l'Union internationale des Télécommunications (UIT) a indiqué, au cours du Salon international de l'informatique, de la bureautique et de la communication (Sicom 2012) que "l'Algérie figure parmi les sept pays arabes ayant enregistré le plus de progrès dans le domanie des technologies de l'information et de la communication (TIC), suivant le récent rapport de l'UIT, établi sur la base de l'indice de développement des TIC (IDI)". Contrairement à certaines estimations et évaluations locales négatives réalisées par des analystes et statiticiens nationaux concernant le taux de pénétration des TIC et de l'Internet dans les PME-PMI, le rapport de l'UIT montre, donc, qu'il existe une certaine évolution en Algérie, en ce sens que, les cadres de l'UIT souligent que "selon ce rapport, qui a été récemment présenté à Doha (Qatar) où se tenait le sommet sur la connectivité du monde arabe, l'Algérie fait partie des 7 pays de la région du monde arabe aux côtés de l'Arabie saoudite, l'Egypte, les Iles Comores, le Maroc, Oman et le Qatar, à avoir progressé dans le domaine des TIC (large bande) sur la base de l'indice IDI combinant 11 indicateurs comparatifs à l'évolution des TIC dans 52 pays du monde".Lors de l'inauguration de Sicom 2012 par le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et des télécommunications, le directeur du bureau de développement des télécommunications de l'UIT, Brahima Sanou, a précisé que "la recommadation essntielle consiste à activer le rôle de cette institution onusienne pour encourager tous les pays, y compris l'Algérie, à promouvoir l'inclusion numérique en élaborant un plan national en faveur desTIC", incluant, ajoute-t-il, des cibles concrètes pour l'évaluation des politiques en suivant les progrès et en mettant en évidence les débouchés commerciaux. Par ailleurs, le rapport de l'IUT fait ressortir que "sur les 16 pays arabes, cinq ont perdu du terrain en 2008 et 2010 et ont reculé au classement mondial, quatre ont conservé leur position et sept, dont l'Algérie, ont évolué sur ce registre". A. A. l'Union internationale des Télécommunications (UIT) a indiqué, au cours du Salon international de l'informatique, de la bureautique et de la communication (Sicom 2012) que "l'Algérie figure parmi les sept pays arabes ayant enregistré le plus de progrès dans le domanie des technologies de l'information et de la communication (TIC), suivant le récent rapport de l'UIT, établi sur la base de l'indice de développement des TIC (IDI)". Contrairement à certaines estimations et évaluations locales négatives réalisées par des analystes et statiticiens nationaux concernant le taux de pénétration des TIC et de l'Internet dans les PME-PMI, le rapport de l'UIT montre, donc, qu'il existe une certaine évolution en Algérie, en ce sens que, les cadres de l'UIT souligent que "selon ce rapport, qui a été récemment présenté à Doha (Qatar) où se tenait le sommet sur la connectivité du monde arabe, l'Algérie fait partie des 7 pays de la région du monde arabe aux côtés de l'Arabie saoudite, l'Egypte, les Iles Comores, le Maroc, Oman et le Qatar, à avoir progressé dans le domaine des TIC (large bande) sur la base de l'indice IDI combinant 11 indicateurs comparatifs à l'évolution des TIC dans 52 pays du monde".Lors de l'inauguration de Sicom 2012 par le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et des télécommunications, le directeur du bureau de développement des télécommunications de l'UIT, Brahima Sanou, a précisé que "la recommadation essntielle consiste à activer le rôle de cette institution onusienne pour encourager tous les pays, y compris l'Algérie, à promouvoir l'inclusion numérique en élaborant un plan national en faveur desTIC", incluant, ajoute-t-il, des cibles concrètes pour l'évaluation des politiques en suivant les progrès et en mettant en évidence les débouchés commerciaux. Par ailleurs, le rapport de l'IUT fait ressortir que "sur les 16 pays arabes, cinq ont perdu du terrain en 2008 et 2010 et ont reculé au classement mondial, quatre ont conservé leur position et sept, dont l'Algérie, ont évolué sur ce registre". A. A.