L‘Iran a dénoncé dimanche les sanctions décidées la veille par les Etats-Unis pour empêcher les institutions financières de commercer avec la Banque centrale iranienne. Le président Barack Obama, inquiet de la poursuite du programme nucléaire iranien, a signé samedi un texte de loi sur le financement du budget de la défense comprenant ces nouvelles sanctions, qui concernent aussi bien les établissements bancaires privés que ceux contrôlés par l‘Etat, y compris les banques centrales. Ces mesures entreront en vigueur après une période d‘avertissement de deux à six mois selon les transactions, a précisé un responsable de l‘administration Obama. Le président de la Chambre de commerce iranienne, Mohammad Nahavandian, a jugé dimanche ces sanctions "injustifiables" et affirmé qu‘elles auraient des conséquences pour les Etats-Unis. "La nation iranienne et tous ceux qui sont impliqués dans des activités économiques et commerciales trouveront d‘autres moyens" pour contrer ces mesures, a-t-il assuré à l‘agence de presse Isna. "Ces sanctions font faire monter le coût des transactions économiques et commerciales mais ne modifient en rien les prises de position politiques de l‘Iran", a-t-il ajouté. Mohammad Nahavandian a invité les Européens confrontés à la crise de la dette à investir dans son pays. "Etant donné la crise économique en Europe, les sociétés européennes sont à la recherche de nouveaux marchés (...) Les différends politiques ne doivent pas peser sur les relations commerciales", a-t-il dit. L‘Iran a dénoncé dimanche les sanctions décidées la veille par les Etats-Unis pour empêcher les institutions financières de commercer avec la Banque centrale iranienne. Le président Barack Obama, inquiet de la poursuite du programme nucléaire iranien, a signé samedi un texte de loi sur le financement du budget de la défense comprenant ces nouvelles sanctions, qui concernent aussi bien les établissements bancaires privés que ceux contrôlés par l‘Etat, y compris les banques centrales. Ces mesures entreront en vigueur après une période d‘avertissement de deux à six mois selon les transactions, a précisé un responsable de l‘administration Obama. Le président de la Chambre de commerce iranienne, Mohammad Nahavandian, a jugé dimanche ces sanctions "injustifiables" et affirmé qu‘elles auraient des conséquences pour les Etats-Unis. "La nation iranienne et tous ceux qui sont impliqués dans des activités économiques et commerciales trouveront d‘autres moyens" pour contrer ces mesures, a-t-il assuré à l‘agence de presse Isna. "Ces sanctions font faire monter le coût des transactions économiques et commerciales mais ne modifient en rien les prises de position politiques de l‘Iran", a-t-il ajouté. Mohammad Nahavandian a invité les Européens confrontés à la crise de la dette à investir dans son pays. "Etant donné la crise économique en Europe, les sociétés européennes sont à la recherche de nouveaux marchés (...) Les différends politiques ne doivent pas peser sur les relations commerciales", a-t-il dit.