L'attaché économique et commercial de l'ambassade de Belgique, Rudi Mertens, estime que les échanges commerciaux bilatéraux entre l'Algérie et la Belgique vont crescendo avec 2 milliards d'euros durant l'année précédente dont 1 milliard pour la Belgique qui exporte essentiellement des produits chimiques. Mais il cite également d'autres secteurs d'exportation belge, tels que la métallurgie, les équipements industriels, les machines électriques et le génie civil, tandis que l'Algérie exporte vers ce plat pays exclusivement des hydrocarbures (pétrole et gaz naturel). «L'Algérie est un partenaire stratégique en Afrique, le 2e dans le continent après l'Afrique du Sud», a-t-il dit. Selon la CACI, les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Belgique se sont traduits en 2011 par des volumes d'exportation estimés à 2879 millions dollars dont 814 millions concernent les importations algériennes et 2065 millions dollars ont trait aux exportations algériennes dont 2050 millions se rapportent aux hydrocarbures. Les secteurs d'activité des opérateurs algériens qui seront en discussion à Bruxelles à partir du 16 avril concernent principalement les produits chimiques, l'emballage, les produits pharmaceutiques, les produits agricoles du terroir et surtout, les dattes. Les entreprises algériennes commencent à s'implanter en Belgique, en ce sens que deux sociétés d'informatique et de produits chimiques y sont déjà opérationnelles avec des facilités accordées par l'administration bruxelloise en matière d'acquisition de bureaux et d'accompagnement gratuits pendant trois mois. L'ambassadeur a mis l'accent sur la politique fédérale de la Belgique qui octroie plus d'autonomie et de pouvoirs aux régions, ce qui a permis notamment à ce pays de vivre harmonieusement durant plus de 550 jours sans gouvernement central et fédéral, où les régions et communes ont géré les affaires publiques sans problèmes, en dépit de la crise gouvernementale et du système administratif complexe. L'attaché économique et commercial de l'ambassade de Belgique, Rudi Mertens, estime que les échanges commerciaux bilatéraux entre l'Algérie et la Belgique vont crescendo avec 2 milliards d'euros durant l'année précédente dont 1 milliard pour la Belgique qui exporte essentiellement des produits chimiques. Mais il cite également d'autres secteurs d'exportation belge, tels que la métallurgie, les équipements industriels, les machines électriques et le génie civil, tandis que l'Algérie exporte vers ce plat pays exclusivement des hydrocarbures (pétrole et gaz naturel). «L'Algérie est un partenaire stratégique en Afrique, le 2e dans le continent après l'Afrique du Sud», a-t-il dit. Selon la CACI, les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Belgique se sont traduits en 2011 par des volumes d'exportation estimés à 2879 millions dollars dont 814 millions concernent les importations algériennes et 2065 millions dollars ont trait aux exportations algériennes dont 2050 millions se rapportent aux hydrocarbures. Les secteurs d'activité des opérateurs algériens qui seront en discussion à Bruxelles à partir du 16 avril concernent principalement les produits chimiques, l'emballage, les produits pharmaceutiques, les produits agricoles du terroir et surtout, les dattes. Les entreprises algériennes commencent à s'implanter en Belgique, en ce sens que deux sociétés d'informatique et de produits chimiques y sont déjà opérationnelles avec des facilités accordées par l'administration bruxelloise en matière d'acquisition de bureaux et d'accompagnement gratuits pendant trois mois. L'ambassadeur a mis l'accent sur la politique fédérale de la Belgique qui octroie plus d'autonomie et de pouvoirs aux régions, ce qui a permis notamment à ce pays de vivre harmonieusement durant plus de 550 jours sans gouvernement central et fédéral, où les régions et communes ont géré les affaires publiques sans problèmes, en dépit de la crise gouvernementale et du système administratif complexe.