L'Algérie présidera le groupe des 77+ la Chine à la 18e conférence des Parties sur les changements climatiques qui se tiendra du 27 décembre au 7 janvier 2012 dans la capitale qatarie, Doha, a indiqué le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. "L'Algérie poursuivra, lors de cette conférence, des objectifs qui permettraient d'atteindre de meilleurs résultats en faveur des pays en développement, particulièrement en matière d'adaptation aux effets des changements climatiques et à l'apport de ressources financières adéquates à même de faire face à cette critique situation climatique", a souligné le ministère de l'Environnement dans un communiqué. La conférence de Durban (28 novembre-11 décembre) a abouti à un accord final avec comme objectif le "sauvetage" du Protocole de Kyoto pour une deuxième période d'engagement des pays développés entre 2013 et 2017. L'acceptation de ce principe vise à réduire "plus et mieux" les émissions de gaz à effet de serre des pays développés, de manière "légalement obligatoire", à leur tête ceux de l'Union européenne, a relevé la même source. Il a été également convenu lors de la conférence la mise en œuvre des institutions du plan d'action de Bali. Dans ce cadre, il a été décidé la prolongation pour une année supplémentaire du processus de Bali afin de poursuivre et finaliser des décisions sur l'ensemble des éléments du plan. La conférence a décidé, en outre d'une résolution pour la mise en place de la plate-forme de Durban pour les négociations d'un nouveau régime climatique mondial post-2020. L'Afrique a su, à travers "l'abnégation et l'unité" de ses négociateurs à tous les niveaux, à réussir à établir l'historicité des responsabilités des pays développés et le principe de la responsabilité commune mais différenciée et des capacités respectives des pays. Le continent africain a réussi également à "institutionnaliser le comité d'adaptation, le Fonds vert climat et le Centre et Réseau de transfert des technologies". Revenant sur la conférence de Durban, le ministère de l'Environnement a indiqué que la délégation algérienne, menée par le ministre, Chérif Rahmani, coordonnateur au niveau ministériel du groupe africain, a eu à participer aux travaux du Groupe africain des négociations sur les changements climatiques, de celui du Groupe des 77+Chine, du groupe arabe, du groupe des pays de l'Opep ainsi qu'aux différentes sessions des négociations et leurs groupes formels et informels. La 17e Conférence des parties (COP17) à la Convention des Nations unies sur les changements climatiques s'est achevée lundi. Elle a été un des rendez-vous les plus importants du processus des négociations des changements climatiques depuis Copenhague en 2009. L'Algérie présidera le groupe des 77+ la Chine à la 18e conférence des Parties sur les changements climatiques qui se tiendra du 27 décembre au 7 janvier 2012 dans la capitale qatarie, Doha, a indiqué le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement. "L'Algérie poursuivra, lors de cette conférence, des objectifs qui permettraient d'atteindre de meilleurs résultats en faveur des pays en développement, particulièrement en matière d'adaptation aux effets des changements climatiques et à l'apport de ressources financières adéquates à même de faire face à cette critique situation climatique", a souligné le ministère de l'Environnement dans un communiqué. La conférence de Durban (28 novembre-11 décembre) a abouti à un accord final avec comme objectif le "sauvetage" du Protocole de Kyoto pour une deuxième période d'engagement des pays développés entre 2013 et 2017. L'acceptation de ce principe vise à réduire "plus et mieux" les émissions de gaz à effet de serre des pays développés, de manière "légalement obligatoire", à leur tête ceux de l'Union européenne, a relevé la même source. Il a été également convenu lors de la conférence la mise en œuvre des institutions du plan d'action de Bali. Dans ce cadre, il a été décidé la prolongation pour une année supplémentaire du processus de Bali afin de poursuivre et finaliser des décisions sur l'ensemble des éléments du plan. La conférence a décidé, en outre d'une résolution pour la mise en place de la plate-forme de Durban pour les négociations d'un nouveau régime climatique mondial post-2020. L'Afrique a su, à travers "l'abnégation et l'unité" de ses négociateurs à tous les niveaux, à réussir à établir l'historicité des responsabilités des pays développés et le principe de la responsabilité commune mais différenciée et des capacités respectives des pays. Le continent africain a réussi également à "institutionnaliser le comité d'adaptation, le Fonds vert climat et le Centre et Réseau de transfert des technologies". Revenant sur la conférence de Durban, le ministère de l'Environnement a indiqué que la délégation algérienne, menée par le ministre, Chérif Rahmani, coordonnateur au niveau ministériel du groupe africain, a eu à participer aux travaux du Groupe africain des négociations sur les changements climatiques, de celui du Groupe des 77+Chine, du groupe arabe, du groupe des pays de l'Opep ainsi qu'aux différentes sessions des négociations et leurs groupes formels et informels. La 17e Conférence des parties (COP17) à la Convention des Nations unies sur les changements climatiques s'est achevée lundi. Elle a été un des rendez-vous les plus importants du processus des négociations des changements climatiques depuis Copenhague en 2009.
