La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a annoncé, jeudi soir à Alger, la création officielle du Conseil national des arts et lettres. Longtemps attendu par le monde artistique algérien, ce conseil, a estimé Mme Toumi dans son discours adressé aux artistes algériens lors d'une soirée dînatoire, «constituera le socle sur lequel sera construit l'ensemble de l'organisation à même de permettre aux artistes de s'épanouir dans notre pays». La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a annoncé, jeudi soir à Alger, la création officielle du Conseil national des arts et lettres. Longtemps attendu par le monde artistique algérien, ce conseil, a estimé Mme Toumi dans son discours adressé aux artistes algériens lors d'une soirée dînatoire, «constituera le socle sur lequel sera construit l'ensemble de l'organisation à même de permettre aux artistes de s'épanouir dans notre pays». Ce Conseil national est composé de treize membres permanents, dont un représentant du ministère de l'Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale et un représentant du ministère de la Culture. Les autres membres sont issus du monde artistique. Les artistes algériens sont confrontés à une série d'obstacles et de problèmes dans leur métier, à commencer par l'instabilité de cette profession et la faiblesse avérée dans les différents niveaux de leur organisation, a déclaré la ministre. La création de ce conseil, qui est le premier du genre dans le pays, a-t-elle affirmé, est un moyen de revaloriser les artistes algériens. «L'effort fourni par l'artiste est souvent récompensé par un retour souvent négatif lors de l'exercice de sa profession», a-t-elle dit. En présence du ministre de l'Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, la ministre de la Culture s'est félicitée de cette «merveilleuse nouvelle», qui, ajoute-elle, garantira aux artistes une assurance sociale, un cadre de travail serein mais aussi leur offre l'opportunité de cotiser à la sécurité sociale pour s'assurer une retraite. «L'importance de cette structure est qu'elle est chargée de tracer la politique de promotion des intérêts professionnels des artistes», a indiqué la ministre dans son discours. Toutefois, a poursuivi Mme Toumi, ce conseil n'est pas une organisation syndicale, encore moins une association nationale. Les artistes, présents lors de cette soirée, ont accueilli favorablement l'annonce de la création de ce conseil, a-t-on constaté. Le conseil est appelé, selon Mme Toumi, à fournir des recommandations et propositions pouvant garantir une meilleure protection des droits des artistes dans le cadre de l'exercice de leurs métiers respectifs. Par ailleurs, deux commissions permanentes seront installées prochainement. Ces commissions auront à leur charge de définir les critères définissant le statut de l'artiste et également procéder à la préparation d'un registre national des artistes. La création de ce Conseilnational des arts et lettres intervient suite à la publication au Journal officiel daté du 30 iuin 2011 d'un décret exécutif portant le numéro 11-209. Ce Conseil national est composé de treize membres permanents, dont un représentant du ministère de l'Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale et un représentant du ministère de la Culture. Les autres membres sont issus du monde artistique. Les artistes algériens sont confrontés à une série d'obstacles et de problèmes dans leur métier, à commencer par l'instabilité de cette profession et la faiblesse avérée dans les différents niveaux de leur organisation, a déclaré la ministre. La création de ce conseil, qui est le premier du genre dans le pays, a-t-elle affirmé, est un moyen de revaloriser les artistes algériens. «L'effort fourni par l'artiste est souvent récompensé par un retour souvent négatif lors de l'exercice de sa profession», a-t-elle dit. En présence du ministre de l'Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, la ministre de la Culture s'est félicitée de cette «merveilleuse nouvelle», qui, ajoute-elle, garantira aux artistes une assurance sociale, un cadre de travail serein mais aussi leur offre l'opportunité de cotiser à la sécurité sociale pour s'assurer une retraite. «L'importance de cette structure est qu'elle est chargée de tracer la politique de promotion des intérêts professionnels des artistes», a indiqué la ministre dans son discours. Toutefois, a poursuivi Mme Toumi, ce conseil n'est pas une organisation syndicale, encore moins une association nationale. Les artistes, présents lors de cette soirée, ont accueilli favorablement l'annonce de la création de ce conseil, a-t-on constaté. Le conseil est appelé, selon Mme Toumi, à fournir des recommandations et propositions pouvant garantir une meilleure protection des droits des artistes dans le cadre de l'exercice de leurs métiers respectifs. Par ailleurs, deux commissions permanentes seront installées prochainement. Ces commissions auront à leur charge de définir les critères définissant le statut de l'artiste et également procéder à la préparation d'un registre national des artistes. La création de ce Conseilnational des arts et lettres intervient suite à la publication au Journal officiel daté du 30 iuin 2011 d'un décret exécutif portant le numéro 11-209.