Abdelaziz Bélaid (49 ans), unique candidat, a été élu hier à Alger à l'unanimité, président du Front El Moustakbal (FM, parti en cours de constitution). Le congrès a vu la participation, selon les organisateurs, de 1.000 délégués venus de 45 wilayas ainsi que des représentants de la communauté nationale à l'étranger. Dans la résolution finale du congrès constitutif dont les travaux avaient été ouverts jeudi, l'accent a été mis sur "les fondements du FM qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République". Le texte insiste, en outre, sur la nécessité de renforcer les rangs du parti, à travers "le dialogue et la vulgarisation des ses objectifs qui consistent en la lutte contre la corruption sous toutes ses formes, la sauvegarde de la souveraineté nationale et le rejet de toute intervention étrangère qu'elle qu'en soit sa nature". "Le Front El Moustakbal rejette la violence, l'extrémisme, le régionalisme et le favoritisme. Il milite pour la consécration des valeurs citoyennes et du sens civique au sein de la société", est-il souligné dans la résolution. Le FM, a-t-on également indiqué, milite pour "la promotion de l'action politique, la consécration de la justice sociale et la traduction sur le terrain du principe de l'alternance au pouvoir". Avant l'élection de M. Bélaid, ancien député du parti du Front de libération nationale (FLN) et ancien secrétaire général de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA), les congressistes avaient adopté les projets de résolutions des cinq commissions du congrès, notamment celles des statuts, des "principes et valeurs" et du programme politique. Ils ont procédé aussi à l'élection des 171 membres composant le conseil national du parti, dont "40% sont des femmes". Les membres du conseil national devaient adopter dans l'après-midi le projet de règlement intérieur du parti et élire son bureau national composé de 11 à 15 membres, en vertu des statuts. Le FM fait partie de 17 formations politiques autorisées récemment par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales à tenir leurs congrès constitutifs. Abdelaziz Bélaid (49 ans), unique candidat, a été élu hier à Alger à l'unanimité, président du Front El Moustakbal (FM, parti en cours de constitution). Le congrès a vu la participation, selon les organisateurs, de 1.000 délégués venus de 45 wilayas ainsi que des représentants de la communauté nationale à l'étranger. Dans la résolution finale du congrès constitutif dont les travaux avaient été ouverts jeudi, l'accent a été mis sur "les fondements du FM qui s'inspirent de la Déclaration du 1er-Novembre 1954, des principes de la Constitution et des lois de la République". Le texte insiste, en outre, sur la nécessité de renforcer les rangs du parti, à travers "le dialogue et la vulgarisation des ses objectifs qui consistent en la lutte contre la corruption sous toutes ses formes, la sauvegarde de la souveraineté nationale et le rejet de toute intervention étrangère qu'elle qu'en soit sa nature". "Le Front El Moustakbal rejette la violence, l'extrémisme, le régionalisme et le favoritisme. Il milite pour la consécration des valeurs citoyennes et du sens civique au sein de la société", est-il souligné dans la résolution. Le FM, a-t-on également indiqué, milite pour "la promotion de l'action politique, la consécration de la justice sociale et la traduction sur le terrain du principe de l'alternance au pouvoir". Avant l'élection de M. Bélaid, ancien député du parti du Front de libération nationale (FLN) et ancien secrétaire général de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA), les congressistes avaient adopté les projets de résolutions des cinq commissions du congrès, notamment celles des statuts, des "principes et valeurs" et du programme politique. Ils ont procédé aussi à l'élection des 171 membres composant le conseil national du parti, dont "40% sont des femmes". Les membres du conseil national devaient adopter dans l'après-midi le projet de règlement intérieur du parti et élire son bureau national composé de 11 à 15 membres, en vertu des statuts. Le FM fait partie de 17 formations politiques autorisées récemment par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales à tenir leurs congrès constitutifs.