Le fait que ce soit la justice qui veille au bon déroulement des prochaines législatives est une ''opportunité qu' il faut saisir pour restaurer la confiance dans les rangs de population'', a déclaré, hier, à Constantine le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Bouguerra Soltani. Cette décision qui met l'appareil judiciaire devant une ''rude épreuve'', en rapport direct avec le climat de confiance que l' Etat s ‘attèle à récupérer, est de nature à "éviter les dérapages signalés par le passé", a souligné M. Soltani lors d'une conférence de presse organisée en marge d'une rencontre avec les instances élues du MSP. La volonté de l'Etat de "jumeler" l'administration, la justice et les partis pour aboutir à des élections "sans taches" doit être soutenue par des mécanismes déterminant les prérogatives et les limites de chaque instance chargée de préparer ce rendez-vous électoral qui ne ressemblera pas aux précédents, a ajouté le président du MSP. M. Soltani qui a réitéré son ''optimisme'' devant l ‘implication de la justice dans le processus des élections, a également fait part de sa ''confiance'' quant à une ''victoire certaine'' du courant islamiste. Le MSP a toujours fait la distinction entre l'Etat, le système et le gouvernement, a-t-il encore précisé, ajoutant que son parti "ne fait jamais dans la surenchère" et "sait comment mettre en avant ses principes de base pour ratisser large et convaincre". "Aucun parti, quelle que soit sa puissance, n'est aujourd'hui en mesure de diriger et de répondre à toutes les aspirations des Algériens", a néanmoins indiqué M. Soltani, ajoutant que la formation d'alliances "fortes" peut s'opérer "avant ou après" les élections législatives. Il a affirmé à ce propos que son parti "tend la main pour former une alliance avec les partis qui partagent les mêmes objectifs, mais surtout les mêmes principes que le MSP". M. Soltani a ajouté que la constitution d'une "démocratie sociale qui n'a rien à voir avec l'économie de marché, dans une Algérie souveraine", constitue le but suprême du MSP. Le président du MSP s'est longuement étalé, à la veille de la commémoration de la journée nationale du Chahid, sur la guerre de Libération nationale, en appelant au paiement d'un "impôt de la sueur" au même titre que les martyrs qui ont eu à payer "l'impôt du sang". Le fait que ce soit la justice qui veille au bon déroulement des prochaines législatives est une ''opportunité qu' il faut saisir pour restaurer la confiance dans les rangs de population'', a déclaré, hier, à Constantine le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Bouguerra Soltani. Cette décision qui met l'appareil judiciaire devant une ''rude épreuve'', en rapport direct avec le climat de confiance que l' Etat s ‘attèle à récupérer, est de nature à "éviter les dérapages signalés par le passé", a souligné M. Soltani lors d'une conférence de presse organisée en marge d'une rencontre avec les instances élues du MSP. La volonté de l'Etat de "jumeler" l'administration, la justice et les partis pour aboutir à des élections "sans taches" doit être soutenue par des mécanismes déterminant les prérogatives et les limites de chaque instance chargée de préparer ce rendez-vous électoral qui ne ressemblera pas aux précédents, a ajouté le président du MSP. M. Soltani qui a réitéré son ''optimisme'' devant l ‘implication de la justice dans le processus des élections, a également fait part de sa ''confiance'' quant à une ''victoire certaine'' du courant islamiste. Le MSP a toujours fait la distinction entre l'Etat, le système et le gouvernement, a-t-il encore précisé, ajoutant que son parti "ne fait jamais dans la surenchère" et "sait comment mettre en avant ses principes de base pour ratisser large et convaincre". "Aucun parti, quelle que soit sa puissance, n'est aujourd'hui en mesure de diriger et de répondre à toutes les aspirations des Algériens", a néanmoins indiqué M. Soltani, ajoutant que la formation d'alliances "fortes" peut s'opérer "avant ou après" les élections législatives. Il a affirmé à ce propos que son parti "tend la main pour former une alliance avec les partis qui partagent les mêmes objectifs, mais surtout les mêmes principes que le MSP". M. Soltani a ajouté que la constitution d'une "démocratie sociale qui n'a rien à voir avec l'économie de marché, dans une Algérie souveraine", constitue le but suprême du MSP. Le président du MSP s'est longuement étalé, à la veille de la commémoration de la journée nationale du Chahid, sur la guerre de Libération nationale, en appelant au paiement d'un "impôt de la sueur" au même titre que les martyrs qui ont eu à payer "l'impôt du sang".