Les services de la Protection civile de la wilaya d'Oran n'ont enregistré aucun dégât matériel ni perte humaine à l'exception de l'effondrement d'un balcon, suite à une secousse tellurique, d'une magnitude de 4,2 degrés sur l'échelle de Richter, enregistrée mercredi en début de matinée. Un communiqué des services de la Protection civile, précise qu'aucun blessé n'a été signalé et que le seul dégât enregistré a été l'effondrement d'un balcon d'une habitation de type R+1 au quartier "Les plateaux". La secousse s'est produite à 07H41mn, selon les services du Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (Craag) qui a situé son épicentre en mer à 13 km au nord d'Oran. La secousse a été fortement ressentie à Oran, à Bir El Djir et Gdyel. L'onde s'est propagée jusqu'aux localités les plus lointaines de la wilaya comme Aïn El Turck, Boutlelis, Oued Tlelat et Boufatis. Les éléments des différentes unités de la Protection civile de la wilaya d'Oran ont procédé immédiatement à une reconnaissance des quartiers les plus vulnérables de la ville abritant de vieux bâtis comme Sidi El Houari, Derb, El Hamri, Ras El Aïn, entre autres quartiers, ne relevant fort heureusement aucun dégât. Selon le communiqué de la Protection civile, cette secousse a été précédée, les 18 et 19 mars courant, par deux autres de faible importance. L'épicentre de la première secousse, d'une magnitude de 2,8 degrés, a été localisé à 10 km au sud-est d'Oran, alors que la seconde, d'une magnitude de 2,7 degrés, a eu pour épicentre la région nord d'Arzew. Les services de la Protection civile de la wilaya d'Oran n'ont enregistré aucun dégât matériel ni perte humaine à l'exception de l'effondrement d'un balcon, suite à une secousse tellurique, d'une magnitude de 4,2 degrés sur l'échelle de Richter, enregistrée mercredi en début de matinée. Un communiqué des services de la Protection civile, précise qu'aucun blessé n'a été signalé et que le seul dégât enregistré a été l'effondrement d'un balcon d'une habitation de type R+1 au quartier "Les plateaux". La secousse s'est produite à 07H41mn, selon les services du Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (Craag) qui a situé son épicentre en mer à 13 km au nord d'Oran. La secousse a été fortement ressentie à Oran, à Bir El Djir et Gdyel. L'onde s'est propagée jusqu'aux localités les plus lointaines de la wilaya comme Aïn El Turck, Boutlelis, Oued Tlelat et Boufatis. Les éléments des différentes unités de la Protection civile de la wilaya d'Oran ont procédé immédiatement à une reconnaissance des quartiers les plus vulnérables de la ville abritant de vieux bâtis comme Sidi El Houari, Derb, El Hamri, Ras El Aïn, entre autres quartiers, ne relevant fort heureusement aucun dégât. Selon le communiqué de la Protection civile, cette secousse a été précédée, les 18 et 19 mars courant, par deux autres de faible importance. L'épicentre de la première secousse, d'une magnitude de 2,8 degrés, a été localisé à 10 km au sud-est d'Oran, alors que la seconde, d'une magnitude de 2,7 degrés, a eu pour épicentre la région nord d'Arzew.