La 8e édition des Journées du haouzi, marquée par la participation d'un panel d'artistes et troupes musicales, a été clôturée samedi soir à Blida en beauté sous les sons d'une authentique zorna jouée par la troupe Ourida de Blida. La cérémonie de clôture de cet événement artistique, abritée depuis le 23 mars par la salle des conférences de la wilaya, a vu le passage sur scène de l'artiste Hamidou, qui ne s'est pas ménagé à cette occasion pour tenir en haleine le public, en présentant les meilleurs tubes de son cru, à l'image de Aachek Mamhoune, Manaarefch Ouana Sghir et autres Yalah N'zourou. «L'enthousiasme du public démontre clairement son attachement à ses origines et à l'art tout court», a déclaré Hamidou à l'APS, visiblement heureux à l'issue de son concert, sachant que c'est la seconde fois que l'artiste prend part à ces Journées du haouzi, dont le succès auprès du public est demeuré intact. L'association des élèves de l'Institut du malouf de Constantine, qui en est à sa troisième participation, n'a pas dérogé à sa règle, puisqu'elle aussi a réussi a capter l'attention des familles blidéennes, grâce à un istikhbar dans le genre M'hier, exécuté par son chef d'orchestre, Lahmar Mohamed Salah, suivi de kassidate dans le genre Haouzi, Nar oulfi et Mal hbibi malou. M. Lahmar a exprimé son admiration pour la bonne organisation de cette 8e édition du haouzi, et salué «le public connaisseur de Blida», qui a rempli la salle des conférences tout au long de la manifestation. La soirée a été, également, marquée par des istikhbars en «Sika» et «El Irak El matlouk» de l'association Mustapha Belkhodja d'Oran, qui a présenté sa qassida en haouzi Nar houakoume lhab. Selon la responsable chargée de l'organisation de cette 8e édition du Haouzi de Blida, Khalida Benkeddache, cette manifestation «participe à la préservation du patrimoine artistique algérien, notamment dans son volet musical fort riche et diversifié». Mme Benkeddache a loué, à l'occasion, le choix porté sur cette salle pour l'organisation de cette 8e édition, qui a une plus grande capacité que celle où elle se déroulait auparavant. Elle a également fait part de l'ambition du comité d'organisation d'élargir la participation, à ces journées du haouzi, à d'autres wilayas du pays et d'en diversifier les genres musicaux. La 8e édition des Journées du haouzi, marquée par la participation d'un panel d'artistes et troupes musicales, a été clôturée samedi soir à Blida en beauté sous les sons d'une authentique zorna jouée par la troupe Ourida de Blida. La cérémonie de clôture de cet événement artistique, abritée depuis le 23 mars par la salle des conférences de la wilaya, a vu le passage sur scène de l'artiste Hamidou, qui ne s'est pas ménagé à cette occasion pour tenir en haleine le public, en présentant les meilleurs tubes de son cru, à l'image de Aachek Mamhoune, Manaarefch Ouana Sghir et autres Yalah N'zourou. «L'enthousiasme du public démontre clairement son attachement à ses origines et à l'art tout court», a déclaré Hamidou à l'APS, visiblement heureux à l'issue de son concert, sachant que c'est la seconde fois que l'artiste prend part à ces Journées du haouzi, dont le succès auprès du public est demeuré intact. L'association des élèves de l'Institut du malouf de Constantine, qui en est à sa troisième participation, n'a pas dérogé à sa règle, puisqu'elle aussi a réussi a capter l'attention des familles blidéennes, grâce à un istikhbar dans le genre M'hier, exécuté par son chef d'orchestre, Lahmar Mohamed Salah, suivi de kassidate dans le genre Haouzi, Nar oulfi et Mal hbibi malou. M. Lahmar a exprimé son admiration pour la bonne organisation de cette 8e édition du haouzi, et salué «le public connaisseur de Blida», qui a rempli la salle des conférences tout au long de la manifestation. La soirée a été, également, marquée par des istikhbars en «Sika» et «El Irak El matlouk» de l'association Mustapha Belkhodja d'Oran, qui a présenté sa qassida en haouzi Nar houakoume lhab. Selon la responsable chargée de l'organisation de cette 8e édition du Haouzi de Blida, Khalida Benkeddache, cette manifestation «participe à la préservation du patrimoine artistique algérien, notamment dans son volet musical fort riche et diversifié». Mme Benkeddache a loué, à l'occasion, le choix porté sur cette salle pour l'organisation de cette 8e édition, qui a une plus grande capacité que celle où elle se déroulait auparavant. Elle a également fait part de l'ambition du comité d'organisation d'élargir la participation, à ces journées du haouzi, à d'autres wilayas du pays et d'en diversifier les genres musicaux.