La vague de froid, accompagnée de chutes de pluies et de neige, affectant actuellement la wilaya d'Alger, a mis à "rude épreuve" les habitants des bidonvilles qui continuaient à chercher aide et assistance auprès des pouvoirs publics, en raison de l'aggravation de leurs conditions de vie suite à ces intempéries, ont indiqué, hier, les responsables locaux. Toutefois, les responsables des collectivités locales s'affairaient à répondre aux doléances des citoyens notamment dans les alentours de leurs localités, a-t-on indiqué. Les services de l'Assemblée populaire communale (APC) de Bouzaréah trouvent en effet des difficultés à gérer la situation dans les différents habitats précaires implantés sur leur territoire suite aux intempéries, a indiqué à l'APS le vice-président de l'APC, chargé de l'urbanisme, Mohamed Nebou. Selon lui, les pluies ont provoqué l'effondrement de quelques baraques et des inondations dans d'autres habitations de fortunes. "Les familles occupant les constructions illicites effondrées ou inondées s'étaient présentées au siège de l'APC et avaient été reçues, mais l'APC n'a pas les moyens de les prendre en charge", a affirmé M. Nebou. La "prise en charge" de ces familles mises à rude épreuve par les perturbations climatiques toujours en cours, nécessite d'après ce responsable une "solution globale", autrement dit "relancer" le programme de wilaya portant éradication progressive de l'habitat précaire en milieu urbain, lancé en mars 2010. "On parle de nouvelles opérations de relogement des familles occupant les bidonvilles, mais on ne voit rien venir pour le moment", a-t-il regretté. L'APC de Bouzaréah, a-t-il précisé, a recensé plus de 1800 baraques sur le territoire de la commune. Dans la commune de Oued Koriche, des habitants d'un groupement d'habitats précaires installés au quartier Beau-Fraisier, ont momentanément bloqué, lundi dernier, la route communément appelée "chemin du Fort", a-t-on appris auprès d'un élu à l'APC. "Il y a eu de l'effervescence dans ce site. Les gens ont tenté de monter au créneau parce qu'un programme de distribution de logements a été décidé au profit d'un autre site d'habitations précaires", a expliqué cet élu. Ce blocage de la route à Beau-Fraisier a d'ailleurs, a-t-on appris, amené les autorités locales à "geler" la distribution des logements suivant le programme prévu, considérant que "les conditions ne sont pas favorables". Les conditions de vie, dans ce genre d'habitations, sont habituellement très difficiles, mais la vague de froid glacial qui sévit actuellement les a nettement aggravées d'où cette "effervescence" dans les sites des constructions illicites, a-t-on fait remarquer. Mis à part la difficulté, pour les collectivités locales, de prendre en charge les familles souffrant des intempéries dans les baraques, plusieurs APC de la capitale ont mobilisé, parfois en permanence, leurs moyens techniques et humains, depuis le début des intempéries. Dans la commune de Dely Ibrahim, l'APC a mis en alerte ses équipes pour intervenir sur la voirie, selon le président de l'APC, Kamel Hamza. Selon le même interlocuteur, le constat fait sur le terrain ne nécessite pas le déclenchement par la wilaya du plan d'organisation des secours (Orsec). La vague de froid, accompagnée de chutes de pluies et de neige, affectant actuellement la wilaya d'Alger, a mis à "rude épreuve" les habitants des bidonvilles qui continuaient à chercher aide et assistance auprès des pouvoirs publics, en raison de l'aggravation de leurs conditions de vie suite à ces intempéries, ont indiqué, hier, les responsables locaux. Toutefois, les responsables des collectivités locales s'affairaient à répondre aux doléances des citoyens notamment dans les alentours de leurs localités, a-t-on indiqué. Les services de l'Assemblée populaire communale (APC) de Bouzaréah trouvent en effet des difficultés à gérer la situation dans les différents habitats précaires implantés sur leur territoire suite aux intempéries, a indiqué à l'APS le vice-président de l'APC, chargé de l'urbanisme, Mohamed Nebou. Selon lui, les pluies ont provoqué l'effondrement de quelques baraques et des inondations dans d'autres habitations de fortunes. "Les familles occupant les constructions illicites effondrées ou inondées s'étaient présentées au siège de l'APC et avaient été reçues, mais l'APC n'a pas les moyens de les prendre en charge", a affirmé M. Nebou. La "prise en charge" de ces familles mises à rude épreuve par les perturbations climatiques toujours en cours, nécessite d'après ce responsable une "solution globale", autrement dit "relancer" le programme de wilaya portant éradication progressive de l'habitat précaire en milieu urbain, lancé en mars 2010. "On parle de nouvelles opérations de relogement des familles occupant les bidonvilles, mais on ne voit rien venir pour le moment", a-t-il regretté. L'APC de Bouzaréah, a-t-il précisé, a recensé plus de 1800 baraques sur le territoire de la commune. Dans la commune de Oued Koriche, des habitants d'un groupement d'habitats précaires installés au quartier Beau-Fraisier, ont momentanément bloqué, lundi dernier, la route communément appelée "chemin du Fort", a-t-on appris auprès d'un élu à l'APC. "Il y a eu de l'effervescence dans ce site. Les gens ont tenté de monter au créneau parce qu'un programme de distribution de logements a été décidé au profit d'un autre site d'habitations précaires", a expliqué cet élu. Ce blocage de la route à Beau-Fraisier a d'ailleurs, a-t-on appris, amené les autorités locales à "geler" la distribution des logements suivant le programme prévu, considérant que "les conditions ne sont pas favorables". Les conditions de vie, dans ce genre d'habitations, sont habituellement très difficiles, mais la vague de froid glacial qui sévit actuellement les a nettement aggravées d'où cette "effervescence" dans les sites des constructions illicites, a-t-on fait remarquer. Mis à part la difficulté, pour les collectivités locales, de prendre en charge les familles souffrant des intempéries dans les baraques, plusieurs APC de la capitale ont mobilisé, parfois en permanence, leurs moyens techniques et humains, depuis le début des intempéries. Dans la commune de Dely Ibrahim, l'APC a mis en alerte ses équipes pour intervenir sur la voirie, selon le président de l'APC, Kamel Hamza. Selon le même interlocuteur, le constat fait sur le terrain ne nécessite pas le déclenchement par la wilaya du plan d'organisation des secours (Orsec).