Si le week-end a rimé cette fois-ci avec froid glacial et chute de neige, les partis n'ont pas pour autant croisé les bras. Certains ont pris leur bâton de pèlerin pour aller prêcher la bonne parole là où ils estiment qu'ils peuvent trouver de bonnes oreilles. Dans la bouche des hommes politiques ou des leaders qui ont eu à animer des meetings dans le pays profond, perce l'inquiétude de voir les législatives de mai prochain, boudées par les électeurs. Ainsi, depuis Oum El Bouaghi où il se trouvait, le secrétaire général du mouvement Ennahda, Fateh Rebaï, a appelé lors d'un meeting, les citoyens à participer massivement aux prochaines joutes électorales pour «amorcer le processus de changement pacifique et consolider la démocratie». Pour Rebaï chaque citoyen a le «devoir de consolider les institutions de l'Etat» à travers sa participation aux élections. Face aux présomptions de fraude, le SG d'Ennahda, conseille la mobilisation de «toutes les composantes de la société dans le cadre des commissions électorales à l'effet de défendre le choix du peuple». Pour sa part, le président du MSP, Bouguerra Soltani a appelé, vendredi, l'ensemble des Algériens à participer massivement aux prochaines élections. Pour ce responsable de parti, la participation constitue « un "élément fondamental" dans l'édification du pays. Il a insisté notamment sur la nécessité d'entrer en lice dans les prochaines élections législatives en tant que "courants" et non en tant que partis épars, "pour ne pas perturber la scène politique nationale et éviter un parlement mosaïque". Autrement dit, le MSP plaide pour des coalitions de partis politiques par familles idéologiques. Autre parti à s'être manifesté : le mouvement El Islah. Son SG, Hamlaoui Akkouchi, a animé samedi un meeting à Guelma. Il s'est montré résolument contre l'idée de boycotter le prochain scrutin. Selon lui, les futures élections seront «crédibles et honnêtes», leur boycott a-t-il dit serait une «grave erreur», arguant que la « réalité politique que vivent les pays arabes a créé un climat favorable à la tenue d'élections crédibles et honnêtes». Il a appelé ainsi à une participation massive tout en exhortant les partis du courant islamiste à présenter des listes communes. Le PRA a également lancé de son coté, un appel pour une participation massive aux prochaines élections. De son point de vue, la participation «est à même d'opérer le changement susceptible d'assurer un meilleur avenir pour l'Algérie». Ayant réuni samedi à Alger ses militants et ses cadres, le SG du PRA, Kamel Bensalem, a déclaré que la participation massive des Algériens aux prochaines législatives est la «meilleure façon de déjouer toute fraude et manœuvre» tendant à détourner les voix des électeurs. Selon lui, les prochaines législatives seront «sans doute transparentes et régulières» à condition a-t-il souligné que les Algériens y montrent de l'intérêt. Le secrétaire général du PRA, a assuré en outre que le peuple algérien aura le dernier mot lors des prochaines élections, soutenant au passage que «les véritables réformes commenceront en 2012 en Algérie à travers des élections régulières et transparentes». Si le week-end a rimé cette fois-ci avec froid glacial et chute de neige, les partis n'ont pas pour autant croisé les bras. Certains ont pris leur bâton de pèlerin pour aller prêcher la bonne parole là où ils estiment qu'ils peuvent trouver de bonnes oreilles. Dans la bouche des hommes politiques ou des leaders qui ont eu à animer des meetings dans le pays profond, perce l'inquiétude de voir les législatives de mai prochain, boudées par les électeurs. Ainsi, depuis Oum El Bouaghi où il se trouvait, le secrétaire général du mouvement Ennahda, Fateh Rebaï, a appelé lors d'un meeting, les citoyens à participer massivement aux prochaines joutes électorales pour «amorcer le processus de changement pacifique et consolider la démocratie». Pour Rebaï chaque citoyen a le «devoir de consolider les institutions de l'Etat» à travers sa participation aux élections. Face aux présomptions de fraude, le SG d'Ennahda, conseille la mobilisation de «toutes les composantes de la société dans le cadre des commissions électorales à l'effet de défendre le choix du peuple». Pour sa part, le président du MSP, Bouguerra Soltani a appelé, vendredi, l'ensemble des Algériens à participer massivement aux prochaines élections. Pour ce responsable de parti, la participation constitue « un "élément fondamental" dans l'édification du pays. Il a insisté notamment sur la nécessité d'entrer en lice dans les prochaines élections législatives en tant que "courants" et non en tant que partis épars, "pour ne pas perturber la scène politique nationale et éviter un parlement mosaïque". Autrement dit, le MSP plaide pour des coalitions de partis politiques par familles idéologiques. Autre parti à s'être manifesté : le mouvement El Islah. Son SG, Hamlaoui Akkouchi, a animé samedi un meeting à Guelma. Il s'est montré résolument contre l'idée de boycotter le prochain scrutin. Selon lui, les futures élections seront «crédibles et honnêtes», leur boycott a-t-il dit serait une «grave erreur», arguant que la « réalité politique que vivent les pays arabes a créé un climat favorable à la tenue d'élections crédibles et honnêtes». Il a appelé ainsi à une participation massive tout en exhortant les partis du courant islamiste à présenter des listes communes. Le PRA a également lancé de son coté, un appel pour une participation massive aux prochaines élections. De son point de vue, la participation «est à même d'opérer le changement susceptible d'assurer un meilleur avenir pour l'Algérie». Ayant réuni samedi à Alger ses militants et ses cadres, le SG du PRA, Kamel Bensalem, a déclaré que la participation massive des Algériens aux prochaines législatives est la «meilleure façon de déjouer toute fraude et manœuvre» tendant à détourner les voix des électeurs. Selon lui, les prochaines législatives seront «sans doute transparentes et régulières» à condition a-t-il souligné que les Algériens y montrent de l'intérêt. Le secrétaire général du PRA, a assuré en outre que le peuple algérien aura le dernier mot lors des prochaines élections, soutenant au passage que «les véritables réformes commenceront en 2012 en Algérie à travers des élections régulières et transparentes».