Ce sont les dernières promotions à avoir bénéficié d'une formation de 18 mois. Dorénavant, la durée de formation des élèves-lieutenants de la police algérienne sera de 24 mois. Une démarche qui s'inscrit dans le cadre de l'adaptation de la durée de formation au dernier statut de la police, aussi bien pour l'agent de police que pour l'officier. Grosso modo, le programme de formation du corps de la Sûreté nationale a connu «une réforme radicale». C'est d'ailleurs ce qu'a déclaré, jeudi dernier à Alger, le directeur de l'Ecole supérieure de police (ESP) Ali-Tounsi, le commissaire principal Chibout Farid. Le directeur de l'ESP s'est exprimé à l'occasion de la cérémonie de sortie de 3 promotions de commissaires principaux et de lieutenants de police, baptisées du nom du défunt commissaire divisionnaire, Merissi Mohamed. Il s'agit de la 15e promotion des lieutenants de police, la 8e des lieutenants femmes, soit 419 et 61 éléments respectivement, ainsi que la 14e promotion des commissaires principaux, qui compte 50 éléments. Notons que parmi les 530 promus, 39 ont bénéficié d'une formation de base de 6 mois à l'Académie militaire inter-armes (AMIA) de Cherchell. Cette initiative, qui s'inscrit dans le cadre d'un accord conclu entre les ministères de la Défense nationale et celui de l'Intérieur et des Collectivités locales, a été qualifiée de "choix stratégique" par le directeur de l'Ecole. Notons enfin que la cérémonie, présidée par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia et le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel, a été marquée par la présence de membres du gouvernement, du Commandant de la Gendarmerie nationale, le général major Ahmed Boustila, ainsi que des cadres de la Sûreté nationale. Ce sont les dernières promotions à avoir bénéficié d'une formation de 18 mois. Dorénavant, la durée de formation des élèves-lieutenants de la police algérienne sera de 24 mois. Une démarche qui s'inscrit dans le cadre de l'adaptation de la durée de formation au dernier statut de la police, aussi bien pour l'agent de police que pour l'officier. Grosso modo, le programme de formation du corps de la Sûreté nationale a connu «une réforme radicale». C'est d'ailleurs ce qu'a déclaré, jeudi dernier à Alger, le directeur de l'Ecole supérieure de police (ESP) Ali-Tounsi, le commissaire principal Chibout Farid. Le directeur de l'ESP s'est exprimé à l'occasion de la cérémonie de sortie de 3 promotions de commissaires principaux et de lieutenants de police, baptisées du nom du défunt commissaire divisionnaire, Merissi Mohamed. Il s'agit de la 15e promotion des lieutenants de police, la 8e des lieutenants femmes, soit 419 et 61 éléments respectivement, ainsi que la 14e promotion des commissaires principaux, qui compte 50 éléments. Notons que parmi les 530 promus, 39 ont bénéficié d'une formation de base de 6 mois à l'Académie militaire inter-armes (AMIA) de Cherchell. Cette initiative, qui s'inscrit dans le cadre d'un accord conclu entre les ministères de la Défense nationale et celui de l'Intérieur et des Collectivités locales, a été qualifiée de "choix stratégique" par le directeur de l'Ecole. Notons enfin que la cérémonie, présidée par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia et le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel, a été marquée par la présence de membres du gouvernement, du Commandant de la Gendarmerie nationale, le général major Ahmed Boustila, ainsi que des cadres de la Sûreté nationale.