L'Algérie et la Libye ont convenu mercredi de l'organisation de patrouilles de contrôle des frontières, selon le procès-verbal des entretiens signé entre le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, et son homologue libyen, Fawzi Abdelaal. L'Algérie et la Libye ont convenu mercredi de l'organisation de patrouilles de contrôle des frontières, selon le procès-verbal des entretiens signé entre le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, et son homologue libyen, Fawzi Abdelaal. «Il a été convenu d'organiser des patrouilles de contrôle des frontières, de la réactivation des points de contrôle et du renforcement de la coopération en matière d'échange d'informations entre les organes de sécurité spécialisés pour assurer la prise en charge des nouveaux développements et un prompt règlement des problèmes qui se posent», était-il écrit dans le procès verbal qui a sanctionné la visite du responsable libyen. La partie algérienne a proposé d'autre part, un projet de protocole d'accord sur "la création d'un comité bilatéral des frontières qui se chargera d'élargir et de diversifier les domaines de coopération notamment la sécurité et le développement des régions frontalières". La partie libyenne s'est engagée à ce propos, à "examiner le projet et d'y apporter une réponse par voie diplomatique dans les meilleurs délais". Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a souligné mardi déjà «la disponibilité de l'Algérie à coopérer avec la Libye dans les domaines susceptibles de contribuer à renforcer la surveillance et assurer la sécurité des frontières» communes, et proposé «la constitution d'une commission mixte frontalière algéro-libyenne» pour prendre en charge les questions de sécurité et les régions frontalières. Le ministre libyen de l'Intérieur, a mis en avant mardi la nécessité d'unifier les positions de l'Algérie et de la Libye dans les forums internationaux pour mieux servir la sécurité des deux pays aux niveaux régional et mondial. La conjugaison des efforts entre l'Algérie et la Libye dans tous les domaines constituera un facteur de stabilité dans la région et aura un impact positif sur la paix dans la région et dans le monde, a-t-il soutenu. Rappelant «les intérêts communs pour lequel les deux pays peuvent engager une coopération», le ministre libyen a précisé, de ce fait, que la nouvelle politique de son pays reposait sur «la confiance, la coopération et les échanges», soulignant que la Libye était «confiante quant aux intentions algériennes à son égard». Il indiquera, à ce sujet, que de nouvelles perspectives de coopération entre l'Algérie et son pays, sont prévues, dans les domaines sécuritaire, économique et autres, affirmant que la Libye «coopérera avec l'ensemble des Etats de son entourage dans leurs démarches visant la préservation de la paix et l'éradication du terrorisme». La Libye, a-t-il dit, est disposée à oeuvrer sérieusement au mieux des intérêts communs au Maghreb, soulignant que son pays ne ménagera aucun effort pour la concrétisation de la coopération, l'examen des propositions formulées par l'Algérie et la dynamisation de tous les accords conclus. Le ministre de l'Intérieur libyen se trouve en Algérie, depuis mardi dernier, dans le cadre d'une visite officielle de deux jours à l'invitation de son homologue algérien, Daho Ould Kablia. «Il a été convenu d'organiser des patrouilles de contrôle des frontières, de la réactivation des points de contrôle et du renforcement de la coopération en matière d'échange d'informations entre les organes de sécurité spécialisés pour assurer la prise en charge des nouveaux développements et un prompt règlement des problèmes qui se posent», était-il écrit dans le procès verbal qui a sanctionné la visite du responsable libyen. La partie algérienne a proposé d'autre part, un projet de protocole d'accord sur "la création d'un comité bilatéral des frontières qui se chargera d'élargir et de diversifier les domaines de coopération notamment la sécurité et le développement des régions frontalières". La partie libyenne s'est engagée à ce propos, à "examiner le projet et d'y apporter une réponse par voie diplomatique dans les meilleurs délais". Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a souligné mardi déjà «la disponibilité de l'Algérie à coopérer avec la Libye dans les domaines susceptibles de contribuer à renforcer la surveillance et assurer la sécurité des frontières» communes, et proposé «la constitution d'une commission mixte frontalière algéro-libyenne» pour prendre en charge les questions de sécurité et les régions frontalières. Le ministre libyen de l'Intérieur, a mis en avant mardi la nécessité d'unifier les positions de l'Algérie et de la Libye dans les forums internationaux pour mieux servir la sécurité des deux pays aux niveaux régional et mondial. La conjugaison des efforts entre l'Algérie et la Libye dans tous les domaines constituera un facteur de stabilité dans la région et aura un impact positif sur la paix dans la région et dans le monde, a-t-il soutenu. Rappelant «les intérêts communs pour lequel les deux pays peuvent engager une coopération», le ministre libyen a précisé, de ce fait, que la nouvelle politique de son pays reposait sur «la confiance, la coopération et les échanges», soulignant que la Libye était «confiante quant aux intentions algériennes à son égard». Il indiquera, à ce sujet, que de nouvelles perspectives de coopération entre l'Algérie et son pays, sont prévues, dans les domaines sécuritaire, économique et autres, affirmant que la Libye «coopérera avec l'ensemble des Etats de son entourage dans leurs démarches visant la préservation de la paix et l'éradication du terrorisme». La Libye, a-t-il dit, est disposée à oeuvrer sérieusement au mieux des intérêts communs au Maghreb, soulignant que son pays ne ménagera aucun effort pour la concrétisation de la coopération, l'examen des propositions formulées par l'Algérie et la dynamisation de tous les accords conclus. Le ministre de l'Intérieur libyen se trouve en Algérie, depuis mardi dernier, dans le cadre d'une visite officielle de deux jours à l'invitation de son homologue algérien, Daho Ould Kablia.