Le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) qualifie les résultas des élections sur les œuvres sociales du secteur de l'éducation nationale qui se sont tenues mercredi dernier de « victoire éclatante » tout en considérant que l'éducateur algérien a fait preuve, de par sa mobilisation, de son attachement au principe de la solidarité. « Nous devons de même saluer ceux qui ont choisi le modèle de gestion local, car s'ils l'ont fait c'était plus pour exprimer un ras-le-bol évident des années de gestion calamiteuse et une perte de confiance à des individus issus d'un pseudo syndicat qui portera pour toujours une lourde responsabilité » relève la déclaration du Cnapest signée par son coordinateur national, Nouar Larbi, et qui a été rendu publique hier. Le Cnapest fait ainsi clairement allusion au syndicat affilié à l'UGTA, la FNTE en l'occurrence, et qui a géré, durant 17ans, les œuvres sociales des travailleurs de l'Education nationale. Rappelons que les élections ont consacré le choix d'une gestion par le biais d'une commission nationale et des commissions de wilayas, comme cela a été préconisé justement par le Cnapest et son allié l'Union nationale des personnels de l'enseignement et de la formation (Unpef), contrairement à une gestion par une commission au niveau de chaque établissement scolaire, comme cela a été défendu par des syndicats rivaux. A ceux qui auront la lourde charge de gérer les fonds des œuvres sociales le Cnapest estime qu'ils vont devoir « prouver leurs sérieux, disponibilité, honnêteté ». Pour le Cnapest « cette grande entreprise de libération des œuvres de tout les jougs syndicaux et administratifs » et va désormais permette aux syndicats de se consacrer aux grands dossiers à l'exemple du statut particulier, de la retraite, de la médecine du travail, etc. Dans ce même contexte, ce syndicat ne manque pas de souhaiter voir se concrétiser une gestion transparente du Fonds national de péréquation des œuvres sociales (Fnpos) que « nous continuons aujourd'hui à financer sans en connaître les résultats » . Le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) qualifie les résultas des élections sur les œuvres sociales du secteur de l'éducation nationale qui se sont tenues mercredi dernier de « victoire éclatante » tout en considérant que l'éducateur algérien a fait preuve, de par sa mobilisation, de son attachement au principe de la solidarité. « Nous devons de même saluer ceux qui ont choisi le modèle de gestion local, car s'ils l'ont fait c'était plus pour exprimer un ras-le-bol évident des années de gestion calamiteuse et une perte de confiance à des individus issus d'un pseudo syndicat qui portera pour toujours une lourde responsabilité » relève la déclaration du Cnapest signée par son coordinateur national, Nouar Larbi, et qui a été rendu publique hier. Le Cnapest fait ainsi clairement allusion au syndicat affilié à l'UGTA, la FNTE en l'occurrence, et qui a géré, durant 17ans, les œuvres sociales des travailleurs de l'Education nationale. Rappelons que les élections ont consacré le choix d'une gestion par le biais d'une commission nationale et des commissions de wilayas, comme cela a été préconisé justement par le Cnapest et son allié l'Union nationale des personnels de l'enseignement et de la formation (Unpef), contrairement à une gestion par une commission au niveau de chaque établissement scolaire, comme cela a été défendu par des syndicats rivaux. A ceux qui auront la lourde charge de gérer les fonds des œuvres sociales le Cnapest estime qu'ils vont devoir « prouver leurs sérieux, disponibilité, honnêteté ». Pour le Cnapest « cette grande entreprise de libération des œuvres de tout les jougs syndicaux et administratifs » et va désormais permette aux syndicats de se consacrer aux grands dossiers à l'exemple du statut particulier, de la retraite, de la médecine du travail, etc. Dans ce même contexte, ce syndicat ne manque pas de souhaiter voir se concrétiser une gestion transparente du Fonds national de péréquation des œuvres sociales (Fnpos) que « nous continuons aujourd'hui à financer sans en connaître les résultats » .