L'Etat algérien n'abandonnera pas les populations sinistrées, a affirmé, lundi dans la wilaya d'El Tarf qui a connu récemment de graves inondations, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia. «Les pouvoirs publics, à travers les programmes affectés à la wilaya et aux communes, et grâce aux moyens complémentaires que le gouvernement a décidé de mettre en place, indemniseront tous les citoyens touchés et prendront en charge la réhabilitation des constructions et des infrastructures endommagées», a ajouté le ministre. M. Ould Kablia, qui s'enquerrait des effets de ces inondations dans la petite localité d'El Kous, dans la commune de Chatt, a insisté, dans ce contexte, sur l'élaboration de fiches techniques et sur l'estimation, "dès cette semaine" des besoins financiers induits par cette calamité, en vue d'une prise en charge des opérations de réhabilitation au titre du programme complémentaire décidé par le gouvernement. Sur les lieux, M. Ould Kablia, accompagné du ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, du Directeur général de la Protection civile, Mustapha El Habiri, et des autorités locales, a observé une halte au niveau de l'ex-pont amovible d'El Bettah, sur la RN 84-A (El Kala-Annaba) dont le démontage inachevé est à l'origine d'un mauvais écoulement des eaux de l'oued Kebir qui se déverse dans la plaine de la Mafragh. Les supports de cette structure et les remblais réalisés dans la proximité de cet ouvrage, monté en 2011 pour permettre le passage d'un convoi exceptionnel de 450 tonnes acheminant des équipements vers une station hydroélectrique, ont étranglé le lit de ce cours d'eau et contribué à provoquer l'inondation des plaines des communes de Berrihane et de Ben M'hidi, selon les explications fournies au ministre. Par ailleurs, MM. Ould Kablia et Sellal, répondant à des citoyens qui soutenaient que «les lâchers d'eau opérés sciemment dans les barrages de la région sont à l'origine de ces inondations», ont affirmé qu'il ne s'agit pas de lâchers d'eau mais de barrages qui «se sont remplis et qui ont débordé». Pour rappel, dans la wilaya d'El Tarf, à l'extrême est du pays, les dernières pluies ont provoqué des inondations qui ont occasionné des dégâts matériaux considérables en plus des pertes en vie humaines. L'Etat algérien n'abandonnera pas les populations sinistrées, a affirmé, lundi dans la wilaya d'El Tarf qui a connu récemment de graves inondations, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia. «Les pouvoirs publics, à travers les programmes affectés à la wilaya et aux communes, et grâce aux moyens complémentaires que le gouvernement a décidé de mettre en place, indemniseront tous les citoyens touchés et prendront en charge la réhabilitation des constructions et des infrastructures endommagées», a ajouté le ministre. M. Ould Kablia, qui s'enquerrait des effets de ces inondations dans la petite localité d'El Kous, dans la commune de Chatt, a insisté, dans ce contexte, sur l'élaboration de fiches techniques et sur l'estimation, "dès cette semaine" des besoins financiers induits par cette calamité, en vue d'une prise en charge des opérations de réhabilitation au titre du programme complémentaire décidé par le gouvernement. Sur les lieux, M. Ould Kablia, accompagné du ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, du Directeur général de la Protection civile, Mustapha El Habiri, et des autorités locales, a observé une halte au niveau de l'ex-pont amovible d'El Bettah, sur la RN 84-A (El Kala-Annaba) dont le démontage inachevé est à l'origine d'un mauvais écoulement des eaux de l'oued Kebir qui se déverse dans la plaine de la Mafragh. Les supports de cette structure et les remblais réalisés dans la proximité de cet ouvrage, monté en 2011 pour permettre le passage d'un convoi exceptionnel de 450 tonnes acheminant des équipements vers une station hydroélectrique, ont étranglé le lit de ce cours d'eau et contribué à provoquer l'inondation des plaines des communes de Berrihane et de Ben M'hidi, selon les explications fournies au ministre. Par ailleurs, MM. Ould Kablia et Sellal, répondant à des citoyens qui soutenaient que «les lâchers d'eau opérés sciemment dans les barrages de la région sont à l'origine de ces inondations», ont affirmé qu'il ne s'agit pas de lâchers d'eau mais de barrages qui «se sont remplis et qui ont débordé». Pour rappel, dans la wilaya d'El Tarf, à l'extrême est du pays, les dernières pluies ont provoqué des inondations qui ont occasionné des dégâts matériaux considérables en plus des pertes en vie humaines.