Ce sera bientôt la fin du feuilleton, Djezzy. À en croire le ministre des Finances, Karim Djoudi, l'acquisition par l'Algérie d'OTA, filiale de l'opérateur égyptien OTH rachetée par le russe Vimpelcom, sera conclue après la signature «probablement avant la fin de l'année» d'un accord de confidentialité entre les deux parties avant qu'un protocole d'intention ne soit signé plus tard. Ce sera bientôt la fin du feuilleton, Djezzy. À en croire le ministre des Finances, Karim Djoudi, l'acquisition par l'Algérie d'OTA, filiale de l'opérateur égyptien OTH rachetée par le russe Vimpelcom, sera conclue après la signature «probablement avant la fin de l'année» d'un accord de confidentialité entre les deux parties avant qu'un protocole d'intention ne soit signé plus tard. Il semble que les «contraintes légales» sur un accord de confidentialité, dont il a fait état lundi dernier, aient été levées. Interrogé, jeudi, par les journalistes en d'une séance plénière de l'APN consacrée aux questions orales des députés, Karim Djoudi a assuré que cet accord sera «conclu dans un avenir très proche probablement avant la fin de l'année en cours». Il a précisé que cet accord, exigé par l'Algérie, allait permettre l'ouverture de la data room contenant les informations, même les plus secrètes, d'OTA et concernera «les informations relatives à la gestion et au fonctionnement de Djezzy». «Pour ce qui concerne l'accord de confidentialité, les choses sont quasiment terminées. C'est un accord nécessaire pour l'ouverture de la data room qui fournit des informations sur les indicateurs de gestion d'OTA (Orascom Telecom Algérie)», a-t-il dit. Il semble que les choses se sont accélérées depuis le mois dernier pour l'acquisition par l'Algérie de OTA, filiale de l'opérateur égyptien, passée sous les mains du russe Vimpelcom. «Nous espérons aller rapidement et c'est possible du moment que nous avons ouvert le data-room qui nous donne accès à toutes les données d'Orascom Telecom Algérie (OTA)», filiale du groupe égyptien Orascom Telecom Holding (OTH), dont Vimpelcom est le principal actionnaire, a précisé M. Djoudi à la presse en marge de la présentation de la loi de finances au Conseil de la nation. En 2009, l'Algérie avait affirmé qu'elle allait exercer son droit de préemption pour le rachat de Djezzy après qu'OTH eut annoncé son intention de céder Djezzy à un opérateur sud-africain. La loi de finances complémentaire pour 2009 avait consacré le droit de préemption pour l'Etat algérien sur toutes les cessions de participation des actionnaires étrangers ou au profit d'actionnaires étrangers. Ce qui n'avait pas empêché l'opérateur égyptien d'outrepasser la législation algérienne et de vendre sa filiale implantée en Algérie sous le nom commercial «Djezzy» au russe Vimpelcom Jo Lunder. Un accord de confidentialité, appelé aussi de non-divulgation, de non-communication ou de secret, est un contrat entre deux entités qui engage l'une d'elles à tenir confidentielles certaines informations que l'autre sera amenée à lui communiquer. Les titres de Vimpelcom et d'OTH (Orascom telecom holding), dont ceux d'OTA constituent l'essentiel du portefeuille, sont cotés dans de nombreuses places boursières, dont Londres et New York. La confidentialité va concerner les cotations de ces titres, selon des sources juridiques. Il semble que les «contraintes légales» sur un accord de confidentialité, dont il a fait état lundi dernier, aient été levées. Interrogé, jeudi, par les journalistes en d'une séance plénière de l'APN consacrée aux questions orales des députés, Karim Djoudi a assuré que cet accord sera «conclu dans un avenir très proche probablement avant la fin de l'année en cours». Il a précisé que cet accord, exigé par l'Algérie, allait permettre l'ouverture de la data room contenant les informations, même les plus secrètes, d'OTA et concernera «les informations relatives à la gestion et au fonctionnement de Djezzy». «Pour ce qui concerne l'accord de confidentialité, les choses sont quasiment terminées. C'est un accord nécessaire pour l'ouverture de la data room qui fournit des informations sur les indicateurs de gestion d'OTA (Orascom Telecom Algérie)», a-t-il dit. Il semble que les choses se sont accélérées depuis le mois dernier pour l'acquisition par l'Algérie de OTA, filiale de l'opérateur égyptien, passée sous les mains du russe Vimpelcom. «Nous espérons aller rapidement et c'est possible du moment que nous avons ouvert le data-room qui nous donne accès à toutes les données d'Orascom Telecom Algérie (OTA)», filiale du groupe égyptien Orascom Telecom Holding (OTH), dont Vimpelcom est le principal actionnaire, a précisé M. Djoudi à la presse en marge de la présentation de la loi de finances au Conseil de la nation. En 2009, l'Algérie avait affirmé qu'elle allait exercer son droit de préemption pour le rachat de Djezzy après qu'OTH eut annoncé son intention de céder Djezzy à un opérateur sud-africain. La loi de finances complémentaire pour 2009 avait consacré le droit de préemption pour l'Etat algérien sur toutes les cessions de participation des actionnaires étrangers ou au profit d'actionnaires étrangers. Ce qui n'avait pas empêché l'opérateur égyptien d'outrepasser la législation algérienne et de vendre sa filiale implantée en Algérie sous le nom commercial «Djezzy» au russe Vimpelcom Jo Lunder. Un accord de confidentialité, appelé aussi de non-divulgation, de non-communication ou de secret, est un contrat entre deux entités qui engage l'une d'elles à tenir confidentielles certaines informations que l'autre sera amenée à lui communiquer. Les titres de Vimpelcom et d'OTH (Orascom telecom holding), dont ceux d'OTA constituent l'essentiel du portefeuille, sont cotés dans de nombreuses places boursières, dont Londres et New York. La confidentialité va concerner les cotations de ces titres, selon des sources juridiques.