Les cours des matières premières et les prix des produits alimentaires sans cesse en augmentation sur le marché international ont fortement conditionné les volumes d'importation de l'Algérie durant l'année précédente. Passant de 2 milliards de dollars en termes d'importation de produits alimentaires en 2000 à plus de 5 milliards de dollars, quelques années plus tard, la facture a plus que quadruplé, atteignant 9 milliards de dollars en 2011. Les cours des matières premières et les prix des produits alimentaires sans cesse en augmentation sur le marché international ont fortement conditionné les volumes d'importation de l'Algérie durant l'année précédente. Passant de 2 milliards de dollars en termes d'importation de produits alimentaires en 2000 à plus de 5 milliards de dollars, quelques années plus tard, la facture a plus que quadruplé, atteignant 9 milliards de dollars en 2011. Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, impute cette hausse vertigineuse à l'affolement du marché mondial, précisant que «la hausse des importations algériennes de produits alimentaires en 2011, qui a avoisiné les 9 milliards de dollars, résulte de la hausse des prix des céréales sur les marchés internationaux». Ajoutant :«Nous avons terminé l'année 2011 avec 9 milliards de dollars d'importations de produits alimentaires dont 4 milliards de dollars pour les céréales. Les prix de ces produits ont affiché une hausse entre 30 et 120%». Il est normal que la facture alimentaire grimpe au fil des années en raison de l'inflation caractérisant les échanges commerciaux internationaux et la récession des pays occidentaux fournisseurs de produits alimentaires, «mais l'essentiel pour l'Algérie consiste à stocker massivement les produits et les denrées alimentaires dans le but d'assurer la sécurité alimentaire, et par voie de conséquence, éviter des pénuries concernant les produits de large consommation, tels que les céréales, blé, huiles, sucre, café…», Comme l'a expliqué Benbada. Celui-ci indique que «la hausse de la facture des importations de céréales est due certes «aux quantités supplémentaires que nous avons décidé d'importer pour approvisionner le marché, mais surtout à la flambée des prix à l'international» ajoutant que «la moyenne des prix des céréales, tous types confondus, a dépassé les 500 dollars/tonne contre une moyenne autour de 200 dollars en 2010». C'est ainsi que, selon lui, cette hausse, qui est donc conjoncturelle, a coûté à l'Etat beaucoup d'argent et qu'il fallait introduire d'autres mécanismes de régulation pour contenir cette flambée des prix. Suivant les statistiques des douanes, les importations algériennes de produits alimentaires ont enregistré durant les neuf premiers mois de 2011 une progression de plus de 66% à 7,9 milliards de dollars. Les importations des céréales ont augmenté de plus de 104 % à 3,01 milliards de dollars». Les importations alimentaires représentent 20,8% du volume global des importations algériennes. S'agissant de l'augmentation constatée sur les prix des produits alimentaires sur le marché national, le ministre a dit que purement l'émanation de l'économie de marché qui prend en considération la question de l'offre et de la demande. En effet, lorsque la demande est supérieure à l'offre, il est naturel que les commerçants pratiquent des prix élevés, sachant que la défaillance en matière de stockage a dopé les prix au détail. Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, impute cette hausse vertigineuse à l'affolement du marché mondial, précisant que «la hausse des importations algériennes de produits alimentaires en 2011, qui a avoisiné les 9 milliards de dollars, résulte de la hausse des prix des céréales sur les marchés internationaux». Ajoutant :«Nous avons terminé l'année 2011 avec 9 milliards de dollars d'importations de produits alimentaires dont 4 milliards de dollars pour les céréales. Les prix de ces produits ont affiché une hausse entre 30 et 120%». Il est normal que la facture alimentaire grimpe au fil des années en raison de l'inflation caractérisant les échanges commerciaux internationaux et la récession des pays occidentaux fournisseurs de produits alimentaires, «mais l'essentiel pour l'Algérie consiste à stocker massivement les produits et les denrées alimentaires dans le but d'assurer la sécurité alimentaire, et par voie de conséquence, éviter des pénuries concernant les produits de large consommation, tels que les céréales, blé, huiles, sucre, café…», Comme l'a expliqué Benbada. Celui-ci indique que «la hausse de la facture des importations de céréales est due certes «aux quantités supplémentaires que nous avons décidé d'importer pour approvisionner le marché, mais surtout à la flambée des prix à l'international» ajoutant que «la moyenne des prix des céréales, tous types confondus, a dépassé les 500 dollars/tonne contre une moyenne autour de 200 dollars en 2010». C'est ainsi que, selon lui, cette hausse, qui est donc conjoncturelle, a coûté à l'Etat beaucoup d'argent et qu'il fallait introduire d'autres mécanismes de régulation pour contenir cette flambée des prix. Suivant les statistiques des douanes, les importations algériennes de produits alimentaires ont enregistré durant les neuf premiers mois de 2011 une progression de plus de 66% à 7,9 milliards de dollars. Les importations des céréales ont augmenté de plus de 104 % à 3,01 milliards de dollars». Les importations alimentaires représentent 20,8% du volume global des importations algériennes. S'agissant de l'augmentation constatée sur les prix des produits alimentaires sur le marché national, le ministre a dit que purement l'émanation de l'économie de marché qui prend en considération la question de l'offre et de la demande. En effet, lorsque la demande est supérieure à l'offre, il est naturel que les commerçants pratiquent des prix élevés, sachant que la défaillance en matière de stockage a dopé les prix au détail.