Les recettes douanières de l'Algérie ont atteint 578,64 milliards DA (mds DA) en 2011, contre 492 mds DA durant 2010, en hausse de 17,49%, a appris mercredi l'APS auprès des Douanes algériennes. Les recettes douanières de l'Algérie ont atteint 578,64 milliards DA (mds DA) en 2011, contre 492 mds DA durant 2010, en hausse de 17,49%, a appris mercredi l'APS auprès des Douanes algériennes. La Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) représente 60% du total des recettes douanières pour un montant de 345,23 mds DA en 2011 contre 296,77 mds DA en 2010, soit une hausse de 16,33%, précise-t-on auprès de la Direction générale des Douanes (DGD). Le droit en douane (DD) avec une part de 38% du total des recettes douanières, occupe la deuxième position avec une valeur de près de 220 mds DA en 2011 contre 181 mds DA en 2010 (+21,30%). La Taxe intérieure sur la consommation (TIC), représentant seulement un (1)% du total des recettes, a enregistré la plus importante hausse de plus de 59%, soit 7,13 mds DA en 2011 contre 4,48 mds de DA en 2010, indique la DGD. Les autres droits et taxes de douanes, qui représentent également un 1% du total des recettes douanières, ont connu une baisse de près de 35%, passant de 10,14 mds de DA en 2010 à 6,60 mds de DA l'année écoulée. Le taux de réalisation des produits de douane par rapport à la loi de finances et la loi de finances complémentaire en 2011 est de 87,75%, contre 90% en 2010. Pour la TVA, ce taux est de 125,5% contre 77,26%, relève la DGD. Une quinzaine de bureaux de recettes des Douanes couvrent presque la totalité des montants recouvrés soit plus de 94% du total (548 mds DA). Le bureau d'Alger ports secs arrive en tête avec plus de 17% du total des recettes recouvrées (98,92 mds DA), suivi d'Alger-Port (13,96% et 80,79 mds DA), Bejaia (10,4% et 60,26 mds DA), Skikda (9,08%) et Jijel (8,98%). Les directions régionales des Douanes d'Alger-extérieur, de Sétif et d'Oran sont les principales structures en terme de recouvrements budgétaires, couvrant plus de 68% du total des recettes avec un montant de 395 mds DA. La direction d'Alger-extérieur arrive en tête avec 32,8% (189,79 mds DA), suivie de Sétif 19,79 % (114,5 mds DA), Oran 15,64% (90,49 mds DA), Alger-Port 14,06% (81,36 mds DA), Constantine 9,61% (55,62 mds DA), et Annaba 5,62% (32,51 mds DA). L'amélioration des recettes douanières, entamée dès 2010 et poursuivie en 2011, a été réalisée grâce au dispositif de contrôle mis en place par l'administration douanière et aux efforts consentis dans le traitement efficace des marchandises, ainsi qu'au résultat du gel du démantèlement tarifaire de l'Accord d'association de l'UE et de la grande Zone arabe de libre échange, selon une source à la DGD. Le dispositif de contrôle a été renforcé davantage grâce aux interventions coordonnées avec les autres institutions (ministère du Commerce, Banque d'Algérie et services des Impôts) notamment avec l'entrée en vigueur depuis janvier 2010 du Numéro d'identification fiscale (NIF). La hausse enregistrée durant 2011 s'explique aussi par "la politique de performance menée par l'administration des Douanes en matière de recouvrement", relève la même source. La stratégie retenue à cet effet consiste à accorder des facilitations de recouvrement, comme le payement échelonné, à favoriser la transaction douanière et à redynamiser les ventes aux enchères publiques par la programmation de deux ventes par mois pour chaque recette des Douanes. La Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) représente 60% du total des recettes douanières pour un montant de 345,23 mds DA en 2011 contre 296,77 mds DA en 2010, soit une hausse de 16,33%, précise-t-on auprès de la Direction générale des Douanes (DGD). Le droit en douane (DD) avec une part de 38% du total des recettes douanières, occupe la deuxième position avec une valeur de près de 220 mds DA en 2011 contre 181 mds DA en 2010 (+21,30%). La Taxe intérieure sur la consommation (TIC), représentant seulement un (1)% du total des recettes, a enregistré la plus importante hausse de plus de 59%, soit 7,13 mds DA en 2011 contre 4,48 mds de DA en 2010, indique la DGD. Les autres droits et taxes de douanes, qui représentent également un 1% du total des recettes douanières, ont connu une baisse de près de 35%, passant de 10,14 mds de DA en 2010 à 6,60 mds de DA l'année écoulée. Le taux de réalisation des produits de douane par rapport à la loi de finances et la loi de finances complémentaire en 2011 est de 87,75%, contre 90% en 2010. Pour la TVA, ce taux est de 125,5% contre 77,26%, relève la DGD. Une quinzaine de bureaux de recettes des Douanes couvrent presque la totalité des montants recouvrés soit plus de 94% du total (548 mds DA). Le bureau d'Alger ports secs arrive en tête avec plus de 17% du total des recettes recouvrées (98,92 mds DA), suivi d'Alger-Port (13,96% et 80,79 mds DA), Bejaia (10,4% et 60,26 mds DA), Skikda (9,08%) et Jijel (8,98%). Les directions régionales des Douanes d'Alger-extérieur, de Sétif et d'Oran sont les principales structures en terme de recouvrements budgétaires, couvrant plus de 68% du total des recettes avec un montant de 395 mds DA. La direction d'Alger-extérieur arrive en tête avec 32,8% (189,79 mds DA), suivie de Sétif 19,79 % (114,5 mds DA), Oran 15,64% (90,49 mds DA), Alger-Port 14,06% (81,36 mds DA), Constantine 9,61% (55,62 mds DA), et Annaba 5,62% (32,51 mds DA). L'amélioration des recettes douanières, entamée dès 2010 et poursuivie en 2011, a été réalisée grâce au dispositif de contrôle mis en place par l'administration douanière et aux efforts consentis dans le traitement efficace des marchandises, ainsi qu'au résultat du gel du démantèlement tarifaire de l'Accord d'association de l'UE et de la grande Zone arabe de libre échange, selon une source à la DGD. Le dispositif de contrôle a été renforcé davantage grâce aux interventions coordonnées avec les autres institutions (ministère du Commerce, Banque d'Algérie et services des Impôts) notamment avec l'entrée en vigueur depuis janvier 2010 du Numéro d'identification fiscale (NIF). La hausse enregistrée durant 2011 s'explique aussi par "la politique de performance menée par l'administration des Douanes en matière de recouvrement", relève la même source. La stratégie retenue à cet effet consiste à accorder des facilitations de recouvrement, comme le payement échelonné, à favoriser la transaction douanière et à redynamiser les ventes aux enchères publiques par la programmation de deux ventes par mois pour chaque recette des Douanes.