Plusieurs partis politiques ont appelé les citoyens à "une participation massive" aux élections législatives prévues le 10 mai pour choisir leurs représentants à l'Assemblée populaire nationale (APN). Plusieurs partis politiques ont appelé les citoyens à "une participation massive" aux élections législatives prévues le 10 mai pour choisir leurs représentants à l'Assemblée populaire nationale (APN). Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait appelé lors de sa convocation du corps électoral tous les partis, syndicats et organisations de la société civile à œuvrer "ensemble à la mobilisation" des électeurs pour participer aux prochaines législatives. Les partis ont, ainsi, multiplié leurs appels à l'adresse des citoyens les invitant à participer "massivement" à ce rendez-vous national et à assurer son succès afin de permettre à l'Algérie de poursuivre le processus de réformes dans lequel elle s'est engagée pour renforcer la pratique démocratique. Le SG du mouvement Nahda, Fatah Rebaï, a appelé les citoyens à se rendre en masse aux urnes pour accomplir leur devoir et choisir le programme qui cadre avec leurs aspirations. Rebaï estime que ces élections sont une "occasion précieuse qu'il faut saisir" afin de consacrer la pratique démocratique et le multipartisme d'autant que l'Algérie "est pionnière en la matière" dans le monde arabe. Rebaï a souligné l'importance de garantir les conditions nécessaires de transparence et de régularité pour faire du 10 mai "une fête nationale", affirmant que "l'Algérie a beaucoup souffert et ne peut assumer une autre crise ou une autre tragédie". Il a rappelé les positions de sa formation pour défendre les intérêts suprêmes du pays et ce grâce "à sa capacité à convaincre et ses positions fermes". Le SG du mouvement El Islah, Akouchi Hamlaoui, a appelé lui également les citoyens à se rendre aux urnes et à choisir les candidats capables, à leurs yeux, d'opérer le changement. Il a indiqué que les prochaines échéances électorales seront "décisives", estimant qu'elles nécessitaient la conjugaison des efforts de tous pour leur conférer "transparence et régularité". Il a en outre, émis le vœu de voir "le discours du président de la République suivi d'instructions à même de garantir le bon déroulement de ce rendez-vous". Al Islah a qualifié d'"inconcevable" l'échec de cette élection devant l'opinion publique arabe et internationale. Ce qui s'est passé dans certains pays arabes, a-t-il dit, est un signe pour nous Algériens pour abandonner "le jeu téméraire", ajoutant que "toute manipulation lors des élections ou minimisation des réformes pourrait donner lieu à des réactions négatives". Pour sa part, Djelloul Djoudi, membre dirigeant du Parti des travailleurs (PT), a qualifié le boycott des urnes de "fait étrange" qui "influera" sur l'expérience de l'Algérie en matière d'exercice démocratique. Il s'est en revanche, montré confiant quant à l'affluence des citoyens sur les bureaux de vote comme ce fut le cas lors des précédentes élections. Ce rendez-vous exige un appui soutenu pour assurer sa réussite, a-t-il renchéri. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) n'est pas demeuré en reste appelant à travers son chargé de la communication, Kamel Mida, les citoyens à "saisir" cette opportunité pour opérer le "changement" et répondre aux aspirations du citoyen notamment par la poursuite du processus des réformes politiques. Il a indiqué que le prochain rendez-vous électoral ne suscitera pas "l'anarchie" dans le pays, précisant que l'Algérie avait une expérience avancée qui lui permet de réaliser le changement à travers des élections régulières. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait appelé lors de sa convocation du corps électoral tous les partis, syndicats et organisations de la société civile à œuvrer "ensemble à la mobilisation" des électeurs pour participer aux prochaines législatives. Les partis ont, ainsi, multiplié leurs appels à l'adresse des citoyens les invitant à participer "massivement" à ce rendez-vous national et à assurer son succès afin de permettre à l'Algérie de poursuivre le processus de réformes dans lequel elle s'est engagée pour renforcer la pratique démocratique. Le SG du mouvement Nahda, Fatah Rebaï, a appelé les citoyens à se rendre en masse aux urnes pour accomplir leur devoir et choisir le programme qui cadre avec leurs aspirations. Rebaï estime que ces élections sont une "occasion précieuse qu'il faut saisir" afin de consacrer la pratique démocratique et le multipartisme d'autant que l'Algérie "est pionnière en la matière" dans le monde arabe. Rebaï a souligné l'importance de garantir les conditions nécessaires de transparence et de régularité pour faire du 10 mai "une fête nationale", affirmant que "l'Algérie a beaucoup souffert et ne peut assumer une autre crise ou une autre tragédie". Il a rappelé les positions de sa formation pour défendre les intérêts suprêmes du pays et ce grâce "à sa capacité à convaincre et ses positions fermes". Le SG du mouvement El Islah, Akouchi Hamlaoui, a appelé lui également les citoyens à se rendre aux urnes et à choisir les candidats capables, à leurs yeux, d'opérer le changement. Il a indiqué que les prochaines échéances électorales seront "décisives", estimant qu'elles nécessitaient la conjugaison des efforts de tous pour leur conférer "transparence et régularité". Il a en outre, émis le vœu de voir "le discours du président de la République suivi d'instructions à même de garantir le bon déroulement de ce rendez-vous". Al Islah a qualifié d'"inconcevable" l'échec de cette élection devant l'opinion publique arabe et internationale. Ce qui s'est passé dans certains pays arabes, a-t-il dit, est un signe pour nous Algériens pour abandonner "le jeu téméraire", ajoutant que "toute manipulation lors des élections ou minimisation des réformes pourrait donner lieu à des réactions négatives". Pour sa part, Djelloul Djoudi, membre dirigeant du Parti des travailleurs (PT), a qualifié le boycott des urnes de "fait étrange" qui "influera" sur l'expérience de l'Algérie en matière d'exercice démocratique. Il s'est en revanche, montré confiant quant à l'affluence des citoyens sur les bureaux de vote comme ce fut le cas lors des précédentes élections. Ce rendez-vous exige un appui soutenu pour assurer sa réussite, a-t-il renchéri. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) n'est pas demeuré en reste appelant à travers son chargé de la communication, Kamel Mida, les citoyens à "saisir" cette opportunité pour opérer le "changement" et répondre aux aspirations du citoyen notamment par la poursuite du processus des réformes politiques. Il a indiqué que le prochain rendez-vous électoral ne suscitera pas "l'anarchie" dans le pays, précisant que l'Algérie avait une expérience avancée qui lui permet de réaliser le changement à travers des élections régulières.