Les personnes impliquées dans des affaires de surfacturation de médicaments seront sanctionnées, a indiqué jeudi dernier, à Alger le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Les personnes impliquées dans des affaires de surfacturation de médicaments seront sanctionnées, a indiqué jeudi dernier, à Alger le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. "Nous avons transmis les dossiers à qui de droit et la justice fera son travail", a déclaré Djamel Ould Abbès, en marge d'une séance plénière à l'Assemblée populaire nationale consacrée aux questions orales. Le ministre a rappelé que les dossiers des personnes impliquées dans la surfacturation de médicaments ont été transmis aux ministères des Finances et du Commerce, ainsi qu'aux services des Douanes. Il a ajouté qu'il était responsable du secteur de la santé et qu'il n'allait pas revenir sur sa décision de sanctionner les importateurs qui ont surfacturé des produits pharmaceutiques. Ould Abbès a précisé que les montants de la surfacturation, qui a touché 38 produits, ont été estimés pour l'année 2011 à 94 millions de dollars. Par ailleurs, Djamel Ould Abbès a indiqué que l'ouverture de centres hospitalo-universitaires (CHU) dans les wilayas du Sud du pays nécessite la formation de spécialistes. "Nous ne pouvons pas programmer la réalisation de nouveaux CHU dans des zones où l'occupation des lits dans les hôpitaux ne dépasse pas les 41 %", a expliqué le ministre de la Santé lors d'une séance plénière à l'APN. "Il y a un manque de médecins et de spécialistes dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux", a ajouté Djamel Ould Abbès, en réponse à la question d'un député de Djelfa sur la non réalisation d'un CHU dans cette wilaya. Il a rappelé, à cet égard, qu'un projet d'ouverture d'une faculté de médecine dans une des wilayas du sud pour former des cadres est en cours d'étude."Le projet est en cours d'étude et sera fin prêt avant la fin du premier semestre 2012", a assuré le ministre de la Santé. Après avoir relevé que le centre de protection maternelle et infantile de Djelfa est un "modèle" pour toutes les wilayas du sud, Ould Abbès a souligné que cette wilaya réceptionnera prochainement plusieurs structures de santé d'une capacité de 480 lits, ce qui portera le nombre total de lits disponibles à 1.849. Il a ajouté que le centre anti-cancer de Djelfa sera, quant à lui, livré durant le premier trimestre de l'année 2012. Ould Abbès a rappelé que la wilaya de Djelfa a bénéficié ces dernières années de 8 polycliniques, 2 cliniques d'hémodialyse, 4 services d'urgence médicale et d'une annexe de l'Institut Pasteur d'Algérie. "Nous avons transmis les dossiers à qui de droit et la justice fera son travail", a déclaré Djamel Ould Abbès, en marge d'une séance plénière à l'Assemblée populaire nationale consacrée aux questions orales. Le ministre a rappelé que les dossiers des personnes impliquées dans la surfacturation de médicaments ont été transmis aux ministères des Finances et du Commerce, ainsi qu'aux services des Douanes. Il a ajouté qu'il était responsable du secteur de la santé et qu'il n'allait pas revenir sur sa décision de sanctionner les importateurs qui ont surfacturé des produits pharmaceutiques. Ould Abbès a précisé que les montants de la surfacturation, qui a touché 38 produits, ont été estimés pour l'année 2011 à 94 millions de dollars. Par ailleurs, Djamel Ould Abbès a indiqué que l'ouverture de centres hospitalo-universitaires (CHU) dans les wilayas du Sud du pays nécessite la formation de spécialistes. "Nous ne pouvons pas programmer la réalisation de nouveaux CHU dans des zones où l'occupation des lits dans les hôpitaux ne dépasse pas les 41 %", a expliqué le ministre de la Santé lors d'une séance plénière à l'APN. "Il y a un manque de médecins et de spécialistes dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux", a ajouté Djamel Ould Abbès, en réponse à la question d'un député de Djelfa sur la non réalisation d'un CHU dans cette wilaya. Il a rappelé, à cet égard, qu'un projet d'ouverture d'une faculté de médecine dans une des wilayas du sud pour former des cadres est en cours d'étude."Le projet est en cours d'étude et sera fin prêt avant la fin du premier semestre 2012", a assuré le ministre de la Santé. Après avoir relevé que le centre de protection maternelle et infantile de Djelfa est un "modèle" pour toutes les wilayas du sud, Ould Abbès a souligné que cette wilaya réceptionnera prochainement plusieurs structures de santé d'une capacité de 480 lits, ce qui portera le nombre total de lits disponibles à 1.849. Il a ajouté que le centre anti-cancer de Djelfa sera, quant à lui, livré durant le premier trimestre de l'année 2012. Ould Abbès a rappelé que la wilaya de Djelfa a bénéficié ces dernières années de 8 polycliniques, 2 cliniques d'hémodialyse, 4 services d'urgence médicale et d'une annexe de l'Institut Pasteur d'Algérie.