Les députés reprennent, ce dimanche, le chemin de l'hémicycle. L'ouverture de la session d'automne du Parlement s'effectuera en effet demain. C'est la dernière session de la sixième législature qui a été entamée en 2007. En ce sens elle est d'ores et déjà assimilée à une session d'adieu pour les députés. Ces derniers, d'ailleurs, ne vont pratiquement rien faire puisque ce sera une session à blanc. Ils n'auront à adopter aucun projet de loi car les élections législatives sont prévues pour le 10 mai prochain. Et comme il est de tradition dans ce cas précis tout porte à croire que le gouvernement ne soumettra aucun projet de loi à l'APN. La réunion du bureau de l'APN n'a, en tout cas, fait mention d'aucun projet de loi susceptible d'être examiné par les députés. Lors de sa réunion du 23 février le bureau a examiné 14 questions déposées à son niveau qui concernent sept départements ministériels, dont 12 écrites et 2 orales, et a décidé de les soumettre au gouvernement, car répondant aux conditions de forme. Selon le communiqué rendu public par l'assemblée le bureau a aussi examiné et approuvé une requête de la commission de la santé, des affaires sociales, du travail et de la formation professionnelle, relative à l'organisation d'une journée parlementaire portant sur « La promotion du système juridique spécifique à la personne handicapée dans le cadre des réformes actuelles ». C'est dire que cette session sera celle des adieux pour les députés qui ont d'ores et déjà les yeux rivés sur les législatives du 10 mai. Car nombreux parmi eux veulent briguer un nouveau mandat parlementaire en présentant leur candidature pour cette prochaine joute électorale. En somme, après la cérémonie d'ouverture de la session ils repartiront chez eux en perspective de la campagne électorale. Non sans avoir peut-être déjà empoché les trois millions de dinars, comme indemnité de fin de mandat et qui représente dix mensualités. Un mandat qui n'a pas été glorieux pour les députés de cette sixième législature. Nombre d'observateurs considèrent, à juste titre d'ailleurs, que cette législature a été la plus mauvaise de l'histoire de l'assemblée. Une assemblée qui a perdu toute crédibilité en confirmant qu'elle n'est qu'une chambre d'enregistrement. Cela s'est confirmé davantage à la faveur de l'examen des projets de loi relatifs aux réformes politiques. Les députés ont pratiquement adopté les projets de loi en question sans discuter puisqu'ils ont juste introduit des amendements de forme. A ce titre l'exécutif a eu, comme toujours, le dernier mot. Cette législature a été aussi marquée par le phénomène de l'absentéisme qui n'a fait qu'accroître le discrédit de l'APN auprès de l'opinion publique nationale. De très nombreuses fois le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, s'est retrouvé devant un hémicycle très clairsemé puisque l'assistance se comptait sur les doigts d'une seule main. Ziari a, à plusieurs reprises, été contraint de reporter la séance plénière faute de quorum. Pourtant les élus du peuple perçoivent un salaire des plus intéressants puisqu'il avoisine les 300.000 dinars. Un salaire qui risque fort bien d'être revu à la baisse comme l'a laissé clairement entendre le ministre de l'Intérieur, Daho Ould kablia. Ce dernier a notamment évoqué cette possibilité en vue de mettre fin au problème de l'absentéisme. Les députés reprennent, ce dimanche, le chemin de l'hémicycle. L'ouverture de la session d'automne du Parlement s'effectuera en effet demain. C'est la dernière session de la sixième législature qui a été entamée en 2007. En ce sens elle est d'ores et déjà assimilée à une session d'adieu pour les députés. Ces derniers, d'ailleurs, ne vont pratiquement rien faire puisque ce sera une session à blanc. Ils n'auront à adopter aucun projet de loi car les élections législatives sont prévues pour le 10 mai prochain. Et comme il est de tradition dans ce cas précis tout porte à croire que le gouvernement ne soumettra aucun projet de loi à l'APN. La réunion du bureau de l'APN n'a, en tout cas, fait mention d'aucun projet de loi susceptible d'être examiné par les députés. Lors de sa réunion du 23 février le bureau a examiné 14 questions déposées à son niveau qui concernent sept départements ministériels, dont 12 écrites et 2 orales, et a décidé de les soumettre au gouvernement, car répondant aux conditions de forme. Selon le communiqué rendu public par l'assemblée le bureau a aussi examiné et approuvé une requête de la commission de la santé, des affaires sociales, du travail et de la formation professionnelle, relative à l'organisation d'une journée parlementaire portant sur « La promotion du système juridique spécifique à la personne handicapée dans le cadre des réformes actuelles ». C'est dire que cette session sera celle des adieux pour les députés qui ont d'ores et déjà les yeux rivés sur les législatives du 10 mai. Car nombreux parmi eux veulent briguer un nouveau mandat parlementaire en présentant leur candidature pour cette prochaine joute électorale. En somme, après la cérémonie d'ouverture de la session ils repartiront chez eux en perspective de la campagne électorale. Non sans avoir peut-être déjà empoché les trois millions de dinars, comme indemnité de fin de mandat et qui représente dix mensualités. Un mandat qui n'a pas été glorieux pour les députés de cette sixième législature. Nombre d'observateurs considèrent, à juste titre d'ailleurs, que cette législature a été la plus mauvaise de l'histoire de l'assemblée. Une assemblée qui a perdu toute crédibilité en confirmant qu'elle n'est qu'une chambre d'enregistrement. Cela s'est confirmé davantage à la faveur de l'examen des projets de loi relatifs aux réformes politiques. Les députés ont pratiquement adopté les projets de loi en question sans discuter puisqu'ils ont juste introduit des amendements de forme. A ce titre l'exécutif a eu, comme toujours, le dernier mot. Cette législature a été aussi marquée par le phénomène de l'absentéisme qui n'a fait qu'accroître le discrédit de l'APN auprès de l'opinion publique nationale. De très nombreuses fois le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, s'est retrouvé devant un hémicycle très clairsemé puisque l'assistance se comptait sur les doigts d'une seule main. Ziari a, à plusieurs reprises, été contraint de reporter la séance plénière faute de quorum. Pourtant les élus du peuple perçoivent un salaire des plus intéressants puisqu'il avoisine les 300.000 dinars. Un salaire qui risque fort bien d'être revu à la baisse comme l'a laissé clairement entendre le ministre de l'Intérieur, Daho Ould kablia. Ce dernier a notamment évoqué cette possibilité en vue de mettre fin au problème de l'absentéisme.