Le président du parti Jil Jadid, Djilali Sofiane a affirmé jeudi dernier que son parti tiendra son congrès constitutif courant février prochain sans toutefois avancer une date précise pour "ce rendez-vous important pour l'avenir de la formation". Djilali qui était l'invité de la chaîne 1 de la Radio nationale a fait savoir par ailleurs que son parti n'a pas inscrit les prochaines élections législatives parmi ses priorités. Il a indiqué en outre que sa formation politique a obtenu l'autorisation écrite du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour tenir son congrès constitutif soulignant que le parti parachevait les préparatifs de cette rencontre dans de bonnes conditions. Pour lui, l'autorisation accordée à certains partis en cours de création de tenir leur congrès constitutif consacre le "droit légitime du citoyen d'exercer une activité politique". "Il n'est pas facile de convaincre le peuple du programme et des objectifs d'un parti donné, c'est un travail de longue haleine", a-t-il estimé car, a-t-il enchaîné, "le peuple a perdu confiance en les politiques et en l'action partisane". Evoquant les principaux axes du programme du parti, Djilali a soutenu que l'élaboration d'un programme pour la restructuration de l'économie nationale comptait parmi les principales priorités de sa formation qui s'emploiera à proposer des solutions objectives aux problèmes des différentes catégories de la société ainsi qu'a la concrétisation de l'Etat de droit. Pour ce qui est des prochaines échéances électorales, le président de Jil Jadid a fait savoir que la participation aux prochaines élections ne "compte pas parmi les priorités du parti pour qui l'important actuellement est de se faire connaitre et de construire une base populaire solide". Il prévoit toutefois de "présenter des candidats à ce rendez-vous" disant appréhender une abstention lors des élections, en raison du manque de confiance du citoyen vis- à-vis du Parlement et des institutions de l'Etat. A une question sur une éventuelle victoire des partis de la mouvance islamique aux prochaines élections il a exprimé son rejet "des divisions idéologiques dont l'impact est négatif pour le développement". Il faut mettre l'accent sur les programmes et les objectifs des partis et les mettre au service de la démocratie et de l'Etat de droit nonobstant les obédiences, a-t-il insisté. Le président du parti Jil Jadid, Djilali Sofiane a affirmé jeudi dernier que son parti tiendra son congrès constitutif courant février prochain sans toutefois avancer une date précise pour "ce rendez-vous important pour l'avenir de la formation". Djilali qui était l'invité de la chaîne 1 de la Radio nationale a fait savoir par ailleurs que son parti n'a pas inscrit les prochaines élections législatives parmi ses priorités. Il a indiqué en outre que sa formation politique a obtenu l'autorisation écrite du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour tenir son congrès constitutif soulignant que le parti parachevait les préparatifs de cette rencontre dans de bonnes conditions. Pour lui, l'autorisation accordée à certains partis en cours de création de tenir leur congrès constitutif consacre le "droit légitime du citoyen d'exercer une activité politique". "Il n'est pas facile de convaincre le peuple du programme et des objectifs d'un parti donné, c'est un travail de longue haleine", a-t-il estimé car, a-t-il enchaîné, "le peuple a perdu confiance en les politiques et en l'action partisane". Evoquant les principaux axes du programme du parti, Djilali a soutenu que l'élaboration d'un programme pour la restructuration de l'économie nationale comptait parmi les principales priorités de sa formation qui s'emploiera à proposer des solutions objectives aux problèmes des différentes catégories de la société ainsi qu'a la concrétisation de l'Etat de droit. Pour ce qui est des prochaines échéances électorales, le président de Jil Jadid a fait savoir que la participation aux prochaines élections ne "compte pas parmi les priorités du parti pour qui l'important actuellement est de se faire connaitre et de construire une base populaire solide". Il prévoit toutefois de "présenter des candidats à ce rendez-vous" disant appréhender une abstention lors des élections, en raison du manque de confiance du citoyen vis- à-vis du Parlement et des institutions de l'Etat. A une question sur une éventuelle victoire des partis de la mouvance islamique aux prochaines élections il a exprimé son rejet "des divisions idéologiques dont l'impact est négatif pour le développement". Il faut mettre l'accent sur les programmes et les objectifs des partis et les mettre au service de la démocratie et de l'Etat de droit nonobstant les obédiences, a-t-il insisté.