La culture japonaise sera à l'honneur à Alger et à Oran à la faveur de la programmation, janvier courant, de représentations théâtrales du genre Nô, spécifique au répertoire traditionnel de l'archipel asiatique. Des spectacles, accompagnés de conférences et séances de démonstration, sont prévus dans le cadre de cette manifestation artistique initiée par l'ambassade du Japon en Algérie en collaboration avec le ministère de la Culture pour faire connaître au public l'art scénique japonais. Selon les organisateurs, le Nô dont la création remonte à plus de six siècles a été inscrit par l'Unesco sur la liste de la première proclamation des chefs-d'œuvre du patrimoine mondial immatériel en 2001. Style théâtral parmi les plus sophistiqués dans le monde, le Nô intègre les folklores, les danses et les musiques qui étaient populaires à l'époque de son apparition, indiquent les mêmes sources. Environ 250 pièces puisées de ce répertoire traditionnel se jouent aujourd'hui, classées en cinq catégories dites "pièces de dieux", "pièces de samouraïs", "pièces de femmes", "pièces des vies diverses" et "pièces des entités supranaturelles", explique-t-on. La pièce théâtrale phare proposée par la troupe japonaise s'intitule Kakitsubata (Iris) et figure, quant à elle, parmi la catégorie dite des "pièces de femmes", considérée comme étant "la plus poétique et du plus haut niveau d'expression de Yougen (mystère, subtilité)". Une dizaine de comédiens, musiciens et choristes de différentes écoles japonaises composent la troupe hôte qui se produira à l'auditorium de l'université de Bouzaréah (18 janvier), à la salle Ibn Zeydoun de Riadh El-Feth à Alger (19 janvier), au Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (21 janvier) et à l'auditorium de l'université des sciences de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (22 janvier). La culture japonaise sera à l'honneur à Alger et à Oran à la faveur de la programmation, janvier courant, de représentations théâtrales du genre Nô, spécifique au répertoire traditionnel de l'archipel asiatique. Des spectacles, accompagnés de conférences et séances de démonstration, sont prévus dans le cadre de cette manifestation artistique initiée par l'ambassade du Japon en Algérie en collaboration avec le ministère de la Culture pour faire connaître au public l'art scénique japonais. Selon les organisateurs, le Nô dont la création remonte à plus de six siècles a été inscrit par l'Unesco sur la liste de la première proclamation des chefs-d'œuvre du patrimoine mondial immatériel en 2001. Style théâtral parmi les plus sophistiqués dans le monde, le Nô intègre les folklores, les danses et les musiques qui étaient populaires à l'époque de son apparition, indiquent les mêmes sources. Environ 250 pièces puisées de ce répertoire traditionnel se jouent aujourd'hui, classées en cinq catégories dites "pièces de dieux", "pièces de samouraïs", "pièces de femmes", "pièces des vies diverses" et "pièces des entités supranaturelles", explique-t-on. La pièce théâtrale phare proposée par la troupe japonaise s'intitule Kakitsubata (Iris) et figure, quant à elle, parmi la catégorie dite des "pièces de femmes", considérée comme étant "la plus poétique et du plus haut niveau d'expression de Yougen (mystère, subtilité)". Une dizaine de comédiens, musiciens et choristes de différentes écoles japonaises composent la troupe hôte qui se produira à l'auditorium de l'université de Bouzaréah (18 janvier), à la salle Ibn Zeydoun de Riadh El-Feth à Alger (19 janvier), au Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (21 janvier) et à l'auditorium de l'université des sciences de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran (22 janvier).