L'Office national de l'assainissement (ONA) de la wilaya de Tipasa a annoncé le lancement prochain des travaux de réalisation d'une station d'épuration et de traitement des eaux usées (STEP) à Bou-Ismaïl. L'Office national de l'assainissement (ONA) de la wilaya de Tipasa a annoncé le lancement prochain des travaux de réalisation d'une station d'épuration et de traitement des eaux usées (STEP) à Bou-Ismaïl. D'une capacité de traitement de 150.000 équivalents habitants (deux fois plus grande que les trois déjà opérationnelles), cette nouvelle station, qui sera la quatrième dans la wilaya, coûtera la bagatelle de 2 milliards de dinars, a précisé l'Office national de l'assainissement à l'APS, ajoutant que celle-ci est destinée à la prise en charge du traitement et de l'épuration des eaux usées et ménagères (non industrielles) des communes de Bou-Ismaïl, Bou Haroun, Khemisti, Fouka et une partie de celle de Douaouda. Située à l'entrée Est de la commune de Bou-Ismaïl, sur une superficie de 8 hectares, la réalisation de cette station vise à mettre fin au casse-tête des rejets des eaux usées en mer qui ont fortement pollué le littoral de la wilaya, selon des responsables de la Direction de l'environnement. A ce jour, la wilaya de Tipasa dispose de trois STEP implantées respectivement à Tipasa, Koléa et Hadjout. Les stations de Tipasa et de Bou-Ismaïl entrent dans le cadre du schéma de protection du littoral et de certaines zones touristiques et agricoles de la wilaya, sachant que cette dernière a inscrit à son actif 16 zones d'expansion touristique et possède deux périmètres irrigués, celui de la Mitidja-Ouest (24.400 ha) et celui du Sahel-Ouest de 2.880 ha, ont indiqué les mêmes responsables de l'Office à l'APS, soulignant que les eaux épurées ainsi que les boues récoltées dans les stations de traitement seront destinées à l'agriculture. Quant aux rejets des eaux usées de la zone d'activités de Bou-Ismaïl, à l'origine de la pollution du littoral de la commune, la même source a indiqué que ces derniers ne seront pas acheminés vers la station d'épuration, destinée uniquement à la récupération des eaux usées ménagères. Concernant la prise en charge des rejets des entreprises installées dans la zone d'activité commerciale, le même responsable a souligné, selon l'APS, que celles-ci ont fait l'objet de plusieurs mises en demeure les sommant de traiter leurs eaux avant de les rejeter dans un collecteur à part et ce, en application de la réglementation en vigueur relative à la protection de l'environnement. D'une capacité de traitement de 150.000 équivalents habitants (deux fois plus grande que les trois déjà opérationnelles), cette nouvelle station, qui sera la quatrième dans la wilaya, coûtera la bagatelle de 2 milliards de dinars, a précisé l'Office national de l'assainissement à l'APS, ajoutant que celle-ci est destinée à la prise en charge du traitement et de l'épuration des eaux usées et ménagères (non industrielles) des communes de Bou-Ismaïl, Bou Haroun, Khemisti, Fouka et une partie de celle de Douaouda. Située à l'entrée Est de la commune de Bou-Ismaïl, sur une superficie de 8 hectares, la réalisation de cette station vise à mettre fin au casse-tête des rejets des eaux usées en mer qui ont fortement pollué le littoral de la wilaya, selon des responsables de la Direction de l'environnement. A ce jour, la wilaya de Tipasa dispose de trois STEP implantées respectivement à Tipasa, Koléa et Hadjout. Les stations de Tipasa et de Bou-Ismaïl entrent dans le cadre du schéma de protection du littoral et de certaines zones touristiques et agricoles de la wilaya, sachant que cette dernière a inscrit à son actif 16 zones d'expansion touristique et possède deux périmètres irrigués, celui de la Mitidja-Ouest (24.400 ha) et celui du Sahel-Ouest de 2.880 ha, ont indiqué les mêmes responsables de l'Office à l'APS, soulignant que les eaux épurées ainsi que les boues récoltées dans les stations de traitement seront destinées à l'agriculture. Quant aux rejets des eaux usées de la zone d'activités de Bou-Ismaïl, à l'origine de la pollution du littoral de la commune, la même source a indiqué que ces derniers ne seront pas acheminés vers la station d'épuration, destinée uniquement à la récupération des eaux usées ménagères. Concernant la prise en charge des rejets des entreprises installées dans la zone d'activité commerciale, le même responsable a souligné, selon l'APS, que celles-ci ont fait l'objet de plusieurs mises en demeure les sommant de traiter leurs eaux avant de les rejeter dans un collecteur à part et ce, en application de la réglementation en vigueur relative à la protection de l'environnement.