Après quelques tours d'échauffement, le départ de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai a été officiellement donné hier. Les 44 partis politiques et les listes indépendantes ont 21 jours pour séduire les électeurs. Les 44 partis politiques et un grand nombre de candidats indépendants en lice pour les législatives croiseront le fer pendant trois semaines. Ils vont se disputer les 462 sièges de la future Assemblée. Après quelques tours d'échauffement, le départ de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai a été officiellement donné hier. Les 44 partis politiques et les listes indépendantes ont 21 jours pour séduire les électeurs. Les 44 partis politiques et un grand nombre de candidats indépendants en lice pour les législatives croiseront le fer pendant trois semaines. Ils vont se disputer les 462 sièges de la future Assemblée. Les leaders des ces formations politiques vont sillonner par monts et par vaux l'ensemble du territoire national à l'effet de convaincre un électorat qui a du mal à entrer dans le bain. La précampagne engagée par tous les partis et les indépendants n'a pas soulevé «la curiosité» des électeurs. Les chefs de partis qui ont animé des meetings ou tenu des conférences de presse se sont contentés de balancer des «généralités» et réserver la primeur des grandes lignes de leurs programmes électoraux qu'ils dévoileront lors des meetings populaires, dès l'entame de la campagne électorale, qui se tiendront en plein air ou dans salles réservées à cet effet. Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem devait animer, hier, pour son début de campagne électorale, un meeting à Illizi. Pour sa part, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, devait entamer cette campagne électorale par deux meetings à Bechar et Nâama. Les deux partenaires de l'Alliance présidentielle ne manqueront pas de tirer la couverture à eux. Pour la durée de la campagne, ce sera à couteaux tirés entre les deux formations. L'autre formation de l'alliance en rupture de banc, le MSP qui a choisi de rejoindre son «milieu naturel», la mouvance islamique en s'alliant avec En Nahda et El Islah, dans une coalition portant le nom de «l'Alliance de l'Algérie verte» devait de son côté se jeter dans la bataille à partir de Constantine où se tiendront les cérémonies commémorant la Journée du savoir un jour plus tard. Bougerra Soltani, Fateh Rebei et Halmlaoui Akkouchi, les chefs des trois formations animeront conjointement les meetings de «l'Alliance de l'Algérie verte». Le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid, lui innove. Il est prévu qu'il se recueille à la mémoire de feu Ahmed Ben Bella au cimetière d'El Alia et inaugure à Baraki (Alger) la permanence du parti dans la capitale. Le président du Front national pour la justice sociale (FNJS), Khaled Bounedjma, anime un meeting à Tipasa et des activités de proximité à Baraki et Bordj El Kiffan (Alger). Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounes, sera à Mila pour son baptême de feu. Le secrétaire général du Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem, anime une conférence de presse au siège du parti pour présenter le programme de la campagne électorale. Le président du Front de l'Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdessalem, anime lui aussi un meeting à Constantine. L'Alliance de l'Algérie verte y sera aussi. La ville des Ponts fera donc le plein de la mouvance islamique. Beaucoup plus loin, le président du Front du changement (FC), Abdelmadjid Menasra, anime une conférence de presse à Blida et un meeting à Médéa. La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Mme Louisa Hanoune, infatigable et toujours aussi dynamique anime trois meetings à Tlemcen, Aïn Témouchent et Oran. Le président du Mouvement de l'entente nationale (MEN), Ali Boukhezna, anime deux meetings à Relizane et Sidi Bel Abbès. Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati usera du verbe à Tlemcen, Aïn Témouchent et Sidi Bel Abbès. Le secrétaire général du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Said, aura des activités de proximité à Alger. Le président du Fadjr El Djadid, Tahar Benbaibeche, anime un meeting à Boussaâda dans la wilaya de M'sila. Pour les autres partis et les indépendants, il est difficile de se faire une idée sur leur carnet de campagne. Rien n'a filtré de leur part, aucun effort de communication. Même les panneaux réservés à l'affichage des listes sont restés muets. La campagne démarre en fanfare pour tous ces partis politiques. Il est sans doute que certaines formations politiques, notamment celles qui ont reçu leurs agréments ces derniers jours, s'essouffleront très vite, mal préparées qu'elles sont et de surcroit sans expérience et qui ressentiront au fur et à mesure l'impact de l'insuffisance des ressources financières. Il faut dire que la campagne électorale «bouffera» énormément de fonds financiers. Elle laissera sur le carreau bon nombre de ces formations politiques, constituées à la va vite, à la santé financière fragile. Les sponsors à la chkara bien pleine leur font défaut. Il ne restera sur le terrain que «les vieux» partis aguerris à la lutte partisane et au «savoir-faire» avéré dans les rivalités qui seront exacerbées par l'enjeu de ce scrutin pas comme les autres et, par certains aspects inédits, notamment le nombre de partis, de candidats et la conjoncture nationale et internationale. Les leaders des ces formations politiques vont sillonner par monts et par vaux l'ensemble du territoire national à l'effet de convaincre un électorat qui a du mal à entrer dans le bain. La précampagne engagée par tous les partis et les indépendants n'a pas soulevé «la curiosité» des électeurs. Les chefs de partis qui ont animé des meetings ou tenu des conférences de presse se sont contentés de balancer des «généralités» et réserver la primeur des grandes lignes de leurs programmes électoraux qu'ils dévoileront lors des meetings populaires, dès l'entame de la campagne électorale, qui se tiendront en plein air ou dans salles réservées à cet effet. Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem devait animer, hier, pour son début de campagne électorale, un meeting à Illizi. Pour sa part, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, devait entamer cette campagne électorale par deux meetings à Bechar et Nâama. Les deux partenaires de l'Alliance présidentielle ne manqueront pas de tirer la couverture à eux. Pour la durée de la campagne, ce sera à couteaux tirés entre les deux formations. L'autre formation de l'alliance en rupture de banc, le MSP qui a choisi de rejoindre son «milieu naturel», la mouvance islamique en s'alliant avec En Nahda et El Islah, dans une coalition portant le nom de «l'Alliance de l'Algérie verte» devait de son côté se jeter dans la bataille à partir de Constantine où se tiendront les cérémonies commémorant la Journée du savoir un jour plus tard. Bougerra Soltani, Fateh Rebei et Halmlaoui Akkouchi, les chefs des trois formations animeront conjointement les meetings de «l'Alliance de l'Algérie verte». Le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid, lui innove. Il est prévu qu'il se recueille à la mémoire de feu Ahmed Ben Bella au cimetière d'El Alia et inaugure à Baraki (Alger) la permanence du parti dans la capitale. Le président du Front national pour la justice sociale (FNJS), Khaled Bounedjma, anime un meeting à Tipasa et des activités de proximité à Baraki et Bordj El Kiffan (Alger). Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounes, sera à Mila pour son baptême de feu. Le secrétaire général du Parti du renouveau algérien (PRA), Kamel Bensalem, anime une conférence de presse au siège du parti pour présenter le programme de la campagne électorale. Le président du Front de l'Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdessalem, anime lui aussi un meeting à Constantine. L'Alliance de l'Algérie verte y sera aussi. La ville des Ponts fera donc le plein de la mouvance islamique. Beaucoup plus loin, le président du Front du changement (FC), Abdelmadjid Menasra, anime une conférence de presse à Blida et un meeting à Médéa. La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Mme Louisa Hanoune, infatigable et toujours aussi dynamique anime trois meetings à Tlemcen, Aïn Témouchent et Oran. Le président du Mouvement de l'entente nationale (MEN), Ali Boukhezna, anime deux meetings à Relizane et Sidi Bel Abbès. Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati usera du verbe à Tlemcen, Aïn Témouchent et Sidi Bel Abbès. Le secrétaire général du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Said, aura des activités de proximité à Alger. Le président du Fadjr El Djadid, Tahar Benbaibeche, anime un meeting à Boussaâda dans la wilaya de M'sila. Pour les autres partis et les indépendants, il est difficile de se faire une idée sur leur carnet de campagne. Rien n'a filtré de leur part, aucun effort de communication. Même les panneaux réservés à l'affichage des listes sont restés muets. La campagne démarre en fanfare pour tous ces partis politiques. Il est sans doute que certaines formations politiques, notamment celles qui ont reçu leurs agréments ces derniers jours, s'essouffleront très vite, mal préparées qu'elles sont et de surcroit sans expérience et qui ressentiront au fur et à mesure l'impact de l'insuffisance des ressources financières. Il faut dire que la campagne électorale «bouffera» énormément de fonds financiers. Elle laissera sur le carreau bon nombre de ces formations politiques, constituées à la va vite, à la santé financière fragile. Les sponsors à la chkara bien pleine leur font défaut. Il ne restera sur le terrain que «les vieux» partis aguerris à la lutte partisane et au «savoir-faire» avéré dans les rivalités qui seront exacerbées par l'enjeu de ce scrutin pas comme les autres et, par certains aspects inédits, notamment le nombre de partis, de candidats et la conjoncture nationale et internationale.