«Nous sommes ravis de voir se renforcer notre partenariat avec Biopharm qui a toujours joui d'une excellente et respectable réputation et a toujours été un de nos partenaires», nous a notamment affirmé, hier, le vice-président d'AstraZeneca pour la région Afrique et Moyen-Orient, Tarek Rabah. «Nous sommes ravis de voir se renforcer notre partenariat avec Biopharm qui a toujours joui d'une excellente et respectable réputation et a toujours été un de nos partenaires», nous a notamment affirmé, hier, le vice-président d'AstraZeneca pour la région Afrique et Moyen-Orient, Tarek Rabah. En effet, la compagnie internationale pharmaceutique innovante, Astra Zeneca, et la Société algérienne Biopharm ont annoncé la création d'une joint venture dont l'objectif essentiel consiste à réaliser une nouvelle unité de production dans la région d'Alger. En fait, selon les deux parties, «cet accord qui génèrera des investissements et des emplois qualifiés, s'inscrit dans la stratégie du gouvernement algérien en vue de moderniser et développer le secteur pharmaceutique du pays», ajoutant que «cette nouvelle usine produira pour la communauté médicale les médicaments AstraZeneca pour différents types de pathologies», tels que Atacand et Crestor, concernant les neurologiques, Seroquel IR et Oncologiques (Casodex). Voulant contribuer à l'amélioration du système de santé en Algérie et la qualité des soins, le responsable d'AstraZeneca a précisé que "cet accord démontre concrètement que nous avons en Algérie un engagement et une vision qui s'inscrivent dans le long terme. Il reflète notre stratégie qui vise à créer et soutenir notre croissance dans les marchés émergents". M. Rabah a, par ailleurs, souligné que «ce partenariat industriel est un tournant en Algérie, car cette entreprise anglo-suédoise qu'est AstraZeneco est un exemple de joint venture entre une société de renommée internationale et une entreprises privée algérienne, et il s'agit véritablement d'un modèle à suivre en Algérie ». Il ajoute qu'en 2014, «nous assurerons 70 % des besoins en médicaments en Algérie pour garantir des soins de haute qualité pour la population algérienne. En fait, AstraZenzco s'installe durablement et solidement en Algérie». Le responsable de AstraZeneca ajoute, également que, «Biopharm est l'un de nos principaux distributeurs en Algérie et nous envisageons d'encourager la recherche et développement afin de trouver d'autres médicaments sachant que l'usine à construire est un centre d'excellence et de formation académique pour les universitaires et les étudiants. Le programme de recherche international portera sur les maladies cardiovasculaires ». Pour sa part, le président de Biopharm, Abdelmadjid Kerrar, a indiqué que «notre relation avec AstraZeneca est excellente. Cette alliance, de par l'importance de l'investissement consenti, apportera un réel transfert de technologie et de savoir-faire tout en renforçant les capacités de production locales aux niveaux humain et matériel. Le succès de cet investissement requiert le soutien des autorités algériennes». Benmeradi met l'accent sur le transfert technologique Le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, a insisté sur la nécessité de réaliser le transfert de technologie et de ‘'know how''. «Le volume d'importation de médicaments ne cesse d'augmenter en ce sens que le montant a atteint 2 milliards dollars en 2011 alors que le gouvernement veut diversifier la production nationale. Biopharm et AstraZeneca est une filière importante dans la mesure où 25 laboratoires travaillent en partenariat en Algérie ou seuls, d'où les performances en matière technologique», a-t-il dit. Quant au ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, il a mis en exergue, «l'investissement dans le domaine des médicaments où pas moins de 364 millions dollars directs étrangers ont été consentis dans le cadre du partenariat étranger et national». Il ajoute que AstraZeneca est connu et constitue un exemple de partenariat avec le privé algérien. L'objectif consiste à réduire la facture d'importation en ce sens que 3 milliards dollars ont été dépensés en 2011 en termes de médicaments et matériels médicaux, d'où la nécessité de garantir la production stratégique. En effet, la compagnie internationale pharmaceutique innovante, Astra Zeneca, et la Société algérienne Biopharm ont annoncé la création d'une joint venture dont l'objectif essentiel consiste à réaliser une nouvelle unité de production dans la région d'Alger. En fait, selon les deux parties, «cet accord qui génèrera des investissements et des emplois qualifiés, s'inscrit dans la stratégie du gouvernement algérien en vue de moderniser et développer le secteur pharmaceutique du pays», ajoutant que «cette nouvelle usine produira pour la communauté médicale les médicaments AstraZeneca pour différents types de pathologies», tels que Atacand et Crestor, concernant les neurologiques, Seroquel IR et Oncologiques (Casodex). Voulant contribuer à l'amélioration du système de santé en Algérie et la qualité des soins, le responsable d'AstraZeneca a précisé que "cet accord démontre concrètement que nous avons en Algérie un engagement et une vision qui s'inscrivent dans le long terme. Il reflète notre stratégie qui vise à créer et soutenir notre croissance dans les marchés émergents". M. Rabah a, par ailleurs, souligné que «ce partenariat industriel est un tournant en Algérie, car cette entreprise anglo-suédoise qu'est AstraZeneco est un exemple de joint venture entre une société de renommée internationale et une entreprises privée algérienne, et il s'agit véritablement d'un modèle à suivre en Algérie ». Il ajoute qu'en 2014, «nous assurerons 70 % des besoins en médicaments en Algérie pour garantir des soins de haute qualité pour la population algérienne. En fait, AstraZenzco s'installe durablement et solidement en Algérie». Le responsable de AstraZeneca ajoute, également que, «Biopharm est l'un de nos principaux distributeurs en Algérie et nous envisageons d'encourager la recherche et développement afin de trouver d'autres médicaments sachant que l'usine à construire est un centre d'excellence et de formation académique pour les universitaires et les étudiants. Le programme de recherche international portera sur les maladies cardiovasculaires ». Pour sa part, le président de Biopharm, Abdelmadjid Kerrar, a indiqué que «notre relation avec AstraZeneca est excellente. Cette alliance, de par l'importance de l'investissement consenti, apportera un réel transfert de technologie et de savoir-faire tout en renforçant les capacités de production locales aux niveaux humain et matériel. Le succès de cet investissement requiert le soutien des autorités algériennes». Benmeradi met l'accent sur le transfert technologique Le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi, a insisté sur la nécessité de réaliser le transfert de technologie et de ‘'know how''. «Le volume d'importation de médicaments ne cesse d'augmenter en ce sens que le montant a atteint 2 milliards dollars en 2011 alors que le gouvernement veut diversifier la production nationale. Biopharm et AstraZeneca est une filière importante dans la mesure où 25 laboratoires travaillent en partenariat en Algérie ou seuls, d'où les performances en matière technologique», a-t-il dit. Quant au ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, il a mis en exergue, «l'investissement dans le domaine des médicaments où pas moins de 364 millions dollars directs étrangers ont été consentis dans le cadre du partenariat étranger et national». Il ajoute que AstraZeneca est connu et constitue un exemple de partenariat avec le privé algérien. L'objectif consiste à réduire la facture d'importation en ce sens que 3 milliards dollars ont été dépensés en 2011 en termes de médicaments et matériels médicaux, d'où la nécessité de garantir la production stratégique.