Le programme de reboisement prévu pour la wilaya de Khenchela au titre de la saison 2011-2012 sera conduit sur une superficie globale de 3.347 hectares, selon la conservation des forêts. Entamée fin octobre dernier, la campagne de reboisement portera également sur l'entretien de 500 hectares de surfaces boisées et sur la réalisation de 80 km de brise-vents pour stopper l'avancée du désert qui menace notamment les zones steppiques de cette wilaya. Le pin d'Alep, l'eucalyptus, le cèdre de l'Atlas et l'olivier constituent les principales espèces devant être plantées, a indiqué la même source, soulignant que les actions de reboisement auront lieu dans les massifs d'Ouled Yakoub et Beni Oudjana où le patrimoine génétique (floristique et faunistique) est extrêmement riche. Outre les travaux de reboisement et sylvicoles, cette campagne prévoit également des actions de lutte contre les parasites et les maladies du bois, l'ouverture de 75 km de pistes forestières et l'aménagement de 7 points d'eau pour une capacité de 17.200 m3. L'ensemble de ces actions devrait favoriser la création de dizaines d'emplois au profit des habitants des localités riveraines de ces forêts. SKIKDA Etude d'un nouveau pôle urbain Une étude portant sur le plan d'occupation du sol (POS) de la zone de Bouzaâroura, dans la commune de Filfila (Skikda) devant abriter une "nouvelle ville" a été présentée la semaine dernière par la direction de l'Urbanisme et de la construction (DUC). Le pôle urbain de Bouzaâroura, situé à 10 km du chef-lieu de wilaya et dont l'étude à été confiée à un bureau spécialisé de Guelma, s'étend sur une superficie de 204 hectares. Il sera notamment constitué de 11.350 logements de différents types. Cette nouvelle ville abritera également des établissements scolaires des différents cycles, des structures de santé, un hôtel, un centre culturel, un théâtre, un hôtel de ville, une sûreté urbaine, un tribunal, une grande mosquée et un complexe olympique. L'agglomération projetée recevra aussi des écoles d'architecture, des Beaux arts et du paysage, ainsi que le futur institut national des hydrocarbures et un pôle universitaire de 4. 000 places pédagogiques. TAGHIT Création d'un arc national Le parc national de Taghit (Bechar), projet relevant du secteur des Forêts et destiné à la protection de l'environnement et de la biodiversité de la vallée de la Saoura, sera créé au cours du premier semestre de 2012, a-t-on appris auprès de la Conservation locale des forêts de la wilaya de Bechar. Ce projet environnemental, qui a nécessité plusieurs années pour son élaboration par le secteur des forets et le mouvement associatif local activant dans le domaine de la protection de l'environnement, permettra la protection et la surveillance de la faune et de la flore de cette vallée, et ce sur une superficie de 85.000 hectares extensible à 200.000 ha. La création de ce parc national, constitue un outil important dans la prise en charge et la protection de la biodiversité d'une région allant de Béni-Ounif à Abadla, en passant par celle de Taghit. Cette région se distingue également par la présence de différents sites archéologiques, historiques et naturels d'une grande importance pour l'étude de l'évolution de l'histoire de l'humanité, à l'exemple des stations de gravures rupestres de Marhouma à Béni-Abbes et Taghit, ainsi que de nombreuses palmeraies millénaires et autres curiosités naturelles. Le programme de reboisement prévu pour la wilaya de Khenchela au titre de la saison 2011-2012 sera conduit sur une superficie globale de 3.347 hectares, selon la conservation des forêts. Entamée fin octobre dernier, la campagne de reboisement portera également sur l'entretien de 500 hectares de surfaces boisées et sur la réalisation de 80 km de brise-vents pour stopper l'avancée du désert qui menace notamment les zones steppiques de cette wilaya. Le pin d'Alep, l'eucalyptus, le cèdre de l'Atlas et l'olivier constituent les principales espèces devant être plantées, a indiqué la même source, soulignant que les actions de reboisement auront lieu dans les massifs d'Ouled Yakoub et Beni Oudjana où le patrimoine génétique (floristique et faunistique) est extrêmement riche. Outre les travaux de reboisement et sylvicoles, cette campagne prévoit également des actions de lutte contre les parasites et les maladies du bois, l'ouverture de 75 km de pistes forestières et l'aménagement de 7 points d'eau pour une capacité de 17.200 m3. L'ensemble de ces actions devrait favoriser la création de dizaines d'emplois au profit des habitants des localités riveraines de ces forêts. SKIKDA Etude d'un nouveau pôle urbain Une étude portant sur le plan d'occupation du sol (POS) de la zone de Bouzaâroura, dans la commune de Filfila (Skikda) devant abriter une "nouvelle ville" a été présentée la semaine dernière par la direction de l'Urbanisme et de la construction (DUC). Le pôle urbain de Bouzaâroura, situé à 10 km du chef-lieu de wilaya et dont l'étude à été confiée à un bureau spécialisé de Guelma, s'étend sur une superficie de 204 hectares. Il sera notamment constitué de 11.350 logements de différents types. Cette nouvelle ville abritera également des établissements scolaires des différents cycles, des structures de santé, un hôtel, un centre culturel, un théâtre, un hôtel de ville, une sûreté urbaine, un tribunal, une grande mosquée et un complexe olympique. L'agglomération projetée recevra aussi des écoles d'architecture, des Beaux arts et du paysage, ainsi que le futur institut national des hydrocarbures et un pôle universitaire de 4. 000 places pédagogiques. TAGHIT Création d'un arc national Le parc national de Taghit (Bechar), projet relevant du secteur des Forêts et destiné à la protection de l'environnement et de la biodiversité de la vallée de la Saoura, sera créé au cours du premier semestre de 2012, a-t-on appris auprès de la Conservation locale des forêts de la wilaya de Bechar. Ce projet environnemental, qui a nécessité plusieurs années pour son élaboration par le secteur des forets et le mouvement associatif local activant dans le domaine de la protection de l'environnement, permettra la protection et la surveillance de la faune et de la flore de cette vallée, et ce sur une superficie de 85.000 hectares extensible à 200.000 ha. La création de ce parc national, constitue un outil important dans la prise en charge et la protection de la biodiversité d'une région allant de Béni-Ounif à Abadla, en passant par celle de Taghit. Cette région se distingue également par la présence de différents sites archéologiques, historiques et naturels d'une grande importance pour l'étude de l'évolution de l'histoire de l'humanité, à l'exemple des stations de gravures rupestres de Marhouma à Béni-Abbes et Taghit, ainsi que de nombreuses palmeraies millénaires et autres curiosités naturelles.
