A l'horizon 2014, de nombreuses agglomérations et hameaux du sud de la wilaya de Tébessa verront leur approvisionnement en eau potable "notablement" renforcé grâce au barrage Safsaf El Oussera, réceptionné depuis peu, a indiqué la direction des Ressources en eau. A l'horizon 2014, de nombreuses agglomérations et hameaux du sud de la wilaya de Tébessa verront leur approvisionnement en eau potable "notablement" renforcé grâce au barrage Safsaf El Oussera, réceptionné depuis peu, a indiqué la direction des Ressources en eau. Le projet de transfert d'eau potable vers cette région qui englobe les communes de Bir el-Ater, Doukara, Chréa et Safsaf prévoit la pose d'une conduite de 90 km actuellement en phase d'étude par un bureau technique algéro-français, a précisé le directeur des ressources en eau, Rachid Djoudi. A terme, le barrage alimentera une population de plus de 200.000 âmes et devra porter le taux de couverture de la wilaya en AEP (alimentation en eau potable) à "plus de 95 %", a affirmé le même responsable à l'APS. Les localités du nord de la wilaya avaient, pour leur part, été renforcées en AEP à partir du barrage de Aïn Dalia, dans la wilaya de Souk Ahras, d'un débit de 6.000 m3/jour. Selon M. Djoudi, cet ouvrage permet de couvrir 50% des besoins de la région en eau potable, rappelant que le volume d'eau potable acheminé traverse une canalisation "totalement rénovée en 2011 sur une longueur de 96 km". Le reste des besoins de cette zone septentrionale de la wilaya, qui comprend les villes de Ouenza, d'El Meridj et de Boukhadra, provient de la nappe phréatique située non loin d'El-Hammamet, au centre de la wilaya, a précisé le même responsable à l'APS. En 2011, cette wilaya avait consacré un montant de 7,4 milliards de dinars pour le renforcement et l'amélioration de ses besoins en eau potable. Prises en charge par le programme quinquennal 2010-2014, vingt-deux (22) opérations ont été engagées, a encore souligné le même responsable. Une enveloppe de 1,27 milliard de dinars avait également été mobilisée, selon l'APS, pour la réalisation et l'équipement de forages dans plusieurs communes de la wilaya, pour une profondeur cumulée de 12.000 mètres, ainsi que pour la mise en place de nouvelles stations de pompage. Le projet de transfert d'eau potable vers cette région qui englobe les communes de Bir el-Ater, Doukara, Chréa et Safsaf prévoit la pose d'une conduite de 90 km actuellement en phase d'étude par un bureau technique algéro-français, a précisé le directeur des ressources en eau, Rachid Djoudi. A terme, le barrage alimentera une population de plus de 200.000 âmes et devra porter le taux de couverture de la wilaya en AEP (alimentation en eau potable) à "plus de 95 %", a affirmé le même responsable à l'APS. Les localités du nord de la wilaya avaient, pour leur part, été renforcées en AEP à partir du barrage de Aïn Dalia, dans la wilaya de Souk Ahras, d'un débit de 6.000 m3/jour. Selon M. Djoudi, cet ouvrage permet de couvrir 50% des besoins de la région en eau potable, rappelant que le volume d'eau potable acheminé traverse une canalisation "totalement rénovée en 2011 sur une longueur de 96 km". Le reste des besoins de cette zone septentrionale de la wilaya, qui comprend les villes de Ouenza, d'El Meridj et de Boukhadra, provient de la nappe phréatique située non loin d'El-Hammamet, au centre de la wilaya, a précisé le même responsable à l'APS. En 2011, cette wilaya avait consacré un montant de 7,4 milliards de dinars pour le renforcement et l'amélioration de ses besoins en eau potable. Prises en charge par le programme quinquennal 2010-2014, vingt-deux (22) opérations ont été engagées, a encore souligné le même responsable. Une enveloppe de 1,27 milliard de dinars avait également été mobilisée, selon l'APS, pour la réalisation et l'équipement de forages dans plusieurs communes de la wilaya, pour une profondeur cumulée de 12.000 mètres, ainsi que pour la mise en place de nouvelles stations de pompage.