Près de 1.000 familles qui occupaient les chalets dits "Sotraco" et trois sites de bidonvilles limitrophes (Améziane, An-Nasr et El-Hattabia), dans le secteur urbain de Boudraâ-Salah (Constantine) ont été relogées la semaine dernière à la nouvelle ville Ali-Mendjeli. L'opération, entamée dans la matinée pour cibler dans une première étape plus de 600 familles des chalets "Sotraco", s'est poursuivie dans la journée pour toucher 180 familles du bidonville Améziane et près d'une centaine de familles des sites An-Nasr et El-Hattabia. Un important dispositif humain et logistique a été déployé sur les lieux pour faciliter le déménagement des familles, au titre de cette opération considérée comme le "coup d'envoi d'un important processus de relogement devant être concrétisé au fur et à mesure de la réception de nouveaux programmes de logements", a estimé Aziz Benyoucef, secrétaire général de la wilaya. Les listes des bénéficiaires avaient été élaborées "en étroite concertation avec les représentants des comités des quartiers" qui ont un rôle d'intermédiaire entre l'administration et les citoyens, a précisé le même responsable, faisant part de "l'impact de cette démarche dans la détermination du nombre exact des familles ouvrant droit à un logement". La démarche arrêtée localement pour l'établissement de "contrats-programmes'' entre l'administration et les bénéficiaires a permis aux responsables concernés d'effectuer un travail sans pression et avec le maximum de fiabilité", a affirmé ce responsable, avant d'ajouter, dans ce contexte, que tous les recours déposés par les citoyens s'estimant lésés seront traités "au cas par cas" par la commission constituée à cet effet. S'agissant de la scolarisation des élèves transférés vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli dans le cadre de cette première opération de relogement, M. Aziz a assuré que toutes les "facilitations matérielles et pédagogiques ont été prévues". L'opération de relogement de ces familles a été favorablement accueillie par les bénéficiaires qui vivaient dans des conditions jugées "dégradantes" comme en témoigne Fayçal Benmakhlouf (48 ans) qui vient de quitter "l'enfer des chalets d'amiante où (il) a vécu depuis plus de deux décennies", selon ses dires. Près de 1.000 familles qui occupaient les chalets dits "Sotraco" et trois sites de bidonvilles limitrophes (Améziane, An-Nasr et El-Hattabia), dans le secteur urbain de Boudraâ-Salah (Constantine) ont été relogées la semaine dernière à la nouvelle ville Ali-Mendjeli. L'opération, entamée dans la matinée pour cibler dans une première étape plus de 600 familles des chalets "Sotraco", s'est poursuivie dans la journée pour toucher 180 familles du bidonville Améziane et près d'une centaine de familles des sites An-Nasr et El-Hattabia. Un important dispositif humain et logistique a été déployé sur les lieux pour faciliter le déménagement des familles, au titre de cette opération considérée comme le "coup d'envoi d'un important processus de relogement devant être concrétisé au fur et à mesure de la réception de nouveaux programmes de logements", a estimé Aziz Benyoucef, secrétaire général de la wilaya. Les listes des bénéficiaires avaient été élaborées "en étroite concertation avec les représentants des comités des quartiers" qui ont un rôle d'intermédiaire entre l'administration et les citoyens, a précisé le même responsable, faisant part de "l'impact de cette démarche dans la détermination du nombre exact des familles ouvrant droit à un logement". La démarche arrêtée localement pour l'établissement de "contrats-programmes'' entre l'administration et les bénéficiaires a permis aux responsables concernés d'effectuer un travail sans pression et avec le maximum de fiabilité", a affirmé ce responsable, avant d'ajouter, dans ce contexte, que tous les recours déposés par les citoyens s'estimant lésés seront traités "au cas par cas" par la commission constituée à cet effet. S'agissant de la scolarisation des élèves transférés vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli dans le cadre de cette première opération de relogement, M. Aziz a assuré que toutes les "facilitations matérielles et pédagogiques ont été prévues". L'opération de relogement de ces familles a été favorablement accueillie par les bénéficiaires qui vivaient dans des conditions jugées "dégradantes" comme en témoigne Fayçal Benmakhlouf (48 ans) qui vient de quitter "l'enfer des chalets d'amiante où (il) a vécu depuis plus de deux décennies", selon ses dires.