Destiné à la formation en "fetla" et en "medjboud" (des techniques traditionnelles de broderie aux fils d'or), un nouvel atelier de passementerie vient d'être créé par la Chambre de l'artisanat et des métiers (CAM) de Constantine, a indiqué son directeur. Destiné à la formation en "fetla" et en "medjboud" (des techniques traditionnelles de broderie aux fils d'or), un nouvel atelier de passementerie vient d'être créé par la Chambre de l'artisanat et des métiers (CAM) de Constantine, a indiqué son directeur. Premier du genre, cet atelier "aura pour mission d'inculquer ce savoir-faire ancestral aux jeunes, appelés à préserver et à sauvegarder les métiers traditionnels qui ne demandent qu'à être valorisés", a précisé M. Hacène Kacem. Outre le second objectif qui est de "mettre en contact, pour des échanges d'idées et d'expériences, les jeunes ayant déjà une certaine maîtrise de ce savoir-faire transmis de génération en génération", la CAM ambitionne aussi de "faire sortir et connaître" le travail que réalisent les femmes au foyer en leur offrant l'occasion de participer aux différents salons et festivals dédiés à l'artisanat, ajoute M. Kacem à l'APS. ''Nos jeunes doivent s'intéresser davantage aux métiers traditionnels pour qu'ils ne disparaissent pas totalement et ce, à travers l'organisation de formations destinées même aux maîtres-artisans afin de promouvoir et de développer leurs connaissances en la matière'', soutient le directeur de la CAM, insistant sur "la nécessité de pérenniser et de préserver le patrimoine artisanal par l'intensification de la formation et de l'apprentissage". Par ailleurs, le même responsable a indiqué que plusieurs diplômés de la formation professionnelle ont exprimé le souhait d'obtenir, à l'issue de leur formation théorique et pratique, un certificat délivré par la CAM qu'ils considèrent comme un document de reconnaissance de la qualité d'artisan et qui permettra au titulaire de bénéficier d'une aide de l'Etat pour la création d'une micro-entreprise fiable par le biais de différents dispositifs d'aide à l'emploi. Premier du genre, cet atelier "aura pour mission d'inculquer ce savoir-faire ancestral aux jeunes, appelés à préserver et à sauvegarder les métiers traditionnels qui ne demandent qu'à être valorisés", a précisé M. Hacène Kacem. Outre le second objectif qui est de "mettre en contact, pour des échanges d'idées et d'expériences, les jeunes ayant déjà une certaine maîtrise de ce savoir-faire transmis de génération en génération", la CAM ambitionne aussi de "faire sortir et connaître" le travail que réalisent les femmes au foyer en leur offrant l'occasion de participer aux différents salons et festivals dédiés à l'artisanat, ajoute M. Kacem à l'APS. ''Nos jeunes doivent s'intéresser davantage aux métiers traditionnels pour qu'ils ne disparaissent pas totalement et ce, à travers l'organisation de formations destinées même aux maîtres-artisans afin de promouvoir et de développer leurs connaissances en la matière'', soutient le directeur de la CAM, insistant sur "la nécessité de pérenniser et de préserver le patrimoine artisanal par l'intensification de la formation et de l'apprentissage". Par ailleurs, le même responsable a indiqué que plusieurs diplômés de la formation professionnelle ont exprimé le souhait d'obtenir, à l'issue de leur formation théorique et pratique, un certificat délivré par la CAM qu'ils considèrent comme un document de reconnaissance de la qualité d'artisan et qui permettra au titulaire de bénéficier d'une aide de l'Etat pour la création d'une micro-entreprise fiable par le biais de différents dispositifs d'aide à l'emploi.