Le festival international de Samaâ soufi, institué à Sétif, sera exceptionnellement organisé cette année à Tlemcen à partir d'hier, a-t-on appris auprès du comité exécutif de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011". Cette manifestation internationale, qui se poursuivra jusqu'à samedi prochain, verra la participation de troupes et "mounchidine" de divers pays, notamment d'Egypte, de Jordanie, d'Indonésie, de Tunisie, du Sultanat d'Oman, du Maroc, d'Irak, de Turquie et de Grande-Bretagne. L'Algérie sera représentée par les troupes "Générations montantes d'El inchad" de Ghardaïa, "Troupe gnawa" de Béchar, "Ness Aïssaoua" de Tlemcen, "Troupe d'El Inchad et du patrimoine" de Sétif et l'association "Rachidia" de Constantine. Le public de Tlemcen, venu en grand nombre assister au festival international d'El Inchad, organisé dans le cadre de la même manifestation, aura une nouvelle fois le plaisir d'apprécier les prestations des mounchidine et des troupes célèbres, à l'image de la troupe des derviches tourneurs de la ville turque de Konia, réputée mondialement par cette danse soufie ou encore la troupe de Cheikh Mahmoud Aziz de Tunisie. Durant six jours de suite, le public aura droit à deux spectacles par soirée, a-t-on indiqué de même source. APS L'institut du monde arabe à Paris Refonte du musée L'Institut du monde arabe (Ima) de Paris refonde son musée, qui sera inauguré le 20 février prochain, sur la diversité culturelle des 22 pays arabes cofondateurs de l'IMA, apprend-on sur le site Internet de l'institut. "Il y a dans cette région une diversité ethnolinguistique (amazigh, kurde, araméen) et confessionnelle (chrétiens, juifs, musulmans et traditions ancestrales) qui enrichit le sentiment d'appartenance à une culture marquée avant tout par une langue partagée, l'arabe, et un héritage culturel commun", relève Mme Marie Foissy, conservatrice en chef du Patrimoine, chef du projet de la refonte du musée depuis janvier 2009. Le musée, ouvert au public en 1987, était jusqu'ici dédié à l'art islamique. Pour repenser ce musée, Mme Foissy s'est appuyée sur les efforts conjugués de scientifiques de différentes disciplines (archéologues, historiens, historiens des religions, anthropologues, linguistes, historiens d'art et philosophes) qui ont contribué à ce vaste projet de synthèse. Le nouveau musée bénéficiera aussi des dépôts importants d'œuvres d'art en provenance de musées de villes de pays arabes (Damas, Alep, Amman, Tunis, Kairouan, Manama), d'institutions françaises, de collectionneurs privés du monde arabe, ainsi que d'églises et couvents de Syrie et du Liban, précise le communiqué de l'institut. Le nouveau musée dispose d'un espace de 2.400 m2 pour exposer les 380 pièces que compte le parcours de la visite, organisé suivant plusieurs thèmes. Le musée de l'IMA a obtenu en 2011 l'appellation "Musée de France" décernée par le ministère de la culture et de la communication français. L'inauguration du nouveau musée, en février prochain, coïncide avec le 25e anniversaire de l'Institut du monde arabe. Le festival international de Samaâ soufi, institué à Sétif, sera exceptionnellement organisé cette année à Tlemcen à partir d'hier, a-t-on appris auprès du comité exécutif de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011". Cette manifestation internationale, qui se poursuivra jusqu'à samedi prochain, verra la participation de troupes et "mounchidine" de divers pays, notamment d'Egypte, de Jordanie, d'Indonésie, de Tunisie, du Sultanat d'Oman, du Maroc, d'Irak, de Turquie et de Grande-Bretagne. L'Algérie sera représentée par les troupes "Générations montantes d'El inchad" de Ghardaïa, "Troupe gnawa" de Béchar, "Ness Aïssaoua" de Tlemcen, "Troupe d'El Inchad et du patrimoine" de Sétif et l'association "Rachidia" de Constantine. Le public de Tlemcen, venu en grand nombre assister au festival international d'El Inchad, organisé dans le cadre de la même manifestation, aura une nouvelle fois le plaisir d'apprécier les prestations des mounchidine et des troupes célèbres, à l'image de la troupe des derviches tourneurs de la ville turque de Konia, réputée mondialement par cette danse soufie ou encore la troupe de Cheikh Mahmoud Aziz de Tunisie. Durant six jours de suite, le public aura droit à deux spectacles par soirée, a-t-on indiqué de même source. APS L'institut du monde arabe à Paris Refonte du musée L'Institut du monde arabe (Ima) de Paris refonde son musée, qui sera inauguré le 20 février prochain, sur la diversité culturelle des 22 pays arabes cofondateurs de l'IMA, apprend-on sur le site Internet de l'institut. "Il y a dans cette région une diversité ethnolinguistique (amazigh, kurde, araméen) et confessionnelle (chrétiens, juifs, musulmans et traditions ancestrales) qui enrichit le sentiment d'appartenance à une culture marquée avant tout par une langue partagée, l'arabe, et un héritage culturel commun", relève Mme Marie Foissy, conservatrice en chef du Patrimoine, chef du projet de la refonte du musée depuis janvier 2009. Le musée, ouvert au public en 1987, était jusqu'ici dédié à l'art islamique. Pour repenser ce musée, Mme Foissy s'est appuyée sur les efforts conjugués de scientifiques de différentes disciplines (archéologues, historiens, historiens des religions, anthropologues, linguistes, historiens d'art et philosophes) qui ont contribué à ce vaste projet de synthèse. Le nouveau musée bénéficiera aussi des dépôts importants d'œuvres d'art en provenance de musées de villes de pays arabes (Damas, Alep, Amman, Tunis, Kairouan, Manama), d'institutions françaises, de collectionneurs privés du monde arabe, ainsi que d'églises et couvents de Syrie et du Liban, précise le communiqué de l'institut. Le nouveau musée dispose d'un espace de 2.400 m2 pour exposer les 380 pièces que compte le parcours de la visite, organisé suivant plusieurs thèmes. Le musée de l'IMA a obtenu en 2011 l'appellation "Musée de France" décernée par le ministère de la culture et de la communication français. L'inauguration du nouveau musée, en février prochain, coïncide avec le 25e anniversaire de l'Institut du monde arabe.