Le barrage de Beni-Haroun (Mila) qui a atteint le niveau record d'un milliard de m3, a commencé à évacuer dimanche vers 6h30 par l'évacuateur de crue "à seuil libre" aménagé dans la partie centrale de l'ouvrage, les trop-pleins d'eau vers oued El Kebir, en aval, offrant des images impressionnantes. Un cadre de la direction d'exploitation de cet ouvrage hydraulique, se félicitant de la "bonne tenue" du barrage au moment du déversement, a indiqué que le fonctionnement du dispositif "pour la première fois" a permis d'en éprouver la fiabilité. L'ouverture, en même temps, des évacuateurs dits de "demi-fond", pour la restitution des débits réservés et le dévasement, permet par ailleurs de réguler le débit, a-t-on ajouté, soulignant que le lit de l'oued El Kebir canalise parfaitement ces déversements. Une équipe de la Protection civile de 20 éléments dont 6 plongeurs était présente sur les lieux au moment de l'évacuation des trop-pleins afin de "parer à toute éventualité", a-t-on recueilli auprès des responsables de l'ouvrage qui ont expliqué au wali de Mila, qui s'est déplacé sur les lieux, le fonctionnement du dispositif de vidange. De nombreux automobilistes de passage sur la RN 27 (Constantine-Jijel) n'ont pas manqué de s'arrêter à hauteur du barrage, en amont, pour prendre des photos et admirer ce spectacle impressionnant que l'ouvrage géant de Beni-Haroun propose pour la première fois depuis sa construction. Conçu pour une capacité de retenue théorique de 960 millions de mètres cubes, le barrage dont la hauteur du bassin avoisine, aujourd'hui, les 200 m3, alimente en eau potable six wilayas de l'est du pays et permet l'irrigation de 30.000 hectares de terres agricoles. Les travaux de sa construction avaient débuté en 1989 avant sa livraison en 2004 et son inauguration en 2007 lors de la mise en service des premiers transferts vers les villes de Constantine et de Mila. Le barrage de Beni-Haroun (Mila) qui a atteint le niveau record d'un milliard de m3, a commencé à évacuer dimanche vers 6h30 par l'évacuateur de crue "à seuil libre" aménagé dans la partie centrale de l'ouvrage, les trop-pleins d'eau vers oued El Kebir, en aval, offrant des images impressionnantes. Un cadre de la direction d'exploitation de cet ouvrage hydraulique, se félicitant de la "bonne tenue" du barrage au moment du déversement, a indiqué que le fonctionnement du dispositif "pour la première fois" a permis d'en éprouver la fiabilité. L'ouverture, en même temps, des évacuateurs dits de "demi-fond", pour la restitution des débits réservés et le dévasement, permet par ailleurs de réguler le débit, a-t-on ajouté, soulignant que le lit de l'oued El Kebir canalise parfaitement ces déversements. Une équipe de la Protection civile de 20 éléments dont 6 plongeurs était présente sur les lieux au moment de l'évacuation des trop-pleins afin de "parer à toute éventualité", a-t-on recueilli auprès des responsables de l'ouvrage qui ont expliqué au wali de Mila, qui s'est déplacé sur les lieux, le fonctionnement du dispositif de vidange. De nombreux automobilistes de passage sur la RN 27 (Constantine-Jijel) n'ont pas manqué de s'arrêter à hauteur du barrage, en amont, pour prendre des photos et admirer ce spectacle impressionnant que l'ouvrage géant de Beni-Haroun propose pour la première fois depuis sa construction. Conçu pour une capacité de retenue théorique de 960 millions de mètres cubes, le barrage dont la hauteur du bassin avoisine, aujourd'hui, les 200 m3, alimente en eau potable six wilayas de l'est du pays et permet l'irrigation de 30.000 hectares de terres agricoles. Les travaux de sa construction avaient débuté en 1989 avant sa livraison en 2004 et son inauguration en 2007 lors de la mise en service des premiers transferts vers les villes de Constantine et de Mila.