L‘approvisionnement en carburants qui a connu dernièrement des perturbations dans la région ouest du pays reprendra son cours normal très rapidement, a indiqué hier le P-dg de Naftal, Said Akretche. Contacté par l‘APS, M. Akretche a rassuré que "Naftal a mobilisé tous les moyens de transport par route pour juguler cette tension et mettre à la disposition de la clientèle l‘ensemble des carburants". "La situation s‘est nettement améliorée et reprendra son cours normal très rapidement", a-t-il dit. La tension s‘est accentuée depuis presque une semaine dans plusieurs villes de l‘ouest du pays, où plusieurs stations-service, notamment celles de la wilaya d‘Oran, n‘ont pas été alimentées en essence super. M. Akretche explique "qu‘il ne s‘agit pas d‘une pénurie, mais plutôt d‘une forte tension due à la consignation des ports, induite par les mauvaises conditions climatiques exceptionnelles que traverse le pays". Il précise que cette consignation a duré plus de huit jours, notamment au niveau du port de Skikda, principale source d‘approvisionnement de carburants du pays, rendant impossible l‘accostage des navires pour décharger les produits pétroliers. D‘ailleurs, l‘accalmie enregistrée vendredi et samedi derniers a permis la reprise de l‘approvisionnement de la région ouest où les automobilistes ont pu faire le plein, précise encore le dirigeant de Naftal. La fermeture de plusieurs stations services d‘Oran en raison de la rupture des carburants a poussé plusieurs automobilistes à se déplacer jusqu‘aux wilayas de Sidi Bel-Abbèes et Aïn Temouchent pour s‘approvisionner d‘essence. Dans la wilaya de Tlemcen, la pénurie en essence a été aggravée par le nombre grandissant des trafiquants de carburants qui font transiter quotidiennement à travers les frontières des quantités importantes de ces dérivés pétroliers. Le même topo est signalé du côté d‘Oran où les automobilistes éprouvaient, hier, pour la seconde journée consécutive, d‘énormes difficultés pour s‘approvisionner en carburant en raison des perturbations enregistrées dans la distribution de ces produits. De longues files d‘attente se sont formées, dès les premières heures de la matinée, devant les quelques station-services disposant encore de réserves, a-t-on constaté. Les perturbations touchent principalement l‘essence normale, au contraire du "super" et du "sans plomb" ainsi que du mazout qui restent plus ou moins disponibles, en raison d‘une demande moins importante des automobilistes. Les longues files d‘attente ont causé d‘importants embouteillages, bloquant même la circulation dans certains points, tels le carrefour "El Bahia", où sont situées plusieurs stations de Naftal ou encore les stations d‘Ibn Rochd, de Bir El Djir, d‘Arzew et même d‘Oued Tlelat, vers laquelle se dirigent les conducteurs empruntant l‘autoroute Est-Ouest. Les usagers du transport en commun et des taxis appréhendent que ce déficit, s‘il venait à persister, n‘ait des répercussions sur le trafic urbain et suburbain. Pour l‘heure, seules quelques perturbations et une réduction de la circulation ont été constatées, notamment au centre-ville, où le trafic, en tant habituel, est qualifiée de "très dense" L‘approvisionnement en carburants qui a connu dernièrement des perturbations dans la région ouest du pays reprendra son cours normal très rapidement, a indiqué hier le P-dg de Naftal, Said Akretche. Contacté par l‘APS, M. Akretche a rassuré que "Naftal a mobilisé tous les moyens de transport par route pour juguler cette tension et mettre à la disposition de la clientèle l‘ensemble des carburants". "La situation s‘est nettement améliorée et reprendra son cours normal très rapidement", a-t-il dit. La tension s‘est accentuée depuis presque une semaine dans plusieurs villes de l‘ouest du pays, où plusieurs stations-service, notamment celles de la wilaya d‘Oran, n‘ont pas été alimentées en essence super. M. Akretche explique "qu‘il ne s‘agit pas d‘une pénurie, mais plutôt d‘une forte tension due à la consignation des ports, induite par les mauvaises conditions climatiques exceptionnelles que traverse le pays". Il précise que cette consignation a duré plus de huit jours, notamment au niveau du port de Skikda, principale source d‘approvisionnement de carburants du pays, rendant impossible l‘accostage des navires pour décharger les produits pétroliers. D‘ailleurs, l‘accalmie enregistrée vendredi et samedi derniers a permis la reprise de l‘approvisionnement de la région ouest où les automobilistes ont pu faire le plein, précise encore le dirigeant de Naftal. La fermeture de plusieurs stations services d‘Oran en raison de la rupture des carburants a poussé plusieurs automobilistes à se déplacer jusqu‘aux wilayas de Sidi Bel-Abbèes et Aïn Temouchent pour s‘approvisionner d‘essence. Dans la wilaya de Tlemcen, la pénurie en essence a été aggravée par le nombre grandissant des trafiquants de carburants qui font transiter quotidiennement à travers les frontières des quantités importantes de ces dérivés pétroliers. Le même topo est signalé du côté d‘Oran où les automobilistes éprouvaient, hier, pour la seconde journée consécutive, d‘énormes difficultés pour s‘approvisionner en carburant en raison des perturbations enregistrées dans la distribution de ces produits. De longues files d‘attente se sont formées, dès les premières heures de la matinée, devant les quelques station-services disposant encore de réserves, a-t-on constaté. Les perturbations touchent principalement l‘essence normale, au contraire du "super" et du "sans plomb" ainsi que du mazout qui restent plus ou moins disponibles, en raison d‘une demande moins importante des automobilistes. Les longues files d‘attente ont causé d‘importants embouteillages, bloquant même la circulation dans certains points, tels le carrefour "El Bahia", où sont situées plusieurs stations de Naftal ou encore les stations d‘Ibn Rochd, de Bir El Djir, d‘Arzew et même d‘Oued Tlelat, vers laquelle se dirigent les conducteurs empruntant l‘autoroute Est-Ouest. Les usagers du transport en commun et des taxis appréhendent que ce déficit, s‘il venait à persister, n‘ait des répercussions sur le trafic urbain et suburbain. Pour l‘heure, seules quelques perturbations et une réduction de la circulation ont été constatées, notamment au centre-ville, où le trafic, en tant habituel, est qualifiée de "très dense"