Les prochaines élections législatives verront certainement la participation des nouvelles formations politiques créées récemment. Le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales a déjà délivré, avant-hier, un récépissé au Parti de la liberté et de la justice (PLJ) et ce après le dépôt, par ce dernier, d'un dossier complet relatif à son congrès constitutif. Le PLJ, présidé par Mohamerd Saïd, a tenu son congrès constitutif les 27 et 28 janvier. Ce récépissé permettra au PLJ d'activer en toute légalité en attendant la délivrance d'un agrément officiel après l'examen approfondi du dossier qui comporte, pour rappel, le règlement intérieur, les statuts, le programme politique ainsi que les noms des membres des instances de ce parti. Cette opération de délivrance de récépissé va se « poursuivre en toute équité » a indiqué le ministère de l'Intérieur dans son communiqué. Il est vrai que beaucoup d'autres partis sont sur le point d'emboîter le pas au parti de Mohamed Saïd en prévoyant d'organiser des congrès constitutifs. Car le ministère de l'Intérieur a accordé des autorisations pour seize autres partis politiques. Il s'agit, entre autres, de l'Union pour la démocratie et la république (UDR - responsable Amara Benyounes), du Front de la justice et du développement (FJD-El Adala - responsable Abdellah Djaballah) , du Jil Jadid (JJ - responsable Sofiane Djilali), du Front du changement (FC – responsable Abdelmadjid Menasra ), du Front national pour la justice sociale (FNJS - responsable Khaled Bounedjma) du Front de l'Algérie nouvelle (FAN - responsable Djamel Benabdeslam) ainsi que du Front el moustakbal (FM - responsable Belaid Abdelaziz) . Si certains partis politiques, à l'exemple du FNJS, ont déjà organisé des congrès constitutifs, d'autres s'apprêtent à le faire dans quelques jours. Pour certains ce sera d'ailleurs le cas ce week-end. Tous les nouveaux partis tiendront leurs congrès durant le mois en cours et ce afin de pouvoir participer aux législatives du mois de mai. Cette ouverture du champ politique à ces nouveaux partis intervient suite aux réformes politiques initiées par le président de la République. Il faut dire que le champ politique est demeuré fermé depuis plus d'une décennie tant aucun parti politique n'a obtenu d'agremet durant cette période. Avec cette ouverture inespérée pour certains politiques une vingtaine de partis, sinon plus, vont disputer l'électorat aux formations politiques existantes lors des prochaines législatives. « Tous les partis qui présentent des dossiers conformes aux dispositions de la nouvelle loi sur les partis politiques obtiendront l'agrément » a indiqué, il y a quelques jours, le ministre de l'Interieur, Daho Oud Kablia. Rares seront donc les dossiers qui seront rejetés par les services du ministère de l'Interieur. C'est dire combien l'échiquier politique est sur le point, peut-être, de connaître mout changements. D'aucuns parlent carrément d'une probable recomposition de la scène nationale à la faveur des prochaines législatives. Les prochaines élections législatives verront certainement la participation des nouvelles formations politiques créées récemment. Le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales a déjà délivré, avant-hier, un récépissé au Parti de la liberté et de la justice (PLJ) et ce après le dépôt, par ce dernier, d'un dossier complet relatif à son congrès constitutif. Le PLJ, présidé par Mohamerd Saïd, a tenu son congrès constitutif les 27 et 28 janvier. Ce récépissé permettra au PLJ d'activer en toute légalité en attendant la délivrance d'un agrément officiel après l'examen approfondi du dossier qui comporte, pour rappel, le règlement intérieur, les statuts, le programme politique ainsi que les noms des membres des instances de ce parti. Cette opération de délivrance de récépissé va se « poursuivre en toute équité » a indiqué le ministère de l'Intérieur dans son communiqué. Il est vrai que beaucoup d'autres partis sont sur le point d'emboîter le pas au parti de Mohamed Saïd en prévoyant d'organiser des congrès constitutifs. Car le ministère de l'Intérieur a accordé des autorisations pour seize autres partis politiques. Il s'agit, entre autres, de l'Union pour la démocratie et la république (UDR - responsable Amara Benyounes), du Front de la justice et du développement (FJD-El Adala - responsable Abdellah Djaballah) , du Jil Jadid (JJ - responsable Sofiane Djilali), du Front du changement (FC – responsable Abdelmadjid Menasra ), du Front national pour la justice sociale (FNJS - responsable Khaled Bounedjma) du Front de l'Algérie nouvelle (FAN - responsable Djamel Benabdeslam) ainsi que du Front el moustakbal (FM - responsable Belaid Abdelaziz) . Si certains partis politiques, à l'exemple du FNJS, ont déjà organisé des congrès constitutifs, d'autres s'apprêtent à le faire dans quelques jours. Pour certains ce sera d'ailleurs le cas ce week-end. Tous les nouveaux partis tiendront leurs congrès durant le mois en cours et ce afin de pouvoir participer aux législatives du mois de mai. Cette ouverture du champ politique à ces nouveaux partis intervient suite aux réformes politiques initiées par le président de la République. Il faut dire que le champ politique est demeuré fermé depuis plus d'une décennie tant aucun parti politique n'a obtenu d'agremet durant cette période. Avec cette ouverture inespérée pour certains politiques une vingtaine de partis, sinon plus, vont disputer l'électorat aux formations politiques existantes lors des prochaines législatives. « Tous les partis qui présentent des dossiers conformes aux dispositions de la nouvelle loi sur les partis politiques obtiendront l'agrément » a indiqué, il y a quelques jours, le ministre de l'Interieur, Daho Oud Kablia. Rares seront donc les dossiers qui seront rejetés par les services du ministère de l'Interieur. C'est dire combien l'échiquier politique est sur le point, peut-être, de connaître mout changements. D'aucuns parlent carrément d'une probable recomposition de la scène nationale à la faveur des prochaines législatives.