A l'Est comme à l'Ouest il y a de fortes tensions sur le carburant. Mais la pénurie dans les stations n'est pas à mettre au compte de la hausse de la consommation. La programmation, la défaillance mais surtout le rationnement par Naftal sont aussi à mettre sur le compte des désagréments que subissent depuis un bon bout de temps les automobilistes qui attendent des heures pour quelques litres dans leur réservoir. Quand les stations sont à sec, elles bloquent les entrées avec des barrières, une situation qui met les nerfs à fleur de peau. Mais il n'y a pas que ces dysfonctionnements qui sont la cause de la crise sévère, les regards sont tournés vers ceux que l'on appelle en jargon les «hallaba», entendons par- là les trafiquants de carburant. Au demeurant, le phénomène n'est pas nouveau. Les frontières aussi bien à l'Ouest qu'à l'Est qui sont de véritables trous de gruyère regorgent de trafics en tous genres. Ces activités florissantes génèrent de gros profits pour ces contrebandiers de tout acabit, entre autres le trafic de carburant qui «pompe» les stations avec leurs tonneaux installés à l'arrière de véhicules tout terrain de marque Toyota . L'or noir se vend bien à la frontière marocaine. Les gérants des stations d'essence qui sont les premiers à crier à la pénurie sont les premiers à se faire complices de ces réseaux qui agissent au vu et au su de tout le monde. Les services des Douanes, de la Gendarmerie nationale et de la police se démènent comme des diables pour mener des opérations qui sont bien en deçà de ce mal qui mine l'économie nationale. En attendant, le nombre restreint de stations qui ont un faible quota d'essence sont dans l'obligation de rationner à hauteur de 400 DA et tant pis pour les grosses cylindrées qui consomment du 10 litres aux 100, les propriétaires auront recours au système D. Une pratique bien rôdée et bien de chez nous ! A l'Est comme à l'Ouest il y a de fortes tensions sur le carburant. Mais la pénurie dans les stations n'est pas à mettre au compte de la hausse de la consommation. La programmation, la défaillance mais surtout le rationnement par Naftal sont aussi à mettre sur le compte des désagréments que subissent depuis un bon bout de temps les automobilistes qui attendent des heures pour quelques litres dans leur réservoir. Quand les stations sont à sec, elles bloquent les entrées avec des barrières, une situation qui met les nerfs à fleur de peau. Mais il n'y a pas que ces dysfonctionnements qui sont la cause de la crise sévère, les regards sont tournés vers ceux que l'on appelle en jargon les «hallaba», entendons par- là les trafiquants de carburant. Au demeurant, le phénomène n'est pas nouveau. Les frontières aussi bien à l'Ouest qu'à l'Est qui sont de véritables trous de gruyère regorgent de trafics en tous genres. Ces activités florissantes génèrent de gros profits pour ces contrebandiers de tout acabit, entre autres le trafic de carburant qui «pompe» les stations avec leurs tonneaux installés à l'arrière de véhicules tout terrain de marque Toyota . L'or noir se vend bien à la frontière marocaine. Les gérants des stations d'essence qui sont les premiers à crier à la pénurie sont les premiers à se faire complices de ces réseaux qui agissent au vu et au su de tout le monde. Les services des Douanes, de la Gendarmerie nationale et de la police se démènent comme des diables pour mener des opérations qui sont bien en deçà de ce mal qui mine l'économie nationale. En attendant, le nombre restreint de stations qui ont un faible quota d'essence sont dans l'obligation de rationner à hauteur de 400 DA et tant pis pour les grosses cylindrées qui consomment du 10 litres aux 100, les propriétaires auront recours au système D. Une pratique bien rôdée et bien de chez nous !