Afin de renforcer l'encadrement du nouveau CHU encore au stade de constitution, trente-six médecins, jouissant du grade de maître-assistant, ont été affectés à Béjaïa, a indiqué la direction de la santé. Afin de renforcer l'encadrement du nouveau CHU encore au stade de constitution, trente-six médecins, jouissant du grade de maître-assistant, ont été affectés à Béjaïa, a indiqué la direction de la santé. Recrutés au terme d'un concours national, ces praticiens spécialisés sont destinés à pourvoir les services déjà existants mais souffrant d'un déficit en ressources humaines spécialisées (médecine interne, cardiologie, radiologie et, entre autres neurologie), ou en voie de création, notamment une unité de psychiatrie pour les femmes, neurochirurgie, cardiologie, gastro-entérologie et réanimation chirurgicale. Ces services sont en fait fonctionnels, mais restent toutefois confrontés à des contraintes de commodités, étant tous regroupés au sein des locaux de la médecine interne. L'ensemble des structures hospitalo-universitaires fonctionne avec 108 médecins spécialistes dont deux professeurs et 55 généralistes, a précisé la même direction à l'APS, soulignant que trois nouveaux médecins ayant le grade de professeur sont également attendus, dans le sillage de ce nouveau flux d'arrivants, et dont l'installation est de nature à couvrir quasiment tous les besoins de l'établissement. Mis en place en août 2010, le nouveau CHU s'est constitué, par la jonction et la juxtaposition de trois établissements sanitaires déjà existants, en l'occurrence l'hôpital Khellil-Amrane, l'hôpital Frantz-Fanon et la maternité de Targa-Ouzemmour, offrant une capacité technique de 570 lits. Sa mise en fonction a été décidée dans l'urgence pour précipiter l'amélioration des soins dans la wilaya en général, mais, surtout, préparer la rentrée universitaire pour les étudiants de la faculté de médecine, afin de leur offrir le terrain adéquat à leur stage. "Rapidement, il a fallu mettre ces établissements au niveau du diapason et des attentes, en engageant une multitude d'actions conjointes, qui, en l'espace de quelques mois, ont permis notamment de réaménager les urgences médico-chirurgicales et la mise à niveau de son plateau technique et des blocs opératoires y afférents, outre l'acquisition de nouveaux équipements, depuis, les choses vont en s'améliorant", a reconnu la Direction de la santé, déplorant, cependant, qu'"on est loin de la situation et des dotations des autres CHU, dont le rattrapage exige le passage rapidement à la construction en bonne et due forme d'un vrai CHU, sur site vierge, inscrit sur le budget de l'Etat, mais qui peine à prendre forme, faute de choix d'un terrain correspondant". Les services de la wilaya, ont affirmé, lors d'une visite récente du ministre de l'Habitat, Noureddine Moussa, l'injection probable du projet sur le site de la nouvelle ville de Sidi-Bouderhem, à la périphérie nord-ouest de Béjaïa, actuellement en aménagement. Ce nouveau flux de médecins hospitalo-universitaires est, quoiqu'il en soit, de nature à améliorer le nombre et la qualité des consultations spécialisées, tout autant que la formation au niveau de la faculté de médecine. Cependant, le problème du personnel de soutien, le personnel paramédical, en l'occurrence, persiste pour atteindre la totale. Recrutés au terme d'un concours national, ces praticiens spécialisés sont destinés à pourvoir les services déjà existants mais souffrant d'un déficit en ressources humaines spécialisées (médecine interne, cardiologie, radiologie et, entre autres neurologie), ou en voie de création, notamment une unité de psychiatrie pour les femmes, neurochirurgie, cardiologie, gastro-entérologie et réanimation chirurgicale. Ces services sont en fait fonctionnels, mais restent toutefois confrontés à des contraintes de commodités, étant tous regroupés au sein des locaux de la médecine interne. L'ensemble des structures hospitalo-universitaires fonctionne avec 108 médecins spécialistes dont deux professeurs et 55 généralistes, a précisé la même direction à l'APS, soulignant que trois nouveaux médecins ayant le grade de professeur sont également attendus, dans le sillage de ce nouveau flux d'arrivants, et dont l'installation est de nature à couvrir quasiment tous les besoins de l'établissement. Mis en place en août 2010, le nouveau CHU s'est constitué, par la jonction et la juxtaposition de trois établissements sanitaires déjà existants, en l'occurrence l'hôpital Khellil-Amrane, l'hôpital Frantz-Fanon et la maternité de Targa-Ouzemmour, offrant une capacité technique de 570 lits. Sa mise en fonction a été décidée dans l'urgence pour précipiter l'amélioration des soins dans la wilaya en général, mais, surtout, préparer la rentrée universitaire pour les étudiants de la faculté de médecine, afin de leur offrir le terrain adéquat à leur stage. "Rapidement, il a fallu mettre ces établissements au niveau du diapason et des attentes, en engageant une multitude d'actions conjointes, qui, en l'espace de quelques mois, ont permis notamment de réaménager les urgences médico-chirurgicales et la mise à niveau de son plateau technique et des blocs opératoires y afférents, outre l'acquisition de nouveaux équipements, depuis, les choses vont en s'améliorant", a reconnu la Direction de la santé, déplorant, cependant, qu'"on est loin de la situation et des dotations des autres CHU, dont le rattrapage exige le passage rapidement à la construction en bonne et due forme d'un vrai CHU, sur site vierge, inscrit sur le budget de l'Etat, mais qui peine à prendre forme, faute de choix d'un terrain correspondant". Les services de la wilaya, ont affirmé, lors d'une visite récente du ministre de l'Habitat, Noureddine Moussa, l'injection probable du projet sur le site de la nouvelle ville de Sidi-Bouderhem, à la périphérie nord-ouest de Béjaïa, actuellement en aménagement. Ce nouveau flux de médecins hospitalo-universitaires est, quoiqu'il en soit, de nature à améliorer le nombre et la qualité des consultations spécialisées, tout autant que la formation au niveau de la faculté de médecine. Cependant, le problème du personnel de soutien, le personnel paramédical, en l'occurrence, persiste pour atteindre la totale.