Mieux vaut tard que jamais. Les dirigeants de la filiale algérienne du géant mondial de l'acier tentent, tant bien que mal, de sauver désespérément la société ArceloMital d'El Hadjar, jadis fleuron de l'industrie métallurgique nationale, mais qui s'enfonce dans la crise économique. Selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, qui prend conscience de la menace de licenciement massif de 7.000 employés, et dont le dépôt de bilan d'ArcelorMital est imminent et presque inévitable, il reste encore une lueur d'espoir de voir une issue négociée et heureuse à cette scabreuse affaire qui perdure depuis de longues années. L'argent, le nerf de la guerre, pourrait être, en effet, la bouée de sauvetage salutaire, pour éviter le purgatoire et la banqueroute de cette entreprise multinationale ayant des ramifications un peu partout dans le monde. La condition sine qua non réside dans la décision que devra prendre la Banque extérieure d'Algérie qui viendrait à la rescousse en octroyant, probablement, une enveloppe financière évaluée à plus de 270 millions de dollars pour permettre à ArcelorMital de réaliser des investissements productifs, capables de la redresser, et par voie de conséquence, continuer à assurer ses cycles de production. Etant sous sérum, les dirigeants d'ArcelorMital continuent donc, de croire au miracle salvateur tout en entretenant le suspense au niveau des délibérations du tribunal d'Annaba qui statuera sur l'avenir de cette firme et sur le sort des milliers de salariés inquiets et angoissés. Une situation embarrassante, voire stressante. L'important consiste, dans l'immédiat à éviter le dépôt de bilan en attendant le verdict qui sera prononcé demain par le tribunal. Mieux vaut tard que jamais. Les dirigeants de la filiale algérienne du géant mondial de l'acier tentent, tant bien que mal, de sauver désespérément la société ArceloMital d'El Hadjar, jadis fleuron de l'industrie métallurgique nationale, mais qui s'enfonce dans la crise économique. Selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, qui prend conscience de la menace de licenciement massif de 7.000 employés, et dont le dépôt de bilan d'ArcelorMital est imminent et presque inévitable, il reste encore une lueur d'espoir de voir une issue négociée et heureuse à cette scabreuse affaire qui perdure depuis de longues années. L'argent, le nerf de la guerre, pourrait être, en effet, la bouée de sauvetage salutaire, pour éviter le purgatoire et la banqueroute de cette entreprise multinationale ayant des ramifications un peu partout dans le monde. La condition sine qua non réside dans la décision que devra prendre la Banque extérieure d'Algérie qui viendrait à la rescousse en octroyant, probablement, une enveloppe financière évaluée à plus de 270 millions de dollars pour permettre à ArcelorMital de réaliser des investissements productifs, capables de la redresser, et par voie de conséquence, continuer à assurer ses cycles de production. Etant sous sérum, les dirigeants d'ArcelorMital continuent donc, de croire au miracle salvateur tout en entretenant le suspense au niveau des délibérations du tribunal d'Annaba qui statuera sur l'avenir de cette firme et sur le sort des milliers de salariés inquiets et angoissés. Une situation embarrassante, voire stressante. L'important consiste, dans l'immédiat à éviter le dépôt de bilan en attendant le verdict qui sera prononcé demain par le tribunal.