Plusieurs pays et organisations internationales ont fermement condamné l'enlèvement du consul d'Algérie et de six autres diplomates algériens, perpétré la veille à Gao (nord du Mali), exigeant "la libération immédiate" de toutes les personnes enlevées. L'Union du Maghreb arabe (UMA) a dénoncé "dans les termes les plus forts" une "agression barbare, contraire à toutes les lois et normes internationales", après le rapt des diplomates algériens. L'UMA qui déclare suivre avec "une grave préoccupation" et une "profonde inquiétude" l'évolution de la situation à la suite de cette agression exprime sa solidarité avec les personnes enlevées ainsi qu'avec leurs familles, a indiqué un communiqué du secrétariat général de l'UMA. Elle forme le voeu de voir "les autorités maliennes prendre les mesures appropriées pour assurer la sécurité des personnes enlevées et garantir leur retour sains et saufs au sein de leurs familles et de leurs proches", selon le document. Pour sa part, le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Jean Ping, a "vigoureusement" condamné l'incursion d'individus armés dans le consulat d'Algérie à Gao et l'enlèvement de membres de la mission diplomatique, dont le consul, qui ont été conduits vers une destination inconnue. Dans un communiqué rendu public par l'UA à Addis Abeba, Ping a souligné "la gravité d'un tel acte" qui a ciblé des missions diplomatiques internationales et des émissaires diplomatiques, exigeant "la libération immédiate" de toutes les personnes enlevées. Il a, par ailleurs, réaffirmé l'engagement de l'UA, dans le cadre de ses mécanismes et instruments et des décisions du Conseil de paix et de sécurité africain "à ne ménager aucun effort pour renforcer la coopération internationale et africaine pour lutter contre le terrorisme". La Tunisie a, elle aussi, dénoncé l'enlèvement de diplomates algériens à Gao condamnant "des actes contraires aux coutumes internationales", selon un communiqué du ministère tunisien des Affaires étrangères. Le Maroc a également dénoncé l'attaque perpétrée jeudi contre le consulat d'Algérie. Dans une déclaration à l'agence de presse MAP, le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération, Saad Dine El Otmani, a condamné cet acte et exprimé "sa solidarité avec le peuple algérien ainsi qu'avec les personnes enlevées et leurs familles". En France, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero, a exprimé la condamnation de son pays à la suite du rapt des diplomates algériens : "Paris condamne les enlèvements de personnels diplomatiques consulaires algériens", en référence à la prise d'otage du consul d'Algérie à Gao et de six membres de sa mission. Plusieurs pays et organisations internationales ont fermement condamné l'enlèvement du consul d'Algérie et de six autres diplomates algériens, perpétré la veille à Gao (nord du Mali), exigeant "la libération immédiate" de toutes les personnes enlevées. L'Union du Maghreb arabe (UMA) a dénoncé "dans les termes les plus forts" une "agression barbare, contraire à toutes les lois et normes internationales", après le rapt des diplomates algériens. L'UMA qui déclare suivre avec "une grave préoccupation" et une "profonde inquiétude" l'évolution de la situation à la suite de cette agression exprime sa solidarité avec les personnes enlevées ainsi qu'avec leurs familles, a indiqué un communiqué du secrétariat général de l'UMA. Elle forme le voeu de voir "les autorités maliennes prendre les mesures appropriées pour assurer la sécurité des personnes enlevées et garantir leur retour sains et saufs au sein de leurs familles et de leurs proches", selon le document. Pour sa part, le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Jean Ping, a "vigoureusement" condamné l'incursion d'individus armés dans le consulat d'Algérie à Gao et l'enlèvement de membres de la mission diplomatique, dont le consul, qui ont été conduits vers une destination inconnue. Dans un communiqué rendu public par l'UA à Addis Abeba, Ping a souligné "la gravité d'un tel acte" qui a ciblé des missions diplomatiques internationales et des émissaires diplomatiques, exigeant "la libération immédiate" de toutes les personnes enlevées. Il a, par ailleurs, réaffirmé l'engagement de l'UA, dans le cadre de ses mécanismes et instruments et des décisions du Conseil de paix et de sécurité africain "à ne ménager aucun effort pour renforcer la coopération internationale et africaine pour lutter contre le terrorisme". La Tunisie a, elle aussi, dénoncé l'enlèvement de diplomates algériens à Gao condamnant "des actes contraires aux coutumes internationales", selon un communiqué du ministère tunisien des Affaires étrangères. Le Maroc a également dénoncé l'attaque perpétrée jeudi contre le consulat d'Algérie. Dans une déclaration à l'agence de presse MAP, le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération, Saad Dine El Otmani, a condamné cet acte et exprimé "sa solidarité avec le peuple algérien ainsi qu'avec les personnes enlevées et leurs familles". En France, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero, a exprimé la condamnation de son pays à la suite du rapt des diplomates algériens : "Paris condamne les enlèvements de personnels diplomatiques consulaires algériens", en référence à la prise d'otage du consul d'Algérie à Gao et de six membres de sa mission.