La Juventus Turin a écopé jeudi pour la troisième fois de la saison d'une amende en raison de chants racistes entonnés par ses supporteurs, lors de la demi-finale de la Coupe d'Italie mardi face à l'AC Milan. Les autorités sportives italiennes ont condamné la Juve à payer 20.000 euros, soit deux fois plus qu'en janvier et octobre, pour les mêmes faits. Mardi, les chants racistes étaient dirigés contre le Ghanéen Sulley Muntari et le Néerlandais Urby Emanuelson, joueurs de l'AC Milan. Ces supporteurs s'étaient déjà rendu coupables de fréquentes insultes racistes envers l'attaquant Mario Balotelli, alors à l'Inter Milan. Ceci relance une fois de plus le débat sur la responsabilité d'une personne morale et d'une personne physique, auquel a fait référence le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, dans son discours prononcé jeudi à l'ouverture du 36e Congrès de l'UEFA. La Juventus Turin a écopé jeudi pour la troisième fois de la saison d'une amende en raison de chants racistes entonnés par ses supporteurs, lors de la demi-finale de la Coupe d'Italie mardi face à l'AC Milan. Les autorités sportives italiennes ont condamné la Juve à payer 20.000 euros, soit deux fois plus qu'en janvier et octobre, pour les mêmes faits. Mardi, les chants racistes étaient dirigés contre le Ghanéen Sulley Muntari et le Néerlandais Urby Emanuelson, joueurs de l'AC Milan. Ces supporteurs s'étaient déjà rendu coupables de fréquentes insultes racistes envers l'attaquant Mario Balotelli, alors à l'Inter Milan. Ceci relance une fois de plus le débat sur la responsabilité d'une personne morale et d'une personne physique, auquel a fait référence le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, dans son discours prononcé jeudi à l'ouverture du 36e Congrès de l'UEFA.