Le partenariat gagnant-gagnant sera au centre des discussions entre les opérateurs économiques algériens et des hommes d'affaires turcs, mardi prochain, au siège de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI). Le partenariat gagnant-gagnant sera au centre des discussions entre les opérateurs économiques algériens et des hommes d'affaires turcs, mardi prochain, au siège de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI). Ainsi, une délégation d'industriels et d'entrepreneurs turcs membres de l'association des industriels et des hommes d'affaires turcs (TUMSIAD), composée de 40 personnes, séjournera à Alger à partir de demain où ils auront des négociations de type business to business avec des opérateurs algériens. Les discussions porteront, notamment, sur les opportunités de monter des projets de développement économique communs dans divers secteurs d'activités, tels que la construction, le textile, les équipements médicaux, les machines industrielles, les télécommunications, ainsi que l'industrie automobile et les services. Dans ce cadre, la CACI prévoit une rencontre de mise en relation d'affaires entre opérateurs algériens et leurs homologues turcs qui aura lieu mardi en vue de rechercher les voies et les moyens de booster le partenariat et les échanges commerciaux entre les deux pays. Rappelons que plus de 150 entreprises turques travaillent actuellement en Algérie, notamment dans les secteurs de la construction et de l'agroalimentaire. Mais les autorités turques veulent aller bien loin dans leur coopération avec les entreprises algériennes en proposant, véritablement, la création d'une zone de libre échange avec l'Algérie, sachant que les relations commerciales réciproques ont atteint un niveau appréciable. Avec plus de 4 milliards dollars d'échanges commerciaux entre les deux pays, la Turquie revendique plus de souplesse des formalités douanières afin d'exporter leurs produits et marchandises vers l'Algérie, en dépit d'une balance commerciale défavorable à la Turquie. Le ministre du Commerce et des Douanes turc, Hayati Yazici, qui a récemment visité l'Algérie, estime que "l'essentiel consiste à mettre en place une stratégie pour le développement des échanges commerciaux mutuels à l'horizon 2015". Etant un partenaire important pour la Turquie dans le bassin méditerranéen, l'Algérie peut bénéficier de l'expérience de ce pays en matière de développement de petites et moyennes entreprises. Dans cet ordre d'idées, le ministre turc a souligné que «l'important consiste à augmenter les investissements et l'implication des 150 entreprises opérant en Algérie (principalement dans la construction, l'immobilier, construction de chalets et villas, l'agroalimentaire…) dont le montant oscille autour de 5 milliards dollars. Ainsi, une délégation d'industriels et d'entrepreneurs turcs membres de l'association des industriels et des hommes d'affaires turcs (TUMSIAD), composée de 40 personnes, séjournera à Alger à partir de demain où ils auront des négociations de type business to business avec des opérateurs algériens. Les discussions porteront, notamment, sur les opportunités de monter des projets de développement économique communs dans divers secteurs d'activités, tels que la construction, le textile, les équipements médicaux, les machines industrielles, les télécommunications, ainsi que l'industrie automobile et les services. Dans ce cadre, la CACI prévoit une rencontre de mise en relation d'affaires entre opérateurs algériens et leurs homologues turcs qui aura lieu mardi en vue de rechercher les voies et les moyens de booster le partenariat et les échanges commerciaux entre les deux pays. Rappelons que plus de 150 entreprises turques travaillent actuellement en Algérie, notamment dans les secteurs de la construction et de l'agroalimentaire. Mais les autorités turques veulent aller bien loin dans leur coopération avec les entreprises algériennes en proposant, véritablement, la création d'une zone de libre échange avec l'Algérie, sachant que les relations commerciales réciproques ont atteint un niveau appréciable. Avec plus de 4 milliards dollars d'échanges commerciaux entre les deux pays, la Turquie revendique plus de souplesse des formalités douanières afin d'exporter leurs produits et marchandises vers l'Algérie, en dépit d'une balance commerciale défavorable à la Turquie. Le ministre du Commerce et des Douanes turc, Hayati Yazici, qui a récemment visité l'Algérie, estime que "l'essentiel consiste à mettre en place une stratégie pour le développement des échanges commerciaux mutuels à l'horizon 2015". Etant un partenaire important pour la Turquie dans le bassin méditerranéen, l'Algérie peut bénéficier de l'expérience de ce pays en matière de développement de petites et moyennes entreprises. Dans cet ordre d'idées, le ministre turc a souligné que «l'important consiste à augmenter les investissements et l'implication des 150 entreprises opérant en Algérie (principalement dans la construction, l'immobilier, construction de chalets et villas, l'agroalimentaire…) dont le montant oscille autour de 5 milliards dollars.