Une personne a été tuée et 18 autres ont été blessées dans la nuit de vendredi à samedi dans des affrontements entre les forces de l'ordre égyptiennes et les supporters d'Al Masry, éclatés suite à la suspension par la Fédération égyptienne de football du club Al Masry, selon des sources médicales égyptiennes. Le jeune a été tué et 16 autres ont été blessés, notamment par du gaz lacrymogènes, lorsque la police a dispersé une manifestation de supporteurs d'Al-Masry, furieux contre la décision de suspension de leur équipe du championnat pour deux saisons et l'interdiction du stade de Port-Saïd pour trois ans, selon les mêmes sources. Ces sanctions à l'encontre du club de Port-Saïd ont été prises suite à la mort de 74 personnes le 1er février dans des violences qui ont éclaté dans ce stade après un match contre le club cairote d'Al Ahly. La justice égyptienne avait inculpé 75 personnes, dont 9 policiers et trois responsables du club de football Al-Masry, pour meurtre et négligence suite à ces violences. Parmi les personnes poursuivies dans le cadre de cette affaire, figurent deux mineurs et le général Essam Samak, chef de la sécurité de Port-Saïd, suspendu au lendemain de ces violences. Une personne a été tuée et 18 autres ont été blessées dans la nuit de vendredi à samedi dans des affrontements entre les forces de l'ordre égyptiennes et les supporters d'Al Masry, éclatés suite à la suspension par la Fédération égyptienne de football du club Al Masry, selon des sources médicales égyptiennes. Le jeune a été tué et 16 autres ont été blessés, notamment par du gaz lacrymogènes, lorsque la police a dispersé une manifestation de supporteurs d'Al-Masry, furieux contre la décision de suspension de leur équipe du championnat pour deux saisons et l'interdiction du stade de Port-Saïd pour trois ans, selon les mêmes sources. Ces sanctions à l'encontre du club de Port-Saïd ont été prises suite à la mort de 74 personnes le 1er février dans des violences qui ont éclaté dans ce stade après un match contre le club cairote d'Al Ahly. La justice égyptienne avait inculpé 75 personnes, dont 9 policiers et trois responsables du club de football Al-Masry, pour meurtre et négligence suite à ces violences. Parmi les personnes poursuivies dans le cadre de cette affaire, figurent deux mineurs et le général Essam Samak, chef de la sécurité de Port-Saïd, suspendu au lendemain de ces violences.