Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, a annoncé dimanche que les opérateurs de téléphonie mobile ne se verront accorder la licence 3G (troisième génération de téléphonie mobile) qu'après le règlement du dossier de l'opérateur Orascom Télécom Algérie (OTA), connu sous le nom commercial Djezzy. Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, a annoncé dimanche que les opérateurs de téléphonie mobile ne se verront accorder la licence 3G (troisième génération de téléphonie mobile) qu'après le règlement du dossier de l'opérateur Orascom Télécom Algérie (OTA), connu sous le nom commercial Djezzy. Benhamadi a précisé, dans une déclaration à la chaîne I de la Radio nationale, qu'une fois réglé le dossier OTA, pris en charge par le ministre des Finances, Karim Djoudi, la tutelle reprendra le processus du lancement de ce service. Les négociations concernant le dossier Djezzy s'achèveront durant les prochaines semaines, a fait savoir le ministre, indiquant que les préparatifs de l'élaboration du cahier des charges relatif au lancement de la 3G ont débuté en décembre dernier. Sur la question de savoir si un nouvel opérateur de téléphonie mobile entrera en Algérie, le ministre a exclu cette éventualité, «les trois opérateurs actuels couvrent les besoins du marché national», a-t-il dit à ce propos. Pour rappel, le ministre des Finances avait, auparavant, annoncé l'achèvement de l'évaluation de Djezzy, soulignant que les négociations entre son département et le propriétaire majoritaire d'OTA, le russo-norvégien Vimpelcom «se poursuivent pour arriver à un accord sur la valeur de la transaction». Vimpelcom avait racheté en mars 2011 le groupe italien Wind Telecom qui détenait 51% d'OTH (Orascom télécom holding), propriétaire majoritaire d'OTA, rappelle-t-on. Le groupe russe a accepté de céder la majorité du capital de Djezzy sous réserve d'un prix «acceptable». La valeur de Djezzy est estimée par le gouvernement algérien à 6,5 milliards de dollars. L'évaluation d'Orascom Télecom Algérie (OTA), qui a été confiée au cabinet d'affaires international Shearman and Sterling LLP-France, a été achevée dernièrement. Notons, par ailleurs, que la justice algérienne a condamné Djezzy à une nouvelle amende de 99 milliards de dinars, soit près de 1,3 milliard de dollars, suite à une plainte de la Banque d'Algérie datant de 2010 concernant des accusations de violation de la législation algérienne sur les changes. Un membre de la direction de Djezzy a également été condamné dans cette affaire, a indiqué le groupe égyptien mercredi dans un communiqué. Benhamadi a précisé, dans une déclaration à la chaîne I de la Radio nationale, qu'une fois réglé le dossier OTA, pris en charge par le ministre des Finances, Karim Djoudi, la tutelle reprendra le processus du lancement de ce service. Les négociations concernant le dossier Djezzy s'achèveront durant les prochaines semaines, a fait savoir le ministre, indiquant que les préparatifs de l'élaboration du cahier des charges relatif au lancement de la 3G ont débuté en décembre dernier. Sur la question de savoir si un nouvel opérateur de téléphonie mobile entrera en Algérie, le ministre a exclu cette éventualité, «les trois opérateurs actuels couvrent les besoins du marché national», a-t-il dit à ce propos. Pour rappel, le ministre des Finances avait, auparavant, annoncé l'achèvement de l'évaluation de Djezzy, soulignant que les négociations entre son département et le propriétaire majoritaire d'OTA, le russo-norvégien Vimpelcom «se poursuivent pour arriver à un accord sur la valeur de la transaction». Vimpelcom avait racheté en mars 2011 le groupe italien Wind Telecom qui détenait 51% d'OTH (Orascom télécom holding), propriétaire majoritaire d'OTA, rappelle-t-on. Le groupe russe a accepté de céder la majorité du capital de Djezzy sous réserve d'un prix «acceptable». La valeur de Djezzy est estimée par le gouvernement algérien à 6,5 milliards de dollars. L'évaluation d'Orascom Télecom Algérie (OTA), qui a été confiée au cabinet d'affaires international Shearman and Sterling LLP-France, a été achevée dernièrement. Notons, par ailleurs, que la justice algérienne a condamné Djezzy à une nouvelle amende de 99 milliards de dinars, soit près de 1,3 milliard de dollars, suite à une plainte de la Banque d'Algérie datant de 2010 concernant des accusations de violation de la législation algérienne sur les changes. Un membre de la direction de Djezzy a également été condamné dans cette affaire, a indiqué le groupe égyptien mercredi dans un communiqué.