Le Brésil a éprouvé toutes les peines du monde pour venir à bout de la Bosnie (2-1), grâce notamment à un but contre son camp de Papac à la 90e minute, mardi en match amical disputé à Saint-Gall en Suisse. Après une année 2011 marquée par la cuisante élimination en quart de finale de la Copa America contre le modeste Paraguay, la Seleçao , en phase de reconstruction en vue du Mondial-2014 organisé chez elle, a bien entamé sa longue marche qui doit le mener d'ici un peu plus de deux ans à son objectif : remporter un 6e sacre mondial à domicile. Alors que le résultat de parité se profilait, un dernier assaut brésilien a fait plier la défense bosnienne, le stoppeur Papac déviant dans son but un centre tendu de Hulk à peine entré en jeu (90'). Ce but chanceux est venu récompenser une Seleçao certes dominatrice, mais rarement capable de provoquer l'étincelle (Ronaldinho a été transparent, Neymar en dedans), face à des Bosniens souvent redoutables en contre-attaque. Tout avait pourtant bien débuté pour les Auriverde, qui ont ouvert le score après seulement quatre minutes, par Marcelo qui profitait d'un judicieux décalage de Daniel Alves pour tromper le gardien d'un tir croisé. L'avantage a néanmoins été de courte durée, la faute au gardien Julio Cesar, incapable d'apprécier correctement une frappe molle d'Ibisevic, tout heureux d'égaliser (13'). Sans la plupart de ses vedettes «européennes» (Kakà, Pato, Robinho). Menezes ayant choisi de jauger celles évoluant en championnat brésilien, la Seleçao a ensuite compté sur les doigts d'une main ses réelles occasions : Hernanes, contré in extremis par Spahic face au but vide (20'), une tentative en position favorable de Neymar, bien anticipée par Begovic (73'), voire l'enchaînement roulette-tir croisé de grande classe de Lucas (89'). Pour leur deuxième confrontation face aux Brésiliens, les Bosniens se sont montrés autrement plus coriaces que lors de leur défaite (1-0) à Manaus en 1996. Plus d'une fois, ils auraient pu faire mouche, avec un Dzeko à chaque fois en mode passeur, sans que Misimovic (34') ou Pjanic (44') ne concrétisent. Le Brésil a éprouvé toutes les peines du monde pour venir à bout de la Bosnie (2-1), grâce notamment à un but contre son camp de Papac à la 90e minute, mardi en match amical disputé à Saint-Gall en Suisse. Après une année 2011 marquée par la cuisante élimination en quart de finale de la Copa America contre le modeste Paraguay, la Seleçao , en phase de reconstruction en vue du Mondial-2014 organisé chez elle, a bien entamé sa longue marche qui doit le mener d'ici un peu plus de deux ans à son objectif : remporter un 6e sacre mondial à domicile. Alors que le résultat de parité se profilait, un dernier assaut brésilien a fait plier la défense bosnienne, le stoppeur Papac déviant dans son but un centre tendu de Hulk à peine entré en jeu (90'). Ce but chanceux est venu récompenser une Seleçao certes dominatrice, mais rarement capable de provoquer l'étincelle (Ronaldinho a été transparent, Neymar en dedans), face à des Bosniens souvent redoutables en contre-attaque. Tout avait pourtant bien débuté pour les Auriverde, qui ont ouvert le score après seulement quatre minutes, par Marcelo qui profitait d'un judicieux décalage de Daniel Alves pour tromper le gardien d'un tir croisé. L'avantage a néanmoins été de courte durée, la faute au gardien Julio Cesar, incapable d'apprécier correctement une frappe molle d'Ibisevic, tout heureux d'égaliser (13'). Sans la plupart de ses vedettes «européennes» (Kakà, Pato, Robinho). Menezes ayant choisi de jauger celles évoluant en championnat brésilien, la Seleçao a ensuite compté sur les doigts d'une main ses réelles occasions : Hernanes, contré in extremis par Spahic face au but vide (20'), une tentative en position favorable de Neymar, bien anticipée par Begovic (73'), voire l'enchaînement roulette-tir croisé de grande classe de Lucas (89'). Pour leur deuxième confrontation face aux Brésiliens, les Bosniens se sont montrés autrement plus coriaces que lors de leur défaite (1-0) à Manaus en 1996. Plus d'une fois, ils auraient pu faire mouche, avec un Dzeko à chaque fois en mode passeur, sans que Misimovic (34') ou Pjanic (44') ne concrétisent.