Le tribunal criminel près la Cour de Sidi Bel-Abbès a reporté dimanche à la session criminelle de février prochain, le procès des six fonctionnaires de police, poursuivis pour "coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Après délibérations, le président du tribunal, qui a prononcé le renvoi a également rejeté la demande de mise en liberté provisoire des mis en cause introduite par la défense. Les six fonctionnaires de police sont mis en cause dans le décès d'un père de famille, d'une trentaine d'années, blessé lors d'un mouvement de protestation au chef-lieu de la wilaya d'Aïn Temouchent, après l'affichage, en juillet dernier, des listes de bénéficiaires de logements sociaux. Il décèdera dix jours après son admission au CHU d'Oran. Les six fonctionnaires de police, inculpés dans cette affaire, sont le chef de la Police judiciaire, un officier, un inspecteur et trois agents de l'ordre public. Le tribunal criminel près la Cour de Sidi Bel-Abbès a reporté dimanche à la session criminelle de février prochain, le procès des six fonctionnaires de police, poursuivis pour "coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Après délibérations, le président du tribunal, qui a prononcé le renvoi a également rejeté la demande de mise en liberté provisoire des mis en cause introduite par la défense. Les six fonctionnaires de police sont mis en cause dans le décès d'un père de famille, d'une trentaine d'années, blessé lors d'un mouvement de protestation au chef-lieu de la wilaya d'Aïn Temouchent, après l'affichage, en juillet dernier, des listes de bénéficiaires de logements sociaux. Il décèdera dix jours après son admission au CHU d'Oran. Les six fonctionnaires de police, inculpés dans cette affaire, sont le chef de la Police judiciaire, un officier, un inspecteur et trois agents de l'ordre public.