Des dizaines de milliers de Syriens ont manifesté vendredi dans plusieurs villes du pays pour soutenir l'Armée syrienne libre (ASL), a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Comme tous les vendredis, les Syriens avaient été appelés par les militants pro-démocratie à manifester contre le régime. Cette semaine, leur mot d'ordre était le soutien à l'Armée syrienne libre (ASL), qui regrouperait quelque 40.000 déserteurs et dont le chef Riad al-Assaad est basé en Turquie. Dans la région d'Idleb (nord-ouest), près de 20.000 manifestants sont sortis dans la ville d'Ariha appelant à la chute du régime. Un manifestant a été tué par les tirs des forces de l'ordre dans la localité de Kafrnoubol, dans cette même région, proche de la frontière turque, selon la même source. A Hama (centre), un adolescent de 17 ans a péri sous les balles des forces de sécurité, a également rapporté l'OSDH. Près de Damas, 15.000 personnes ont manifesté sur la place de la Grande Mosquée à Douma, où "des affrontements ont eu lieu ce matin entre des agents de sécurité et des déserteurs", selon l'OSDH. Les forces de sécurité ont procédé à des perquisitions dans le quartier al-Sindyané de cette ville, située à 20 km de Damas. Plus de 5.000 personnes ont manifesté également à Palmyre, après la prière, dans la région de Homs (centre), bastion de la contestation contre le régime du président Bachar al-Assad.Plusieurs explosions, suivies de tirs, ont été entendues dans la ville même de Homs, à 160 km au nord de Damas, selon la même source. Les forces de sécurité ont également ouvert le feu pour disperser des manifestations dans les quartiers d'al-Joubeila et d'al-Arfi à Deir Ezzor (est) et à Jassem, dans le gouvernorat de Deraa (sud), ainsi que dans des localités de la banlieue de Damas, selon l'OSDH et les Comités locaux de coordination (LCC) qui chapeautent les manifestants sur le terrain. Des dizaines de milliers de Syriens ont manifesté vendredi dans plusieurs villes du pays pour soutenir l'Armée syrienne libre (ASL), a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Comme tous les vendredis, les Syriens avaient été appelés par les militants pro-démocratie à manifester contre le régime. Cette semaine, leur mot d'ordre était le soutien à l'Armée syrienne libre (ASL), qui regrouperait quelque 40.000 déserteurs et dont le chef Riad al-Assaad est basé en Turquie. Dans la région d'Idleb (nord-ouest), près de 20.000 manifestants sont sortis dans la ville d'Ariha appelant à la chute du régime. Un manifestant a été tué par les tirs des forces de l'ordre dans la localité de Kafrnoubol, dans cette même région, proche de la frontière turque, selon la même source. A Hama (centre), un adolescent de 17 ans a péri sous les balles des forces de sécurité, a également rapporté l'OSDH. Près de Damas, 15.000 personnes ont manifesté sur la place de la Grande Mosquée à Douma, où "des affrontements ont eu lieu ce matin entre des agents de sécurité et des déserteurs", selon l'OSDH. Les forces de sécurité ont procédé à des perquisitions dans le quartier al-Sindyané de cette ville, située à 20 km de Damas. Plus de 5.000 personnes ont manifesté également à Palmyre, après la prière, dans la région de Homs (centre), bastion de la contestation contre le régime du président Bachar al-Assad.Plusieurs explosions, suivies de tirs, ont été entendues dans la ville même de Homs, à 160 km au nord de Damas, selon la même source. Les forces de sécurité ont également ouvert le feu pour disperser des manifestations dans les quartiers d'al-Joubeila et d'al-Arfi à Deir Ezzor (est) et à Jassem, dans le gouvernorat de Deraa (sud), ainsi que dans des localités de la banlieue de Damas, selon l'OSDH et les Comités locaux de coordination (LCC) qui chapeautent les manifestants sur le terrain.