Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) insiste sur l'intervention du chef de l'Etat pour sauver les réformes engagées. Les appels de cette formation islamiste se multiplient ces derniers jours, comme pour remonter au-dessus de la scène nationale, dans un contexte régional extrêmement favorable à l'émergence de la mouvance islamiste. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) insiste sur l'intervention du chef de l'Etat pour sauver les réformes engagées. Les appels de cette formation islamiste se multiplient ces derniers jours, comme pour remonter au-dessus de la scène nationale, dans un contexte régional extrêmement favorable à l'émergence de la mouvance islamiste. En effet, le MSP a réitéré son appel au premier magistrat du pays "pour sauver les réformes politiques en les soumettant à un référendum populaire pour redonner confiance à ceux qui attendent de voir ces réformes porter leurs fruits et influer positivement sur la paix et le développement national". Le MSP "réitère son appel au premier magistrat du pays pour qu'il intervienne et sauve cette initiative en la soumettant à un référendum populaire afin de redonner espoir à ceux qui attendent de voir ces réformes porter leurs fruits et influer positivement sur la paix et le développement national", indique un communiqué du MSP rendu public lundi à l'issue de la réunion de son bureau exécutif. Dans ce contexte, le mouvement a appelé à "ne pas manquer cette opportunité historique qui s'offre au peuple algérien" précisant que ces réformes ont été "noyées" dans des aspects techniques et étaient déviées de la volonté du peuple "en raison d'un mauvais traitement des résultats des consultations et de la lenteur du rythme de la dynamique des réformes", d'où "le désintéressement de l'opinion publique occupée par d'autres préoccupations sociales en l'absence de tout encadrement politique, syndical ou sociétal", ajoute la même source. Pour le MSP, "le rétrécissement du champs des réformes a contribué à la diminution des marges des libertés, comme si l'Algérie n'était pas sortie de l'état d'urgence dirigé par la logique de la sécurité administrative loin de l'esprit de citoyenneté et du concept de l'Etat de Droit". C'est dire que le MSP de Bouguerra Soltani nourrit de grandes ambitions politiques, à la lumière des prouesses réalisées par les mouvances islamistes dans les pays voisins. Cependant, l'euphorie dont fait montre le leader du MSP risque de se retourner contre lui à la faveur des prochaines élections législatives. Ses déboires avec l'Alliance présidentielle conjugués avec la fronde organisée par des cadres important menés par Abdelmadjid Menasra en plus de l'émergence de nouvelles forces politiques islamistes ne confortent pas les ambitions de Soltani. Ce dernier, revigoré par la montée des Frères Musulmans en Egypte, impressionné par la victoire de Rached Ghannouchi en Tunisie et rassuré par le succès du Parti de la justice et du développement au Maroc, se fait des illusions démesurées. La montée spectaculaire des islamistes dans le monde arabe aiguise l'appétit des Bouguerra et consorts en Algérie, à quelques mois seulement des élections législatives. En effet, le MSP a réitéré son appel au premier magistrat du pays "pour sauver les réformes politiques en les soumettant à un référendum populaire pour redonner confiance à ceux qui attendent de voir ces réformes porter leurs fruits et influer positivement sur la paix et le développement national". Le MSP "réitère son appel au premier magistrat du pays pour qu'il intervienne et sauve cette initiative en la soumettant à un référendum populaire afin de redonner espoir à ceux qui attendent de voir ces réformes porter leurs fruits et influer positivement sur la paix et le développement national", indique un communiqué du MSP rendu public lundi à l'issue de la réunion de son bureau exécutif. Dans ce contexte, le mouvement a appelé à "ne pas manquer cette opportunité historique qui s'offre au peuple algérien" précisant que ces réformes ont été "noyées" dans des aspects techniques et étaient déviées de la volonté du peuple "en raison d'un mauvais traitement des résultats des consultations et de la lenteur du rythme de la dynamique des réformes", d'où "le désintéressement de l'opinion publique occupée par d'autres préoccupations sociales en l'absence de tout encadrement politique, syndical ou sociétal", ajoute la même source. Pour le MSP, "le rétrécissement du champs des réformes a contribué à la diminution des marges des libertés, comme si l'Algérie n'était pas sortie de l'état d'urgence dirigé par la logique de la sécurité administrative loin de l'esprit de citoyenneté et du concept de l'Etat de Droit". C'est dire que le MSP de Bouguerra Soltani nourrit de grandes ambitions politiques, à la lumière des prouesses réalisées par les mouvances islamistes dans les pays voisins. Cependant, l'euphorie dont fait montre le leader du MSP risque de se retourner contre lui à la faveur des prochaines élections législatives. Ses déboires avec l'Alliance présidentielle conjugués avec la fronde organisée par des cadres important menés par Abdelmadjid Menasra en plus de l'émergence de nouvelles forces politiques islamistes ne confortent pas les ambitions de Soltani. Ce dernier, revigoré par la montée des Frères Musulmans en Egypte, impressionné par la victoire de Rached Ghannouchi en Tunisie et rassuré par le succès du Parti de la justice et du développement au Maroc, se fait des illusions démesurées. La montée spectaculaire des islamistes dans le monde arabe aiguise l'appétit des Bouguerra et consorts en Algérie, à quelques mois seulement des élections législatives.