Les maladies sexuellement transmissibles (MST) sont des infections susceptibles qui se transmettent lors des rapports sexuels, quels que soient leurs modes : génital, oro-génital ou ano-génital… La plupart des MST traitées à temps guérissent généralement sans séquelle. Un traitement tardif n'empêche pas toujours l'apparition de complications. img /sup_magazine&art1&2012-01-25img1.jpg" Les maladies sexuellement transmissibles (MST) sont des infections susceptibles qui se transmettent lors des rapports sexuels, quels que soient leurs modes : génital, oro-génital ou ano-génital… La plupart des MST traitées à temps guérissent généralement sans séquelle. Un traitement tardif n'empêche pas toujours l'apparition de complications. Très répandues de par le monde et notre pays ne fait pas exception, les MST mal diagnostiquées et mal soignées peuvent s'avérer très graves : transmission chez le nouveau né, stérilité, cancer, etc. Les bactéries, les champignons ou les virus sont toujours les agents «causatifs» de ces maladies. Bien que la probabilité de transmission des maladies par l'activité sexuelle varie grandement d'une pathologie à l'autre, en général un rapport sexuel peut être considéré comme risqué dans les deux sens : celui de transmettre au partenaire, comme celui de recevoir. Les professionnels de la santé conseillent des rapports protégés par préservatifs lors de relations sexuelles avec des personnes potentiellement atteintes, ce qui constitue une méthode efficace de prévention. Au niveau d'une population, l'utilisation de préservatifs peut aider à contrôler une épidémie. Dans le cas des infections transmises par le sang, il suffit d'un contact entre son tissu sanguin et le sang contaminé d'une autre personne. Les maladies sexuellement transmissibles se manifestent par des signes variés et souvent très discrets, notamment chez la femme. Pourtant, il est fondamental de diagnostiquer et de traiter ces infections tôt pour éviter les séquelles que certaines d'entre elles peuvent entraîner. Mais il est tout aussi important que les partenaires des patients infectés aient un dépistage et, le cas échéant, un traitement, pour éviter que d'autres personnes ne soient contaminées, bien sûr, mais aussi pour empêcher que l'infection ne devienne chronique. En effet, le danger est de voir se développer des complications à bas bruits, et notamment une stérilité chez les femmes infectées. Le risque est d'autant plus grand que, souvent, seul un examen gynécologique permet de repérer des lésions. Très répandues de par le monde et notre pays ne fait pas exception, les MST mal diagnostiquées et mal soignées peuvent s'avérer très graves : transmission chez le nouveau né, stérilité, cancer, etc. Les bactéries, les champignons ou les virus sont toujours les agents «causatifs» de ces maladies. Bien que la probabilité de transmission des maladies par l'activité sexuelle varie grandement d'une pathologie à l'autre, en général un rapport sexuel peut être considéré comme risqué dans les deux sens : celui de transmettre au partenaire, comme celui de recevoir. Les professionnels de la santé conseillent des rapports protégés par préservatifs lors de relations sexuelles avec des personnes potentiellement atteintes, ce qui constitue une méthode efficace de prévention. Au niveau d'une population, l'utilisation de préservatifs peut aider à contrôler une épidémie. Dans le cas des infections transmises par le sang, il suffit d'un contact entre son tissu sanguin et le sang contaminé d'une autre personne. Les maladies sexuellement transmissibles se manifestent par des signes variés et souvent très discrets, notamment chez la femme. Pourtant, il est fondamental de diagnostiquer et de traiter ces infections tôt pour éviter les séquelles que certaines d'entre elles peuvent entraîner. Mais il est tout aussi important que les partenaires des patients infectés aient un dépistage et, le cas échéant, un traitement, pour éviter que d'autres personnes ne soient contaminées, bien sûr, mais aussi pour empêcher que l'infection ne devienne chronique. En effet, le danger est de voir se développer des complications à bas bruits, et notamment une stérilité chez les femmes infectées. Le risque est d'autant plus grand que, souvent, seul un examen gynécologique permet de repérer des lésions.