agence nationale du développement es investissements (ANDI) est un acteur important dans les activités de dynamisation du tourisme en Algérie, selon la conférencière. Celle-ci précise que la prise de conscience collective devra permettre le réveil des responsables concernés, lesquels ne manqueront pas d'aller loin dans les opérations de développement des prestations de services et dépasser, ainsi, le stade des discours et des théories.Car, la professionnalisation des opérateurs économiques algériens devient impérieuse, notamment en intensifiant la formation des personnels et en perfectionnant les ressources humaines. «Il s'agit d'un lourd dossier, certes, mais l'acquisition des technologies et du savoir-faire est primordial et pour avancer et progresser», a-t-elle ajouté.Les promoteurs de Siel 2011 soulignent que «la naissance du Siel marquait la volonté de ses organisateurs d'accompagner la relance encore balbutiante du secteur du tourisme et de l`hôtellerie, longtemps promis à jouer les premiers rôles dans la stratégie de diversification des exportations de l'Algérie, en se mettant au service de l'émergence d'un marché structuré des équipements». Aussi, ils indiquent que leur objectif actuel «consiste à faire de cet événement, strictement professionnel, l`un des instruments de la mise à niveau des structures existantes voulue par les pouvoirs publics et aider les opérateurs et les investisseurs à travailler dans le respect des normes». Les promoteurs de cet événement rappellent que «le programme validé par le Conseil des participations de l'Etat en mars 2011 consacre un budget de l`ordre de 49 milliards DA à la mise à niveau et la modernisation de 45 structures hôtelières relevant du portefeuille de Gestour, tous types confondus (hôtels urbains ou climatiques, complexes balnéaires, stations thermales…».