Jusqu'à hier vendredi, seules deux communes, celle d'Ait Regane (Ouadhias) et la commune d'Ait Ziki (Azazga) étaient toujours enclavées et difficiles voire hors d'accès. Compte tenu de la quantité énorme de neige qui s'est abattue sur ces deux régions, les efforts fournis par les citoyens pour dégager les routes ne sont pas parvenus à des résultats probants. En effet, il a été pratiquement impossible de se débarrasser des montagnes phénoménales de neige à Ait Ziki et Ait Regane. En revanche, après une semaine de dures épreuves, on peut dire que la machine «anti-neige» est huilée et toute la population de la wilaya de Tizi-Ouzou s'est adaptée à un nouveau rythme de vie. Un réflexe quotidien acquis dans pratiquement toutes les communes enclavées. Il s'agit de celui de se munir systématiquement de ses bouteilles de gaz pour faire la queue dans l'attente de l'arrivée du fameux camion. Aussi, d'autres familles dont les maisons sont situées en bordure de route laissent les bonbonnes de gaz carrément devant la porte principale avec le souhait que le camion-livreur s'arrête pour les approvisionner. On ne peut pas aller jusqu'à dire qu'il y a pénurie de gaz butane mais il y a plutôt une grande tension sur ce produit de première nécessité en cette période hivernale. Une tension accentuée par la panique qui n'a pas manqué de gagner les citoyens des zones isolées de la wilaya de Tizi-Ouzou d'autant plus que les bulletins météo diffusés par différents médias lourds et la presse écrite ne concordent pas dans la majorité des cas. C'est du moins le constat établi depuis lundi dernier. Les établissements scolaires de la wilaya sont également à l'arrêt depuis dimanche passé. Et la direction de wilaya de l'éducation a même rendu publique une information destinée aux parents des élèves afin que ces derniers les gardent chez-eux jusqu'à nouvel ordre. Dans la majorité des communes de la wilaya de Tizi-Ouzou, la situation s'est plus ou moins normalisée mais relativement car la majorité des activités professionnelles sont à l'arrêt. Le retour du courant électrique est enregistré dans plus de quatre vingt dix pour cent des localités de la wilaya, selon des sources wilayales. Hier vendredi, il restait encore, des villages des régions d'Azeffoun, Ouaguenoun, Ait Chafâa, Imsouhal et Mkira sans électricité mais les travailleurs de la Sonelgaz sont mobilisés tel qu'il se doit pour remettre les choses dans l'ordre. Il faut dire que les conditions de travail des employés de Sonelgaz ne sont pas du tout faciles en ces moments de neige et d'intempéries. Par ailleurs, dans la majorité des soixante sept communes de la wilaya, les routes principales sont dégagées à cent pour cent. Dans la commune d'Abi Youssef, près de Ain El Hammam, où un jeune a été tué en début de semaine par une avalanche de neige, les routes étaient libérées à quatre vingt pour cent hier vendredi. L'hôpital de Ain El Hammam, construit à l'époque coloniale, a subi des dommages suite à ces intempéries, notamment au niveau de plusieurs toitures. Quant au volet santé, le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, s'est rendu jeudi dans la ville des Genêts avec 35 tonnes de médicaments destinés particulièrement aux malades chroniques. Jusqu'à hier vendredi, seules deux communes, celle d'Ait Regane (Ouadhias) et la commune d'Ait Ziki (Azazga) étaient toujours enclavées et difficiles voire hors d'accès. Compte tenu de la quantité énorme de neige qui s'est abattue sur ces deux régions, les efforts fournis par les citoyens pour dégager les routes ne sont pas parvenus à des résultats probants. En effet, il a été pratiquement impossible de se débarrasser des montagnes phénoménales de neige à Ait Ziki et Ait Regane. En revanche, après une semaine de dures épreuves, on peut dire que la machine «anti-neige» est huilée et toute la population de la wilaya de Tizi-Ouzou s'est adaptée à un nouveau rythme de vie. Un réflexe quotidien acquis dans pratiquement toutes les communes enclavées. Il s'agit de celui de se munir systématiquement de ses bouteilles de gaz pour faire la queue dans l'attente de l'arrivée du fameux camion. Aussi, d'autres familles dont les maisons sont situées en bordure de route laissent les bonbonnes de gaz carrément devant la porte principale avec le souhait que le camion-livreur s'arrête pour les approvisionner. On ne peut pas aller jusqu'à dire qu'il y a pénurie de gaz butane mais il y a plutôt une grande tension sur ce produit de première nécessité en cette période hivernale. Une tension accentuée par la panique qui n'a pas manqué de gagner les citoyens des zones isolées de la wilaya de Tizi-Ouzou d'autant plus que les bulletins météo diffusés par différents médias lourds et la presse écrite ne concordent pas dans la majorité des cas. C'est du moins le constat établi depuis lundi dernier. Les établissements scolaires de la wilaya sont également à l'arrêt depuis dimanche passé. Et la direction de wilaya de l'éducation a même rendu publique une information destinée aux parents des élèves afin que ces derniers les gardent chez-eux jusqu'à nouvel ordre. Dans la majorité des communes de la wilaya de Tizi-Ouzou, la situation s'est plus ou moins normalisée mais relativement car la majorité des activités professionnelles sont à l'arrêt. Le retour du courant électrique est enregistré dans plus de quatre vingt dix pour cent des localités de la wilaya, selon des sources wilayales. Hier vendredi, il restait encore, des villages des régions d'Azeffoun, Ouaguenoun, Ait Chafâa, Imsouhal et Mkira sans électricité mais les travailleurs de la Sonelgaz sont mobilisés tel qu'il se doit pour remettre les choses dans l'ordre. Il faut dire que les conditions de travail des employés de Sonelgaz ne sont pas du tout faciles en ces moments de neige et d'intempéries. Par ailleurs, dans la majorité des soixante sept communes de la wilaya, les routes principales sont dégagées à cent pour cent. Dans la commune d'Abi Youssef, près de Ain El Hammam, où un jeune a été tué en début de semaine par une avalanche de neige, les routes étaient libérées à quatre vingt pour cent hier vendredi. L'hôpital de Ain El Hammam, construit à l'époque coloniale, a subi des dommages suite à ces intempéries, notamment au niveau de plusieurs toitures. Quant au volet santé, le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, s'est rendu jeudi dans la ville des Genêts avec 35 tonnes de médicaments destinés particulièrement aux malades chroniques.